L’origine occulte de la Grande Guerre

« Rien de ce qui touche à la politique ne relève du hasard ! Soyons sûrs que ce qui se passe en politique a bel et bien été programmé ! »

Franklin Delano Roosevelt (1882 – 1945), 32e président des États-Unis.

À partir de la fin du XIXe siècle, les sociétés secrètes allaient exercer leur emprise sur le monde grâce à un enchevêtrement de liens et de réseaux extrêmement complexes, les reliant à la haute finance et à la politique.

Il serait pratiquement impossible de résumer ces liens tant ils furent nombreux jusqu’à aujourd’hui, aussi nous nous limiterons seulement à certains d’entre eux dans ce chapitre.

À la fin du XIXe siècle, l’alliance des états allemands, sous Bismarck, troublait l’équilibre des forces qui existait depuis plus de deux siècles en Europe.

Grâce à son empire colonial, sous la direction de la famille royale, l’Angleterre régnait alors sur l’Inde, l’Égypte, les Bermudes, Malte, Singapour, Hong Kong, Gibraltar et les colonies d’Afrique centrale.

Mais en parallèle, une compagnie britannique nommée East India Merchant Company (BEIMC) accumula aussi une fortune colossale grâce au trafic d’opium.

La BEIMC engendrait tellement de profits qu’une coopération s’établit alors rapidement avec la famille royale qui se mit à imposer les producteurs d’opium en Inde.

Otto von Bismarck (1815 - 1898)

De gigantesques quantités d’opium furent embarquées en partance des Indes sur les « China Tea Clippers ». À cette époque, environ 13% du revenu économique de l’Inde était sous la domination de « l’Empire de la Couronne ».

Toutes les colonies peuplées de blancs, appelées l’Empire de la Couronne (l’Afrique du Sud, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada), étaient sous l’autorité du gouvernement anglais, dirigé par la City, qui elle-même était contrôlée au plus haut niveau par l’empire bancaire Rothschild.

Pour cacher ses agissements illicites, la maison royale y implique par la suite les services secrets britanniques : le British Military Intelligence Departement (le MI6) et le Secret Intelligence Service (le SIS).

La BEIMC dirigea la course au marché de l’opium de 1729 à 1829, année où le gouvernement chinois défendit de fumer l’opium.

De 1791 à 1894, le nombre de plantations d’opium concédées passa de 87 à 663 sous la surveillance de la Couronne britannique et conduisit aux guerres d’opium en Chine :

  • La première guerre de l’opium se déroula de 1839 à 1842 et opposa la Chine au Royaume-Uni ;
  • La seconde guerre de l’opium se déroula de 1856 à 1860 et vit cette fois l’intervention de la France, des États-Unis et de la Russie aux côtés du Royaume-Uni.

Cependant, la Chine perdit ces guerres et fut contrainte d’autoriser le commerce de l’opium. Elle signa alors des « Traités inégaux », ayant pour conséquence l’ouverture de certains ports et le legs de Hong Kong à la Grande-Bretagne.

La brèche étant ouverte, plusieurs autres pays en profitèrent pour signer eux aussi, des Traités inégaux avec la Chine, forçant ainsi son ouverture au commerce extérieur.

Cette influence étrangère aura pour conséquence la Révolte des Boxers (1899 – 1901) et la chute de la dynastie Qing en 1911.

Le terme « traités inégaux » représente officiellement un ensemble de traités datant du XIXe siècle entre la Chine (puis le Japon de la fin de l’époque Edo) et les puissances occidentales (le Royaume-Uni, puis la France, les Pays-Bas, l’Allemagne, la Russie, les États-Unis et le Portugal).

En 1729, la BEIMC fonda historiquement le Comité des 300 qui traitait d’affaires commerciales et bancaires internationales.

Le Comité des 300, aussi appelé « élite de la City », est aujourd’hui une des organisations secrètes les plus puissantes du monde et prône la mise en place d’un gouvernement mondial unique ou Nouvel Ordre Mondial.

Le Comité des 300 est toujours dirigé aujourd’hui par la Couronne britannique. Il représente le système bancaire mondial dans sa globalité et compte les représentants les plus importants des nations occidentales.

À la fin du XXe siècle, il pilotait plus de 290 organisations et 125 banques mondiales reliées à l’Empire Rothschild.

Le cercle le plus intime du Comité des 300 se nomme l’Ordre de la Jarretière (Order of the Garter).

Ainsi, Lord Peter Carrington, Chevalier de l’Ordre de la Jarretière, fut chef de l’OTAN (1984 à 1988) et était avec Lawrence Sydney Eagleburger (sous-secrétaire d’État aux affaires politiques sous Ronald Reagan), une des personnes de liaison qui représentait Kissinger Associates, la société de conseil fondée en 1982 et dirigée par Henry Kissinger et Brent Scowcroft.

