Nous avons longtemps hésité à rendre public ce qui va suivre, mais après avoir lu un peu tout et n’importe quoi sur le Net, certains d’entre nous ont décidé qu’il était temps aujourd’hui de rétablir la Vérité.
Nous aurions aimé aller plus loin dans le développement mais nous sommes aussi conscients qu’il ne faut pas dépasser une certaine ligne rouge.
Le monde vit à deux vitesses, c’est injuste mais il en est malheureusement ainsi.
Nous le déplorons sincèrement…
« Les signes sont de plus en plus nombreux. Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement. Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrer les gens de la Terre. Les rendez-vous ont déjà eu lieu. Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus. » (Pape Jean XXII, 1935)
Abordons pour commencer quelques notions de base que nous développerons plus en détail ultérieurement.
LES ILLUMINATI
Ils constituent une société secrète qui existe depuis le 18ème siècle, dont le but est l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial à travers l’économie, la politique et la manipulation mentale et psychologique des populations.
Cette société regroupe un ensemble de personnes qui recrutent dans le monde des gens placés à des postes importants.
LE CONSEIL DES RELATIONS ÉTRANGÈRES (CFR)
C’est une organisation privée composée d’hommes d’affaires exécutifs et de leaders politiques qui étudient les problèmes globaux et jouent un rôle-clé dans le déroulement de la politique étrangère des USA.
Le CFR est un des groupes semi-officiels les plus puissants qui s’occupe du rôle de l’Amérique dans les affaires internationales.
Il est contrôlé par un groupe élu de personnes recrutées parmi des sociétés secrètes des universités de Harvard et de Yale : Skull & Bones et Scroll & Key.
Ces personnes constituent le comité exécutif du CFR, après avoir été admis dans une société secrète du nom « d’Ordre de la Quête » ou « Société JASON ».
Le CFR contrôle le gouvernement des USA car ses membres ont infiltré à travers les années toute la branche exécutive du gouvernement : le Département d’État, le Département de la Justice, la CIA et les militaires les plus haut gradés.
Jusqu’à présent, tous les directeurs de la CIA ont été membres du CFR. La plupart des présidents en ont été membres depuis Roosevelt. Les membres du CFR contrôlent la grande presse et la plupart des grands journalistes américains en sont membres.
LA COMMISSION TRILATÉRALE
La commission trilatérale est un groupe d’élite formé de 300 hommes d’affaires, politiciens et décideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon.
C’est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique pour établir le Nouvel Ordre Mondial.
La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américain David Rockefeller. Elle a été créée suite au déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis-à-vis de la guerre du Vietnam. Mais le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR.
LE GROUPE BILDERBERG
Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel où s’est tenue sa réunion de constitution en 1954) a été créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant.
Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale dont le noyau dirigeant a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI et l’OMS.
TRÈS IMPORTANT
Avant de poursuivre plus en avant, nous devons préciser la définition de deux termes que nous reprendrons souvent par la suite.
EXTRANÉEN : Néologisme créé à partir du latin « extraneus » (étranger) et désignant tout être ou toute réalité qui n’appartient pas à la culture humaine.
ALIENIGÈNE : Néologisme créé à partir du latin « alienigenus » (qui appartient à une autre race) et désignant tout être dont l’origine et le développement ne correspond pas à ceux des races évolutionnaires de la vie terrestre.
Ceci étant établi, continuons…
LE GOUVERNEMENT SECRET
Le Gouvernement Secret existe bel et bien…
Au cours des années qui suivirent la Seconde Guerre Mondiale, le gouvernement des États-Unis fut confronté à une série d’événements qui allaient, au-delà de toute prévision, changer son avenir et, avec lui, celui de l’humanité entière.
Le président Truman et son cabinet furent si stupéfiés qu’ils se trouvèrent virtuellement impuissants à leur faire face, alors que le pays venait tout juste de traverser la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l’Histoire.
Les États-Unis avaient gagné la course à l’armement nucléaire et se retrouvaient seuls au monde à posséder une arme dont la puissance pouvait réduire à néant tous leurs ennemis et la planète.
C’était une époque de grande prospérité. L’avance technologique et l’économie florissante offrait aux américains un standing de vie enviable.
Les USA exerçaient une influence mondiale et déployaient la force militaire la plus vaste et la plus puissante de l’Histoire.
