Premiers Contacts (Partie 2)

Nous abordons cette seconde partie avec beaucoup d’appréhension car sa mise en ligne a été très controversée parmi nous.

Certains ont estimé que nous allions trop loin, beaucoup trop loin et qu’aucun d’entre « vous » n’avait besoin d’en savoir autant…

D’autres, au contraire, que les faits étaient suffisamment graves pour que vous en soyez informés…

Nous avons donc soumis ce chapitre à un vote et il s’en est fallu de très peu pour qu’elle ne fut jamais rendue publique…

La Commission Trilatérale existait bien avant d’être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne extranéen connu comme étant l’insigne trilatéral. « Majestic 12 » a aussi survécu jusqu’à aujourd’hui.

Sous Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort le Comité 5412 ; vous noterez au passage que c’est aussi précisément le nom de code des mystérieux hélicoptères noirs « 5412 »…

Sous l’administration Johnson, elle devint le Comité 303. Sous les gouvernements Nixon, Ford et Carter, le comité porta le numéro 40 et sous celui de Reagan, le numéro PI-40.

Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes avaient abusé de la confiance d’Eisenhower et ne respectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement d’animaux mais aussi d’êtres humains.

L’URSS fut soupçonnée d’avoir engagé des relations avec les aliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de l’occultisme et de la religion.

En guise de représailles, l’aviation militaire s’engagea dans de nombreux combats aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des extranéens.

En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d’étude ayant pour tâche d’explorer tous les facteurs pouvant contribuer à « l’élaboration et à la réalisation des politiques étrangères à l’ère nucléaire ».

C’était seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne.

Par un autre décret-loi secret NSC 5511, promulgué en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce groupe d’examiner tous les faits, les évidences, les mensonges et les tromperies relatives aux aliénigènes afin d’en dégager la vérité.

Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les « rencontres Quantico » car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie.

Le groupe d’étude réunissait 35 membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret.

Le professeur Edward Teller fut invité à y participer. Durant les dix-huit premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président d’étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955.

Nelson Rockefeller y fit aussi de fréquentes visites.

Les membres du groupe d’étude étaient :

Gordon Dean, Président ; Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude ; Professeur Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude ; Professeur Edward Teller ; Frank Altschul ; Maj. Gen. Richard C. Lindsay ; Hamilton Fish ; Armstrong Hanson ; W. Baldwin ; Maj. Gen. James McCormack ; Jr. Lloyd ; V. Berkner ; Robert R. Bowie ; Frank C. Nash ; McGeorge Bundy ; Paul H. Nitze ; William A. M. Burden ; Charles P. Noyes ; John C. Campbell ; Frank Pace ; Jr. Thomas K. Finletter ; James A. Perkins ; George S. Franklin, Jr. ; Don K. Price I.I. ; Rabi David Rockefeller ; Roswell L. Gilpatric ; Oscar M. Ruebhausen ; N.E. Halaby ; Lt. Gen. James M. Gavin ; Gen. Walter ; Bedell Smith ; Caryl P. Haskins ; Henry DeWolf Smyth ; James T. Hill, Jr. ; Shields Warren ; Joseph E. Johnson ; Carroll L. Wilson ; Mervin J. Kelly ; Arnold Wolfers.

Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d’étude devint connu sous le nom de « Quantico II ».

Nelson Rockefeller se fit ainsi bâtir une demeure dans le Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que « Majestic 12 » et le comité d’étude n’y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public.

Ce pavillon de campagne portait le nom de code « Country Club ».

Le groupe d’étude fut « publiquement » dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l’année suivante, un compte-rendu « officiel » des sessions sous le titre « Armes nucléaires et Politiques étrangères », édité par Harper à New-York pour le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957.

Un des résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l’absolue nécessité de ne pas mettre la population au courant de la présence extranéenne.

Le groupe estima qu’il en résulterait à coup sûr un effondrement de l’économie, des structures religieuses et un déferlement de panique tel que les USA risqueraient de tomber dans l’anarchie.

Aussi fallait-il absolument en préserver le secret, et ce non seulement à l’égard du public en général mais aussi face au Congrès.

On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche, crédits de l’armée et fonds confidentiels de la CIA non affectés à son budget.

La décision du groupe d’étude d’occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que les aliénigènes utilisaient des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions glandulaires, hormonales, les enzymes et le sang pour leurs expériences génétiques.

Les aliénigènes disaient que s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement d’exister.