En 1989, George Herbert Walker Bush, le 41e président des États-Unis, nomma Eagleburger comme vice-secrétaire d’État et conseiller du Président pour la Yougoslavie.

Eagleburger et Carrington firent alors en sorte que Belgrade ait les mains libres en 1993 pour procéder aux épurations ethniques et accomplir le génocide croate !

Peter Carrington

George H.W. Bush et Lawrence Sydney Eagleburger (1930 - 2011)

Une des premières missions du Comité des 300 consista à mettre au point des tactiques pour contourner la loi chinoise anti-drogue.

Ainsi, James MacKay Inchcape (1852 – 1932), entre autre vice-président de la compagnie du canal de Suez et fondateur de la Banque de Hong Kong et de Shanghai, créa une société de navigation à vapeur « P&O », qui fut, en fait, une parfaite couverture pour le trafic d’opium.

Lors de la construction du chemin de fer Harriman qui devait relier la Californie à l’Est des États-Unis, des milliers de travailleurs chinois, bon marché, débarquèrent en Amérique. Beaucoup parmi eux étaient des opiomanes et permirent ainsi d’étendre le marché de la drogue aux États-Unis.

Il est intéressant de noter qu’Edward Henry Harriman (1848 – 1909) fonda son empire du chemin de fer grâce aux prêts de la N.M. Rothschild & Sons Bank de Londres.

Edward Henry Harriman

En 1913, son fils William Averell Harriman (1891 – 1986), le fondateur de la banque W.A. Harriman Company, fut initié à l’ordre Skull & Bones.

Dans les années vingt, W.A. Harriman fut aussi l’un des plus grands soutiens financiers du mouvement bolchévique et de la « Ruskombank », la première banque commerciale soviétique.

Il est à noter que Max May, le vice-président de la « Guaranty Trust Company » et membre de Skull & Bones, deviendra le directeur des affaires internationales de la Ruskombank !

Les autres banques britanniques mêlées au trafic de la drogue étaient : la British Bank of the Middle East, la Midland Bank, la National Westminster Bank, la Barclays Bank, la Royal Bank of Canada et la Baring Brothers Bank.

Elles étaient toutes reliées par le Comité des 300, à l’empire Rothschild…

William Averell Harriman

À la fin du XIXe siècle, l’Allemagne de Bismarck, qui devenait de plus en plus puissante par l’acquisition de colonies et l’extension de sa force militaire, représenta vite une lourde menace économique et militaire pour l’empire britannique !

Otto Eduard Leopold von Bismarck (1815 – 1898) jouait alors un rôle déterminant dans l’unification allemande.

Prince de Bismarck-Schönhausen en 1871 et duc de Lauenburg en 1890, il fut à la fois ministre-président du Royaume de Prusse de 1862 à 1890, Chancelier de la Confédération de l’Allemagne du Nord de 1867 à 1871, avant d’accéder au poste de premier chancelier du nouvel Empire allemand en 1871, poste qu’il occupa jusqu’en 1890 tout en conservant sa place de ministre-président de Prusse.

Un cartel de banquiers internationaux, qui étaient exclus à cette époque du développement économique de l’Allemagne, chercha alors par tous les moyens à freiner son essor !

Entre 1894 et 1907, ce cartel fut à l’origine de nombreux traités pour que la Russie, la France, l’Angleterre et d’autres nations se liguent en cas de guerre contre l’Allemagne.

Le Comité des 300 fut chargé d’organiser les préparatifs d’une guerre contre l’Allemagne. Une organisation de front, le RIIA (Royal Institute for International Affairs) fut alors créé à l’intérieur d’un autre groupe secret appelé la Table Ronde (The Round Table).

Le RIIA, connu aussi sous le nom de « Chatham-House », avait parmi ses membres fondateurs Lord Albert Grey, l’écrivain H. G. Wells, Lord Toynbee (l’éminence grise du MI6), Lord Alfred Milner (dirigeant de la Table Ronde) et Halford John Mackinder (l’inventeur de la géopolitique).

Schéma CFR

Alfred Milner (1854 - 1925)

Halford John Mackinder (1861 - 1947)

Le RIIA fut alors mandaté par le Comité des 300 pour étudier en détail la mise en scène de ce qui allait devenir la Première Guerre Mondiale.

Ce travail fut mené à « Wellington House » où se déroulaient des séances de brainstorming : on y développait les techniques qui devaient modifier l’opinion du peuple et l’amener à faire la guerre.

Les personnes chargées de ce travail étaient Lord Northcliffe (Alfred Charles William Harmsworth) et Lord Rothermere (Harold Sidney Harmsworth), tous deux membres du Comité des 300, ainsi qu’Arnold Toynbee du MI6.