On peut donc aisément imaginer la consternation et l’inquiétude de l’Élite américaine quand elle fut informée de l’écrasement, dans le désert du Nouveau-Mexique, d’un astronef piloté par des êtres à l’apparence d’insectes et de provenance de nulle part…
De janvier 1947 à décembre 1952, pas moins de 16 astronefs s’écrasèrent sur Terre dont 13 aux États-Unis (un en Arizona, onze au Nouveau-Mexique et un au Nevada).
L’un des trois autres écrasements eut lieu en Norvège et les deux autres au Mexique.
On en retira 65 corps et un être vivant.
Un appareil fut découvert le 13 février 1948 sur une mesa près d’Aztec au Nouveau-Mexique et un autre de 30 m de diamètre le 25 mars suivant au terrain d’essai de White Sands.
Au total, 17 corps furent extraits des deux appareils. Mais l’élément le plus intrigant fut la découverte, à l’intérieur des deux astronefs, d’une importante banque d’organes, de toute évidence prélevés sur des êtres humains.
Un sentiment de paranoïa s’empara rapidement de tous ceux qui « savaient ».
L’affaire fut classifiée « ultrasecrète » et ces événements allaient constituer par la suite le secret le mieux gardé de toute l’Histoire de l’Humanité.
En décembre 1947 fut mis sur pied le projet « SIGN », lequel réunissait les hommes de science les plus éminents d’Amérique pour étudier cette sordide affaire.
En 1948, il fut rebaptisé projet « GRUDGE » (Rancune). Une branche de celui-ci fut bientôt créée sous le nom de « BLUE BOOK » dans le but de diffuser des informations anodines et surtout biaisées.
Seize volumes allaient sortir de ce projet.
Les équipes « BLUE » furent formées pour repérer les astronefs écrasés et en récupérer les passagers, tant morts que vivants.
Plus tard, sous le projet « POUNCE » (Ruée), celles-ci devinrent les équipes « ALPHA ».
Durant ces premières années, l’Armée de l’air des États-Unis et la CIA exerçaient un contrôle absolu sur le secret de cette affaire.
En fait, la CIA avait d’abord été créée par décret présidentiel en tant que « Groupe central de renseignements » pour s’occuper expressément du problème de la présence extranéenne.
Par la suite, l’Acte de sécurité nationale fut voté et promut ce groupe au titre « d’Agence centrale de renseignements ».
Le 9 décembre 1947, à la demande pressante des secrétaires Marshall, Forrestal et Patterson, ainsi qu’à celle de Kennan, directeur du personnel des politiques de planification au Département d’État, le président Truman approuva un rapport « NSC 4 » concernant la « coordination des mesures d’information sur les services de renseignements étrangers ».
Cette directive du Sénat américain (94e conférence, 2e session, rapport N°94755, 26 avril 1976) a donné au secrétaire d’État le pouvoir de coordonner les activités de renseignements destinées à combattre le communisme.
NSC 4A (une annexe ultrasecrète de NSC 4) chargeait le directeur de la CIA d’entreprendre des opérations de couverture psychologique afin de poursuivre les buts avancés par NSC 4. L’annexe ne faisait qu’indiquer au directeur qu’il pouvait « entreprendre des actions indirectes s’il s’assurait, en liaison avec l’État et la Défense, que ces opérations étaient conformes aux politiques américaines ».
NSC 4 et NSC 4A furent plus tard amendés sous NSC 10/1 et NSC 10/2 qui accordaient des possibilités de couverture encore plus étendues à ce que prévoyait aussi la charte du Bureau de coordination des politiques (OPC).
Ces deux articles allaient jusqu’à valider des pratiques illégales et des procédés en marge de la loi, pour autant que les responsables de la sécurité nationale en conviennent.
NSC 10/1 permit la création d’un comité exécutif de coordination ayant pour fonction de réviser les propositions des projets secrets mais n’ayant pas mandat de les approuver. Ce groupe avait aussi pour tâche secrète de coordonner les projets concernant les aliénigènes.
NSC 10/2 établit un comité d’étude formé de sommités scientifiques qui se réunissaient en secret. Les grandes lignes de ses fonctions furent stipulées dans un memo NSC 10/5 dont les ordres secrets préparèrent la création de MJ-12 quatre ans plus tard.
James Forrestal, le secrétaire à la Défense, commença à s’opposer au maintien du secret. Son grand idéalisme et sa ferveur religieuse l’amenèrent à pencher en faveur d’une diffusion publique de l’information.