Leurs explications provoquèrent une suspicion extrême, mais comme nos armes s’étaient montrées inutiles contre eux, MJ-12 jugea préférable de continuer à entretenir des relations amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu’au temps où nous serions technologiquement de taille à leur imposer le respect.

Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme d’armement avec l’URSS, à la fois conventionnel et nucléaire, dans l’espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d’égalité avec les aliénigènes.

Ces recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme prise aux Allemands et capable de faire éclater un blindage de 20 cm d’épaisseur à une distance de 3 km.

Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu’il pourrait se montrer efficace contre les vaisseaux extranéens.

EXCALIBUR, de son côté, consistait en une ogive d’une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s’élever à près de 10 000 m d’altitude et atteindre une cible sans dévier de plus de 50 m et s’enfoncer à 1 000 m dans un sol tassé et dur comme le tuf calcaire ; comme au Nouveau-Mexique, où sont enfouies les bases extranéennes.

Joshua fut développé avec succès mais, à notre connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour sa part, a été négligé jusqu’à tout récemment…

À partir des doutes qu’avaient suscités les activités illicites des aliénigènes et redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l’égard du secret qui entourait les événements survenus au début du siècle à Fatima.

Les États-Unis ont utilisé leurs espions au Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la Prophétie…

Cette prophétie affirmait que, si l’humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l’égide du Christ, elle finirait par se détruire après avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations.

La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré Cœur. Elle annonçait la naissance d’un enfant qui rallierait tous les peuples à l’idée d’une paix mondiale mais jetterait les fondements d’une fausse religion.

La plupart des gens discerneraient le mal dans ses intentions et reconnaîtraient en lui l’Antéchrist…

La Troisième Guerre Mondiale éclaterait au Moyen-Orient avec l’invasion de l’État d’Israël par une nation des États arabes unis. Celle-ci utiliserait d’abord des armes conventionnelles mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire.

Les USA ne s’opposent-ils pas aujourd’hui avec beaucoup de virulence au programme nucléaire iranien ??? Est-ce un hasard ???

Toute vie sur Terre serait condamnée à d’horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie s’achève néanmoins sur une note optimiste en annonçant le retour du Christ…

Lorsqu’on eut soumis ces prédictions aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité. Ils prétendirent avoir créé l’espèce humaine par croisements génétiques et l’avoir manipulée par le biais de la religion et du satanisme.

Ils expliquèrent plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps et que ces événements auraient vraiment lieu…

En utilisant la technologie extranéenne, les USA et l’URSS ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un projet appelé « RAINBOW », et ont vu la prophétie se confirmer…

Les aliénigènes montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme.

Cherchaient-ils à nous manipuler alors même que notre foi était authentique, ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais de nos croyances ?

Serions-nous réellement sur le point de vivre les événements de la fin des temps et du retour du Christ qui sont annoncés dans l’Évangile ?

Nul n’en avait la moindre idée…

En 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment.

Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l’an 2000, en raison de l’accroissement de la population et à cause de l’exploitation de l’environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou extranéenne.

Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la « Société Jason » d’étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations.

La Commission Jason présenta trois solutions alternatives :

Solution 1 :

Percer la stratosphère au moyen d’explosions nucléaires, d’immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient s’échapper dans l’espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter l’environnement et à davantage le protéger.

Des trois solutions, c’était la moins susceptible de réussir, d’une part, en raison des tendances inhérentes de la nature humaine et à cause des dommages que des explosions nucléaires ajouteraient à l’environnement.

L’existence d’un trou dans la couche d’ozone semble indiquer que cette solution pourrait avoir été essayée. Mais nous n’en avons pas la preuve.

Solution 2 :

Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d’activités serait appelée à survivre pour perpétuer l’espèce humaine.

Quant au reste de l’humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons aujourd’hui que ces installations ont été construites, qu’elles sont prêtes et qu’une partie de l’humanité a déjà été choisie pour être sauvée.

Nous n’en dirons pas plus à ce sujet…

Solution 3 :

Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu’un petit nombre d’élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le cosmos.

La destination première est la Lune (nom de code Adam) et la seconde est Mars (nom de code Ève).

Nous avons en notre possession des photographies officielles de la NASA de ces bases.

Nous savons aujourd’hui malheureusement que la colonie sur Mars est aussi une réalité…

Dans le but d’en retarder l’exécution, les trois solutions furent accrues d’un programme de contrôle des naissances, incluant la stérilisation et la propagation de microbes mortels en vue de ralentir l’accroissement de la population.