Des spécialistes américains tels qu’Edward Bernays et Walter Lippman furent aussi mis à contribution en tant que consultants.

Lord Rothermere se servit alors du journal qu’il éditait pour tester les techniques du « social conditioning » sur le peuple britannique…

Lord Northcliffe (1865 - 1922)

Lord Rothermere (1868 - 1940)

Le « social conditioning » est un procédé de conditionnement très spécial basé sur les normes, les coutumes ou encore l’idéologie d’une société et établi d’après ses structures sociales : le nationalisme, l’éducation, l’emploi, le divertissement, la culture populaire, la religion, la spiritualité et la famille.

Ce procédé est encore utilisé de nos jours !

Au bout d’une période de test de six mois, ils constatèrent que 87% du public s’était fait une opinion à partir du journal, sans manifester de réflexions ou de critiques personnelles.

C’était ce qu’ils espéraient. Peu après, ils soumirent la classe ouvrière anglaise à des techniques de propagande raffinées. Leur dessein était de convaincre ces ouvriers d’envoyer par milliers leurs fils à la mort !

Du côté américain, le président Theodore Roosevelt (1858 – 1919), le 26ème président des États-Unis de 1901 à 1909, disait dans son nouveau programme électoral de 1912 :

« Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnait aucune responsabilité. Anéantir ce gouvernement invisible, détruire le lien impie qui relie les affaires corrompues avec la politique, elle-même corrompue, tel est le devoir de l’homme d’État. »

Il ne sera pas réélu !

Pour simplifier, nous désignerons à partir de maintenant ce gouvernement invisible sous le nom « d’illuminati ».

En réalité, les illuminati représentent seulement les individus à la tête de ce gouvernement, mais dont l’histoire est beaucoup plus ancienne et remonte à la mystérieuse « Fraternité du Serpent ».

Theodore Roosevelt

Vu de l’extérieur, le monde se trouvait en paix au début du XXe siècle. Les illuminati avaient compris que pour mener à bien leur plan, visant à créer un Nouvel Ordre Mondial, ravages et cruautés s’avèreraient nécessaires et n’épargneraient aucune nation !

Officiellement, la plupart des historiens sont d’accord aujourd’hui sur le fait que la cause de la Première Guerre Mondiale n’a été qu’un simple différend entre l’Autriche et la Serbie, ayant conduit à l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand (Franz Ferdinand von Österreich-Este) le 28 juin 1914 à Sarajevo.

Mais officieusement, les véritables responsables de cet assassinat furent en réalité les membres de la Société Occulte Serbe de « la Main Noire »…

Archiduc François-Ferdinand (1863 - 1914)

En fait, les illuminati se servirent de la Main Noire pour déclencher la Première Guerre Mondiale que l’idéologue américain des Illuminés de Bavière, Albert Pike, avait prédit dans une lettre à Mazzini (successeur d’Adam Weishaupt), le 15 août 1871.

Albert Pike (1809 - 1891)

Dans cette lettre, Pike présenta à Mazzini un plan en vue de conquérir le monde par trois guerres mondiales, et de permettre l’avènement d’un Nouvel Ordre Mondial :

  • La Première Guerre Mondiale devait être mise en scène pour que les Illuminés de Bavière aient un contrôle direct sur la Russie des tsars. À la suite de quoi, la Russie pourrait être utilisée comme la « bête noire » qui servirait les desseins des Illuminés à l’échelle mondiale. (voir Ouroboros 24)
  • La Deuxième Guerre Mondiale serait créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinion régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés. Cela amènerait la Russie à étendre sa zone d’influence et entrainerait la création d’un État d’Israël en Palestine.
  • La Troisième Guerre Mondiale serait basée sur les divergences d’opinion que les Illuminés créeraient entre les Sionistes et les Arabes. On programmerait alors une extension du conflit à l’échelle mondiale.

Une autre partie de la Troisième Guerre Mondiale consisterait alors à confronter nihilistes, athées et croyants, pour provoquer un renversement social qui verrait le jour après des affrontements d’une brutalité et d’une bestialité, jamais vus auparavant…

Le Nouvel Ordre Mondial étant déjà « officieusement » en place, la dernière partie de ce plan a quelque peu évolué aujourd’hui, mais l’éternel conflit qui oppose les Arabes et les Israéliens est toujours d’actualité et reste un très bon outil d’influence entre des mains « expertes ».

Albert Pike fut aussi le chef et le premier « Grand Dragon » du Ku Klux Klan (venant du grec kyklos ou le cercle).

Les objectifs du KKK étaient alors les suivants :

  • Soustraire aux noirs leur droit de vote,
  • Désavantager les écoles pour enfants noirs,
  • Rabaisser leur niveau de vie à celui d’esclaves,
  • Supprimer leur droit de posséder des armes.