Dès qu’il eut parlé du problème extranéen aux leaders de l’Opposition et à ceux du Congrès, Truman exigea sa démission. On prétendit plus tard qu’il souffrait de troubles mentaux et il fut interné au Centre médical de la Marine à Bethesda.
Le 22 mai 1949, des agents de la CIA se rendirent à sa chambre au seizième étage, nouèrent le coin d’un drap autour de son cou, en attachèrent l’autre bout au plafonnier et le jetèrent par la fenêtre.
Les carnets secrets de James Forrestal ont été confisqués par la CIA et ont été conservés à la Maison Blanche durant plusieurs années.
Les informations contenues dans ces carnets ont été plus tard réécrites par la CIA sous la forme d’un livre donné à l’agent Whitley Strieber qui l’a publiée sous la forme d’une fiction : Majestic.
Le passager qui a été trouvé errant dans le désert et rescapé de l’écrasement d’un astronef à Roswell en 1949 fut nommé E.B.E.
Ce monogramme fut formé d’après la désignation proposée par le professeur Vannevar Bush.
Il signifiait « Entité Biologique Extraterrestre ».
E.B.E. avait tendance à mentir ou à répondre à sa guise. On l’interrogea en vain pendant plus d’un an et il ne commença à s’ouvrir qu’à partir de sa 2e année de captivité.
L’information qu’il livra fut compilée dans ce qui est devenu par la suite le YELLOW BOOK.
Vers la fin de 1951, E.B.E. tomba malade. Le personnel médical fut impuissant à établir un diagnostic puisque, d’une part, il ne possédait pas d’antécédents sur lesquels se baser pour le traiter et que, d’autre part, l’organisme d’E.B.E. transformait les éléments nutritifs en énergie par photosynthèse, à la manière des plantes, à partir de la chlorophylle, et rejetait aussi les déchets par la peau.
Plusieurs experts ont été appelés pour étudier sa maladie, incluant des professeurs en médecine, des botanistes et des entomologistes. On fit appel à un botaniste, le professeur Guillermo Mendoza, pour le soigner et l’aider à se rétablir.
Le professeur Mendoza s’efforça vainement de sauver E.B.E. jusqu’au 2 juin 1952 lorsqu’il mourut.
Le professeur Mendoza devint l’unique spécialiste en matière de ce type de biologie extranéenne.
Les États-Unis avaient désespérément tenté de sauver E.B.E. pour gagner la faveur de ses congénères technologiquement supérieurs en commençant, au début de 1952, à émettre un appel de détresse vers les vastes espaces sidéraux.
Ils ne reçurent aucune réponse mais, étant néanmoins de bonne foi, ils poursuivirent ce projet, nommé SIGMA.
Par un décret-loi secret du 4 novembre 1952, le président Truman créa la très secrète Agence de sécurité nationale (NSA). Celle-ci avait pour objectif premier de décoder le langage des aliénigènes en vue d’établir un dialogue avec eux.
L’objectif second de la NSA consistait à surveiller toute communication émise par n’importe quel appareil et provenant de n’importe où sur Terre, et ce dans le but de recueillir tout renseignement, tant humain qu’aliénigène, et de préserver le secret de la présence extranéenne.
La NSA maintient aussi, de nos jours, des communications avec la base LUNA et d’autres programmes spatiaux secrets.
Par décret-loi, la NSA est au-dessus de toute loi qui ne spécifie pas nommément qu’elle est sujette aux prévisions de la dite loi. Cela signifie que, si le nom de cette agence n’est pas écrit dans le texte de l’une ou l’autre loi votée par le Congrès, la NSA n’est pas concernée par cette loi.
De nos jours, elle se voit octroyer 75% des sommes allouées à l’ensemble des services de renseignements américains.
La fonction première de la NSA vise encore aujourd’hui les communications avec les aliénigènes, mais elle participe maintenant à d’autres projets Ultra Secrets en liaison avec eux.
Par peur que les aliénigènes ne se révèlent menaçants pour l’espèce humaine, le président Truman avait tenu les alliés (y compris l’URSS) au courant des développements du problème extranéen.
Dans le plus grand secret, des plans de défense unifiée en cas d’invasion planétaire ont même été planifiés entre eux. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin de coordonner et de contrôler les efforts internationaux.
Le résultat fut la création d’une société secrète connue sous le nom de GROUPE BILDERBERG.
Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse et ses représentants constituent aujourd’hui un gouvernement mondial secret qui contrôle absolument tout et dont les Nations Unies ne sont qu’une face ou une « farce monumentale » à l’échelle internationale. À vous de choisir…
En 1953, la Maison Blanche accueillit un nouveau président, le général à cinq étoiles de l’armée américaine Dwight David Eisenhower.