Le SIDA ne représente qu’un des résultats de ce plan. Il a été décidé par l’élite que, puisque la population devait être réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine de se débarrasser des éléments indésirables de la société. Les cibles spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et les homosexuels.

En 1959, la société commerciale Rand organisa un symposium sur les constructions souterraines à grande profondeur.

Le prospectus contenait des photographies et des descriptions de machines pouvant creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m par heure.

Ces immenses corridors conduisaient à de gigantesques voûtes souterraines qui semblaient abriter des installations domestiques et des villes.

Les dirigeants comprirent qu’un des meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des stupéfiants.

Les anglais et les français avaient établi un précédent historique lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême-Orient et qu’ils l’avaient utilisé pour remplir leurs coffres et gagner un solide pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.

À cet effet, on approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des relations étrangères nommé George Bush, qui était alors président-directeur général de la société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait à des expérimentations techniques en haute mer.

Ses plates-formes de forage pouvaient très bien servir à opérer le trafic de la drogue.

Il suffisait de charger la contrebande à bord de chalutiers qui la transporteraient depuis l’Amérique du Sud jusqu’aux plates-formes de forage.

George Bush accepta de collaborer à l’opération avec la CIA. Ce stratagème dépassa si bien les prévisions qu’il est ensuite devenu pratique courante dans le monde entier.

De nos jours, la CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue…

Profitons-en aussi pour éclaircir un des plus grands mystères de l’histoire américaine…

C’est le président Kennedy qui a lancé le programme spatial « officiel » quand, dans son discours inaugural, il a confié aux États-Unis le mandat d’envoyer un homme sur la Lune.

Malgré l’honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux responsables de couler des sommes gigantesques vers les projets clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable programme spatial.

L’Union soviétique élabora un plan similaire qui visait le même objectif, car, en réalité, au même moment où Kennedy s’adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les aliénigènes, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune.

Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que l’environnement y était propice à la vie…

Il n’en fallait pas davantage pour qu’on s’y rendit aussitôt fonder une colonie. Nous savons qu’il s’y trouve aujourd’hui des villes peuplées d’individus spécialement sélectionnés pour leurs compétences particulières et provenant de toutes les cultures de la Terre.

Si l’Union soviétique et les États-Unis ont, durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant antagonistes, c’était simplement pour avoir le loisir de financer des projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce sont les plus grands alliés du monde.

Dans une certaine mesure, le président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et des aliénigènes. C’est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à Majestic 12, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants.

De plus, il informa Majestic 12 de son intention de révéler l’existence des aliénigènes à toute la nation l’année suivante. Il leur ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette décision.

Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations étrangères. Aussi il ne savait rien des solutions 2 et 3.

Au niveau international, les opérations secrètes étaient gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de « Comité des politiques ». Aux États-Unis, ce comité était supervisé par le comité exécutif du Conseil des relations étrangères et en URSS, par une organisation homologue.

La décision de Kennedy fit l’effet d’une bombe. Son assassinat fut aussitôt décrété par le Comité des politiques, puis l’ordre en fut transmis aux agents postés à Dallas. Il a été assassiné par l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège (très visible dans le film Zapruder).

Regardez le conducteur et non pas Kennedy si un jour vous pouviez voir le film…

Tous les témoins oculaires qui se trouvaient à proximité de la voiture présidentielle ont vu William Greer tirer sur Kennedy, mais tous ceux parmi eux qui ont cru bon en parler aux autorités ont subi le même sort que Kennedy dans les deux années qui suivirent son meurtre.

Rien d’étonnant, du reste, à ce que la commission Warren n’ait abouti à aucun résultat concluant puisque la majorité de ses sièges était occupée par des membres du Conseil des relations étrangères.

Par ailleurs, cette commission a fort bien réussi à obnubiler le peuple américain. Quant aux citoyens qui ont osé, entre-temps, lever le voile sur le mystère extranéen, ils ont connu la même fin tragique.

À l’heure actuelle, plus de 200 témoins matériels ou personnes impliquées dans l’assassinat sont mortes.

La probabilité que toutes ces personnes soient mortes au hasard est si faible que personne n’a été capable de la calculer…

La probabilité pour que les 18 premiers témoins soient morts dans les 2 ans suivant l’assassinat a été calculée à une chance contre cent mille milliers de milliard.

Nous croyons en l’Homme, en la Vie, mais aussi aujourd’hui, en certaines choses qui n’appartiennent plus à notre monde…

 

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