Afin que vous compreniez bien l’idéologie d’Albert Pike, voici l’extrait d’un de ses discours, fait le 4 juillet 1889, à des francs-maçons américains du 32ème degré du Rite écossais :

« Nous vénérons un Dieu qui est, en fait, un Dieu qu’on prie sans superstition. Nous tous, initiés de haut grade, devons continuer à vivre notre religion dans la pureté de l’enseignement de Lucifer.

Si Lucifer n’était pas Dieu, serait-il calomnié par Adonaï (le Christ) dont les actes témoignent de cruauté, de haine envers son prochain et de rejet de la science ?

Oui, Lucifer est Dieu et Adonaï est aussi, hélas, Dieu.

La loi éternelle dit qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blancheur sans noirceur, car l’absolu ne peut exister que dans deux Dieux.

C’est pour cela que l’enseignement du satanisme est de l’hérésie. La vraie religion philosophique, c’est la foi en Lucifer, le Dieu de la lumière mis au même rang qu’Adonaï.

Mais Lucifer, Dieu de la lumière et du bien, se bat pour les hommes contre Adonaï, Dieu de l’obscurité et du mal. »

Lucifer est un nom propre qui signifie « Porteur de lumière » (étymologie latine : Lux « Lumière » et Fero du latin « Porter »).

À l’origine, c’est l’un des noms que les Romains donnaient à l’étoile du matin, autrement dit la planète Vénus, qui était appelée Vesper quand elle devenait l’étoile du soir.

C’est aussi un personnage des mythologies romaine et grecque, dieu de lumière et de connaissance.

Le nom Lucifer a été rajouté dans la Vulgate (une des versions de la Bible) pour traduire le terme « porteur de lumière » du Livre d’Isaïe, un roi de Babylone raillé pour sa volonté de s’élever au-dessus de sa condition d’homme et de dépasser Dieu.

Au fil des siècles, Lucifer s’est vu associé à l’orgueil et a été progressivement assimilé par la superstition chrétienne à Satan !

Dans le Livre d’Énoch, il est présenté comme un puissant archange déchu à l’origine des temps pour avoir défié Dieu et ayant entraîné les autres anges rebelles dans sa chute…

Fin de la parenthèse Albert Pike !

Livre d’Énoch

L’organisation sioniste mondiale fut créée le 3 septembre 1897, lors du premier congrès sioniste qui s’est tenu à Bâle en Suisse.

Cependant, ce n’est qu’en 1960 que le mouvement prendra le nom d’Organisation sioniste mondiale.

Cette organisation qui s’appelait encore « Organisation Sioniste » deviendra alors très vite la vitrine du mouvement sioniste dont l’objectif premier était l’établissement d’un centre spirituel, territorial ou étatique pour le peuple juif en terre d’Israël, territoire qui correspondait à la Palestine ottomane puis après la Première Guerre Mondiale à la Palestine mandataire.

Theodor Herzl (1860 – 1904), qui organisa le premier congrès, écrivit plus tard :

« À Bâle, j’ai donné naissance au futur État juif. Il peut venir dans cinq ans, ou dans cinquante ans, tout le monde le verra. »

Theodor Herzl

À la création de l’État d’Israël cinquante ans plus tard, le 14 mai 1948, une grande partie des institutions avaient déjà été mises en place au cours des congrès sionistes qui s’étaient tenus régulièrement au cours des précédentes décennies.

De 1897 à 1946, un congrès fut organisé tous les deux ans (à l’exception des périodes des guerres mondiales) dans différentes villes européennes, afin de construire toute l’infrastructure nécessaire à l’installation des Juifs en Palestine.

Des délégations représentaient lors des congrès tous les Juifs, quel que soit leur pays, leur langue, leur tradition religieuse ou leur sensibilité politique.

Le droit de vote de chaque délégué était représenté par l’utilisation de son shekel sioniste. Les représentants étaient alors regroupés en fonction de leur idéologie plutôt qu’en fonction de leur localisation géographique.

Les finances de l’organisation étaient gérées par le Jewish Colonial Trust, fondé en 1899, et l’acquisition de terres en Palestine était organisée par le Fonds national juif, fondé en 1901.

Le Keren Hayesod fut créé en 1920 pour organiser les activités élémentaires nécessaires à l’existence d’un État : développement de centrales électriques, de banques et des sites d’exploitation de potasse…

L’Organisation sioniste mondiale se compose aujourd’hui des institutions suivantes :

The World Zionist Unions (Syndicats sionistes mondiaux), les Fédérations internationales sionistes et des organisations internationales qui se définissent comme sionistes : WIZO, Hadassah, B’nai B’rith, Maccabi ou encore l’Union des étudiants juifs WUJS, et plus encore…

Le siège de l’Organisation sioniste mondiale a été déplacé aujourd’hui de façon permanente à Jérusalem, après avoir été situé dans plusieurs capitales européennes comme Berlin, Londres mais aussi New York.