Au cours de l’année 1953, au moins une dizaine d’écrasements de disques furent signalés, dont 4 en Arizona, 2 au Texas, 1 au Nouveau-Mexique, 1 en Louisiane, 1 au Montana et 1 en Afrique du Sud.
Des 30 aliénigènes qui furent récupérés, 4 étaient encore en vie.
Eisenhower comprit qu’il lui faudrait s’attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès.
C’est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères (CFR).
Il lui confia la tâche d’ébaucher la structure d’une section secrète qui aurait pour mission de superviser l’ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C’est ainsi que fut conçue l’idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.
Inutile de préciser que les Rockefeller avaient fortement soutenu la campagne présidentielle d’Eisenhower. En fait, c’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des États-Unis.
Moins d’une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d’un comité consultatif présidentiel sur l’organisation du gouvernement.
Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner le poste de sous-secrétaire d’Orveta Culp Hobby.
Les programmes de réforme furent cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l’Éducation et du Bien-Être.
Ce fut au cours de cette même année que des astronomes repérèrent dans l’espace des objets de grande dimension se déplaçant en direction de la Terre.
Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs en orbite autour de l’équateur, mais nul ne put les décoder.
Toutefois, les responsables du projet « Sigma » avec ceux du projet « Platon » (qui avait pour mission d’établir des relations diplomatiques avec les étrangers de l’espace), mirent au point un système de signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec « les visiteurs ».
Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le désert.
Un otage a été laissé chez nous en gage de leur retour pour signer un traité. Entre temps, des extranéens d’une autre race (d’apparence humaine) atterrirent à la base aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain.
Ce groupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Ces « humanoïdes » venaient d’offrir d’aider l’humanité dans son développement spirituel mais exigeait du gouvernement le démantèlement de son arsenal nucléaire et de tout marchandage technologique en raison de notre immaturité morale.
Ces ouvertures de conciliation furent rejetées…
Un troisième atterrissage eut lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. La base fut fermée pendant 3 jours et 3 OVNI y atterrirent.
Les aliénigènes s’entendirent enfin avec le gouvernement américain. Le président Eisenhower rencontra les aliénigènes le 20 février 1954 et un traité formel entre la nation extranéenne et les USA y fut signé.
Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été reçu officiellement sur Terre était « Son Altesse toute puissante KrIII »
Peu après cette rencontre, le président Eisenhower eut une crise cardiaque.
Quatre autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light du célèbre institut de recherche métaphysique et un évêque catholique de Los Angeles.
Leur réaction a été estimée comme un microcosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur la leur, il a été décidé que le public ne devrait pas être mis au courant.
Depuis ce jour, l’existence des « Extraterrestres » est automatiquement niée par tous les gouvernements concernés.
Un pacte officiel fut signé par les deux chefs d’État au nom de leur nation respective. L’entente stipulait qu’aucune des deux parties ne devait s’immiscer dans les affaires de l’autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l’avancement de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre.
Sur une base périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d’étude de notre développement, à la condition expresse que ces sujets ne souffrent d’aucun préjudice et soient ramenés à leur point d’enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents.
De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens devraient fournir à MJ-12 une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.
Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans l’autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d’accord pour procéder à des échanges culturels par le biais de stages d’études.
Ainsi, pendant que seize « stagiaires étrangers » feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d’être relayés par un nouveau groupe au bout d’un certain temps.
On accepta aussi de construire, à l’usage des aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie.
Ces bases extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins de l’Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l’Arizona et une autre serait construite dans un lieu appelé « Dreamland » (désert Mojave près de Yucca Valley).
Toutes ces zones sont entièrement contrôlées par le Département naval et c’est la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations à travers un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine.
Ces « grands travaux » ont démarré au ralenti jusqu’en 1957, puis sont passés à la vitesse supérieure avec le projet « Yellow Book ».
Le projet REDLIGHT fut mis sur pied en vue d’entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord d’astronefs. Des installations ultrasecrètes furent construites au lac Groom, dans le Nevada, à l’intérieur du rayon d’action des tirs d’essai, dans une zone qui porte pour nom de code « ZONE 51 ».
Nul n’est autorisé à y pénétrer sans un sauf-conduit « Q » de la Marine et un laissez-passer approuvé par Majestic. Il faut savoir que même le président des États-Unis n’est pas autorisé à visiter le site, sans sauf-conduit.