À titre indicatif, sachez que le siège central des sionistes à Berlin fut transféré à New York sous la direction du juge Louis Dembitz Brandeis (1846 – 1951), un des principaux conseillers économiques des présidents américains Woodrow Wilson (1856 – 1924), puis plus tard Franklin Delano Roosevelt (1882 – 1945).

Louis Dembitz Brandeis

Woodrow Wilson, 28ème Président des États-Unis

À cette époque, le colonel Edward Mandell House (1858 – 1938) et Bernard Baruch (1870 – 1965) étaient des agents importants de l’Empire financier Rothschild.

Baruch fut l’instrument de la campagne présidentielle de Woodrow Wilson, le 28e président des États-Unis et le colonel House, comme le juge Louis Bembitz Brandeis, fut l’un des plus proches conseillers de Wilson !

House  organisa son cabinet d’après les intérêts des Rothschild et dirigea pratiquement tout le Département d’État américain ; Wilson n’était en réalité plus qu’une marionnette !

Il en donna la preuve concrète en n’opposant aucun veto à la création de la « Federal Reserve Bank » et en demandant l’accord du Congrès pour partir en guerre contre l’Allemagne…

Edward Mandell House

Mais le Congrès donna aussi son accord à cause de la forte pression du peuple américain. Celui-ci avait été en fait manipulé, avec les mêmes techniques de propagande et de « social conditioning » développées à Wellington House !

En 1916, le colonel House usa aussi de sa forte influence (en accord avec les actionnaires de la Federal Reserve) pour convaincre le peuple américain, qu’il avait le devoir sacré de servir la démocratie pour apporter au monde la sécurité !

Mais la Première Guerre Mondiale allait aussi devenir pour beaucoup de ses instigateurs une très bonne affaire !

Ainsi, Bernard Baruch, qui devint président de la Commission de l’industrie de guerre, vit sa fortune initiale passer de 1 à 200 millions de dollars !

Bernard Baruch

Sur l’ordre du colonel House, Woodrow Wilson fut chargé de faire comprendre au Congrès la nécessité de former la Société des Nations (League of nations) qui deviendra plus tard l’ONU.

C’était un pas décisif de plus pour les illuminati, sur la voie qui devait les conduire à la domination du monde. Leur vision était la suivante :

1 – La politique étrangère américaine de neutralité de George Washington était lettre morte. Les banquiers internationaux se serviraient de l’Amérique comme outil militaire.

2 – La Russie tsariste, souci permanent depuis beaucoup d’années pour les banquiers internationaux, avait été balayée avec succès de la scène mondiale par la révolution bolchévique (Ouroboros 24).

3 – La Première Guerre Mondiale causerait aux états impliqués une dette d’un montant astronomique. Ces dettes seraient contractées auprès des Banquiers internationaux, qui encaisseraient au passage des intérêts pharaoniques !!!

Les accords de Versailles se déroulaient selon les plans Rothschild :

Du côté américain se trouvaient Woodrow Wilson (la marionnette) avec ses conseillers et les agents Rothschild : Bernard Baruch et le colonel House.

Du côté anglais, plus exactement du côté de la Couronne, il y avait Lloyd George (1863 – 1945), membre du Comité des 300 avec son conseiller Sir Philip Sassoon (1888 – 1939), descendant direct d’Amschel Rothschild et membre du Conseil d’État secret anglais, le « Privy Council ».

La délégation française était représentée par le Premier Ministre Georges Clemenceau (1841 – 1929) et George Mandel, né Louis Georges Rothschild (1885 – 1944).

C’est donc vers le colonel House, à l’apogée de sa puissance, que se tournèrent les regards lors de la conférence de la paix à Versailles !

David Lloyd George

Sir Philip Sassoon

Georges Clemenceau

Louis Georges Rothschild (George Mandel)

Clemenceau se rendit un jour chez House alors que le président Woodrow Wilson s’y trouvait. Wilson dut quitter les lieux pour ne pas les déranger et leur permettre d’échanger en toute tranquillité.

En réalité, le traité de Versailles n’était pas un contrat de paix, mais avait pour fonction de préparer le terrain pour la mise en œuvre de la Seconde Guerre Mondiale.

Lloyd George révéla à ce sujet :

« Nous avons un document écrit qui nous garantit une guerre dans vingt ans. S’ils imposent des conditions à un peuple (l’Allemagne) qui est dans l’impossibilité de les remplir, ils l’obligent alors soit à rompre le traité, soit à refaire la guerre. »

L’instauration du régime de marionnettes sous Lloyd George à Londres provoqua un revirement dans la politique officielle envers le sionisme.

Cela rapporta très gros lorsque le ministre des Affaires étrangères, Arthur Balfour (1848 – 1930), écrivit la lettre suivante, le 2 novembre 1917, à Lionel Walter Rothschild (1868 – 1937), 2e baron de Rothschild :

« Cher Baron Rothschild, j’ai le plaisir de vous transmettre au nom du gouvernement de Sa Majesté sa marque de sympathie pour les aspirations juives sionistes présentées à l’assentiment du cabinet qui les a approuvées.

Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un Foyer national pour le peuple juif et emploiera tous ses effets pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant entendu que rien ne sera fait qui pourrait porter préjudice aux droits civils et religieux des communautés non juives en Palestine, ainsi qu’aux droits et au statut politique dont les juifs pourraient jouir dans tout autre pays.

Arthur Balfour

Lionel Walter Rothschild

Je vous serais reconnaissant de porter cette déclaration à la connaissance de l’Organisation sioniste.

Avec mes sincères salutations, Arthur James Balfour. »

Il est intéressant de noter qu’au moment où cette lettre fut écrite, la Palestine était encore territoire Turc. Quelques années plus tard, les turcs furent vaincus et l’Angleterre obtint le contrôle sur l’Égypte et la Palestine ; la France sur le Liban et la Syrie !

L’Empire Rothschild prit alors une part active dans cette transaction.

Il se servit de son influence aux États-Unis pour impliquer les États-Unis aux côtés des Alliés dans la Première Guerre Mondiale, et cela à une époque où ces derniers ne se trouvaient pas dans une position de force par rapport à l’Allemagne et à la Turquie !

Les illuminati provoquèrent donc la Première Guerre Mondiale pour constituer officiellement un Nouveau Gouvernement Mondial qui aurait dû inexorablement en découler !

Ils avaient enfin la possibilité d’appliquer les machiavéliques « Protocoles des Sages de Sion », aussi connus sous le nom de « Plan Mayer Rothschild ».

Remontons au XVIIIe siècle :

En 1773, Mayer Amschel Rothschild aurait rencontré en secret dans la maison des Rothschild, rue Juive à Francfort, douze bailleurs de fonds juifs aisés et influents (dénommés les Sages de Sion) pour mettre à l’étude un projet, visant à contrôler entièrement la finance mondiale.

Ces Protocoles furent gardés secrets jusqu’en 1901, date à laquelle ils tombèrent dans les mains du professeur russe S. Nilus qui les publia sous le titre : « Le danger juif ».

En 1921, Victor Marsden les traduisit en anglais sous le titre « The Protocols of Learned Elders of Zion » ou les Protocoles des Sages de Sion.

Beaucoup d’énigmes entourent encore aujourd’hui le Centre bancaire international représenté par la maison Rothschild. Aussi, arrêtons-nous quelques instants sur cette mystérieuse famille, vers laquelle tout semble remonter !

Les Protocoles des Sages de Sion

En 1750, Mayer Amschel Bauer acheta la banque de son père à Francfort et troqua son nom pour celui de « Rothschild » d’après l’enseigne rouge (traduction littérale du mot Rothschild) qui était accrochée à la porte d’entrée de la banque et qui représentait le signe des Juifs révolutionnaires et vainqueurs dans l’Europe de l’Est.

Mayer se maria et eut cinq garçons et cinq filles. Les prénoms de ses fils étaient Amschel, Salomon, Nathan, Kalmann (Karl) et Jacob (James).

Son ascension s’accéléra lorsqu’il obtint les faveurs du prince Guillaume IX de Hesse-Cassel et qu’il entra, grâce à lui, en contact avec des francs-maçons allemands.

Guillaume, ami de la dynastie de Hanovre d’Angleterre avait des revenus financiers considérables en louant ses mercenaires de Hesse au roi anglais. Plus tard, ces mêmes troupes combattirent en Amérique contre l’armée de George Washington dans la Valley Forge !

Mayer Amschel Rothschild (1744 - 1812)

Guillaume IX de Hesse-Cassel (1768 - 1839)

George Washington (1732 - 1799)

Lorsque le prince Guillaume dut s’enfuir au Danemark à cause des troubles politiques, il déposa à la banque Rothschild le salaire de ses mercenaires : soit 600 000 livres.

Grâce à cette fortune, Nathan Rothschild (le fils ainé de Mayer Amschel) put ouvrir une banque à Londres. L’or qui servit de garantie était lui, issu de la « East India Company ».

Ensuite, Nathan obtint une plus-value de 400% en prêtant de l’argent au duc de Wellington qui devait financer des opérations militaires.