Les échanges technologiques à la base extranéenne « Dreamland » ont eu lieu dans une portion souterraine du nom de code « The Dark Side of the Moon ».
Au moins 600 êtres aliénigènes y résident aujourd’hui à plein temps, avec des scientifiques et des membres de la CIA.
L’armée fut chargée de former une organisation ultrasecrète qui assurerait la sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne. Elle fut baptisée l’Organisation de reconnaissance nationale et établie à Fort Carson au Colorado. Les équipes spécialement entraînées à sécuriser le projet furent appelées Delta et dirigées par le lieutenant-colonel James « Bo » Gritz.
De façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région risqueraient d’avoir en apercevant des OVNI Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes.
Le projet Snowbird avait également l’avantage de discréditer, aux yeux de la population, les témoins d’authentiques appareils extranéens.
Un fond secret de plusieurs centaines de millions de dollars, voulu par Eisenhower et approuvé par le Congrès en 1957 (officiellement pour construire des abris souterrains anti-nucléaires), fut gardé par le Cabinet militaire de la Maison Blanche.
Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément enfouies sous terre. Une autre partie des fonds fut versée à Majestic 12 qui les redistribuait à des entrepreneurs pour l’excavation de bases ultrasecrètes, tant extranéennes que militaires.
En 1980, seuls les quelques individus placés au départ ou à l’arrivée de ce labyrinthe financier militaire savaient à quel usage étaient consacrées ces sommes.
Parmi eux on peut citer le Texan George Mahon (président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre) et du côté de la Floride, Robert Sikes (président du sous-comité au Crédit de la construction militaire à la Chambre).
En vertu du secret absolu qui entourait ce capital, il n’a jamais été soumis à aucune vérification comptable et ne le sera sans doute jamais. De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité appelée Peanut Island et adjacente à un domaine qui appartenait à Joseph Kennedy.
Entre-temps, Nelson Rockefeller fut muté à la place de C.D. Jackson qui occupait la fonction d’Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d’Adjoint spécial pour la stratégie de la Guerre Froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les attributions qui étaient celles d’Henry Kissinger sous la présidence de Nixon.
Le rôle officiel de Rockefeller consistait à « fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre tous les peuples ». En réalité, il coordonnait les activités secrètes présidentielles des services de renseignements.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste-clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination.
Ce comité ad hoc comptait à l’origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d’État et le directeur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le « Comité 5412 » ou « Groupe spécial ».
Le décret « NSC 5412/1 » établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises à l’approbation d’un comité exécutif.
Si « Majestic 12 » avait pour rôle de superviser et de diriger les activités secrètes ayant un rapport à la question extranéenne, le « NSC 5412/1 » ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.
« Majestic 12 » était composé de :
- Nelson Rockefeller,
- Allen Welsh Dulles (directeur de la Centrale de renseignements),
- John Foster Dulles (secrétaire d’État),
- Charles E. Wilson (secrétaire à la Défense),
- L’amiral Arthur W. Radford, président du Comité interarmes des chefs d’État-Major),
- Edgar Hoover (directeur du FBI),
- 6 membres-clés du comité exécutif du CRT (surnommés « les Mages »),
- 6 hommes du comité exécutif du groupe JASON,
- Le professeur Edward Teller (Père de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, spécialisé dans l’étude des radiations).
« Majestic 12 » est composé de 19 membres. Sa première règle était qu’aucun ordre ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote majoritaire de ses 12 plus hauts personnages.
Le groupe se composa donc, au fil des années, d’officiers hauts gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du Conseil des relations étrangères et s’accrut plus tard de membres de la commission trilatérale.
Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des « Mages » les plus importants et les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen, George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70.
Il est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majestic 12 issus du gouvernement, étaient aussi membres du Conseil des relations étrangères (CFR).
Ceci a donné le contrôle de l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club d’intérêt spécial qui était lui-même contrôlé par les Illuminati.
Mais nous verrons cela dans la 2e partie de ce chapitre…
Comme nous l’avons dit au début, nous aurions aimé développer beaucoup plus que ce qui a été dit précédemment, mais certains de nos membres étant encore en « fonction », nous nous sommes engagés à ne pas dépasser une LIGNE ROUGE dans ce qu’il est possible de révéler publiquement.
Le monde vit à 2 vitesses, peu de terriens en ont conscience et c’est peut-être mieux ainsi…
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