Mais Nathan vendit aussi plus tard, et de façon totalement illégale, l’or qui devait servir de garantie à sa banque !

Ces transactions furent donc officiellement à l’origine de la fortune colossale des Rothschild qui instaurèrent ensuite le commerce bancaire international…

Nathan Rothschild (1777 - 1836)

Chacun de ses frères ouvrit alors une banque dans un pays différent :

Amschel à Berlin, Salomon à Vienne, Jacob à Paris et Kalmann à Naples.

Dans son testament Mayer Amschel Rothschild notifia alors de façon très précise, comment la fortune de la famille Rothschild devrait être gérée à l’avenir :

Elle serait administrée par les hommes et ce serait l’ainé qui aurait le pouvoir décisif et trancherait en cas de désaccord.

De plus, toutes les tenues de compte devraient rester absolument secrètes, particulièrement aux yeux des différents gouvernements !

À la mort de Mayer Amschel en 1812, le droit de décider de la fortune familiale revint à Nathan Rothschild. Il créa alors la Nathan Mayer Rothschild & Sons Bank à Londres, avec des succursales à Vienne, Paris et Berlin.

Les opérations de cette banque portaient sur des marchés d’actions et des prêts, elle assurait des gouvernements, administrait et dirigeait d’autres banques, des compagnies de chemin de fer, des aciéries, des industries d’armes, etc…

Aux États-Unis, la N.M. Rothschild & sons était représentée par les banques : Khun Loeb & Co, J.P. Morgan & Co et August Belmont & Co.

Nathan conserva cette position dans le clan familial jusqu’en 1836, année où il fut empoisonné lors d’une réunion de famille pour célébrer le mariage de son fils Lionel Nathan de Rothschild.

Son fils deviendra alors le nouveau directeur de la N.M. Rothschild & Sons et sera élu au Parlement britannique.

Le meurtre de Nathan fit de Jacob Rothschild, qui s’occupait alors de la succursale de Paris, le nouveau gérant de la fortune familiale de 1836 à 1868.

Les Rothschild, alliés aux Illuminés de Bavière par l’intermédiaire des Sages de Sion, représentaient alors une force financière gigantesque qui soutenait le sionisme et plus tard le communisme en Russie.

Lionel Nathan de Rothschild (1808 - 1879)

Mais il faut savoir que l’Empire Rothschild finança aussi les deux camps de la grande guerre civile américaine de 1861 à 1865.

De décembre 1860 à mai 1861, onze états américains du Sud, dont le système économique reposait sur l’esclavage, démissionnèrent de l’Union et constituèrent les « états confédérés », provoquant en avril 1861, la guerre de Sécession contre les États de l’Union du Nord…

L’un de ces provocateurs fut Georges Bickley qui avait fondé « les Chevaliers du Cercle d’Or » et par son intermédiaire, la maison Rothschild insista sur les inconvénients que représentait l’Union pour les États confédérés !

En revanche, dans les autres États de l’Union, les Rothschild, en se servant des banques J.P. Morgan et August Belmont, mirent l’accent sur les avantages de l’Union !

La Guerre de Sécession

Ainsi, la banque Rothschild de Londres finança les États du Nord et celle de Paris les États du Sud !

Cependant, Abraham Lincoln, le 16ème président des États-Unis, qui avait percé le jeu des Rothschild, refusa en 1862 et 1863 de leur payer les intérêts qui s’élevaient à des sommes colossales !

Il chargea alors le Congrès de faire imprimer des dollars « Green Back » pour payer les troupes de l’Union !

Bien entendu, cela ne convenait pas au plan des Rothschild et un de leurs agents, John Wilkes Booth (1838 – 1865) tua Lincoln le 14 avril 1865, au théâtre Ford de Washington !

Abraham Lincoln (1809 - 1865)

John Wilkes Booth (1838 - 1865)

Officiellement, après l’attentat contre Lincoln, Booth s’enfuit à cheval vers le sud du Maryland et s’abrita dans une ferme du nord de la Virginie où il fut repéré et abattu par des soldats de l’Union deux semaines plus tard, le 28 avril 1865.

Nous pouvons révéler aujourd’hui que Booth était sous la protection des « Chevaliers du cercle d’or » et qu’il finit sa vie en Angleterre avec une très grosse rente !

Après la mort de Lincoln, les dollars « Green Back » furent rachetés pour une bouchée de pain par les banquiers centraux Morgan, Belmont et Rothschild puis retirés définitivement de la circulation !

Mais après cette longue parenthèse sur la famille Rothschild, revenons maintenant au XXe siècle…

Dollar Green Back

Après l’armistice du 11 novembre 1918, Woodrow Wilson et son conseiller, le colonel House, vinrent en Europe avec l’espoir de pouvoir y former un nouveau gouvernement mondial en le présentant sous la forme d’une Société des Nations.

Les quatorze points que Wilson défendit n’eurent cependant pas l’effet escompté car la faute fut répartie également entre tous et le plan échoua…

C’est pourquoi House rencontra les membres de l’organisation secrète britannique de la Table Ronde en 1919.

Il était devenu évident que pour atteindre leurs buts, les Illuminati devaient étendre davantage leur réseau. Une fois le RIIA créé en Angleterre, ils prirent alors la décision de créer une autre organisation de front aux États-Unis…

Colonel Edward Mandell House

Pendant la conférence de la Paix à Paris en 1919, le colonel House, hôte du groupe de la Table Ronde, rassembla les esprits les plus éclairés du « Brain Trust » de Woodrow Wilson pour former une nouvelle organisation qui aurait à s’occuper des affaires internationales.

Ce groupe s’installera officiellement à New York et deviendra en 1921 le CFR (Council on Foreign Relations).

Cependant, il faut savoir que si les illuminati avaient eu la possibilité de créer le Nouvel Ordre Mondial après la Première Guerre Mondiale, il n’y aurait jamais eu la suivante, ni la montée du nazisme en Allemagne !

Le CFR est constitué aujourd’hui uniquement d’Américains et son cercle le plus intime est l’ordre Skull & Bones. Comme pour le RIIA, le noyau central du CFR dépend du groupe de la Table Ronde.

Le CFR et la Commission Trilatérale sont aujourd’hui, tout en restant dans l’ombre, les organisations les plus influentes aux États-Unis.

De même, le CFR et le groupe de la Table ronde dirigeaient au plus haut niveau la banque J. P. Morgan & Co.

Cette dernière a fusionné en janvier 2001 avec la banque d’investissement Chase Manhattan Bank dont le président était David Rockefeller, pour former une nouvelle holding financière, la JP Morgan Chase & Co.

David Rockefeller (1915 - 2017)

George Herbert Walker Bush, Skull & Bones 1947

À titre indicatif, la Table Ronde était issue à l’origine du rêve de Cecil John Rhodes (1853 – 1902), fondateur de la British South Africa Company et de la compagnie diamantaire De Beers, premier ministre de la colonie du Cap en Afrique du Sud (1890 – 1896) et fondateur de la Rhodésie en l’honneur duquel elle fut baptisée !

Rhodes fut aussi le créateur de la Bourse Rhodes décernée à des élèves méritants pour poursuivre des études à l’université d’Oxford.

À titre anecdotique, sachez que Bill Clinton, le quarante-deuxième président des États-Unis, en fut bénéficiaire !

Rhodes aspirait à un Nouvel Ordre Mondial pour régir le monde et sa devise personnelle était :

« So much to do, so little time… »

« Tant de choses à faire, si peu de temps… »

Cecil John Rhodes

Bill Clinton

Au milieu des années 1890, Rhodes avait un revenu personnel qui atteignait plus d’un million de livres sterling par an et qu’il dépensait si généreusement que son compte était le plus souvent à découvert !

Dans son premier testament, Rhodes expliqua que son but était :

  • Le soutien des intérêts humanitaires,
  • L’extension de la domination britannique au monde entier,
  • La création d’une si grande puissance que toute guerre deviendrait impossible !

Son modèle de société secrète était celle des Jésuites bien qu’il portait aussi une attention toute particulière à celle des francs-maçons et qu’il s’inspira de l’ordre des illuminés d’Adam Weishaupt !

Pendant longtemps, les techniques des Illuminés servirent de modèle aux communistes. Weishaupt avait lui-même pris exemple sur l’organisation des Jésuites dont il fit partie et transcrivit son code en termes franc-maçonniques (Ouroboros 23).

En 1888, Rhodes écrivit son troisième testament dans lequel il léguait tout à Lionel Walter Rothschild, son financier dans ses entreprises d’exploitation minière).

Une lettre y était jointe. On pense qu’il s’agit de son premier testament et de son « credo » puisqu’un post-scriptum de Rhodes dit :

« Quant aux questions auxquelles il est fait allusion, prenez la constitution des Jésuites, si vous pouvez l’obtenir. »

Lionel Walter Rothschild (1868 - 1937)

Cette société secrète fut au final érigée selon le modèle de conspiration d’Adam Weishaupt qui partait de petits cercles pour aller vers les plus grands…

Son noyau central fut fondé en mars 1891 avec les deniers personnels de Rhodes.

Plus tard, Rothschild fit nommer lord Alfred Milner à la tête de la Table Ronde. Il travaillait dans les coulisses du gouvernement britannique et exerça une grande influence sur la politique extérieure de l’Angleterre durant la Première Guerre Mondiale…

Alfred Milner (1854 - 1925)

Pour Rhodes, les effets désastreux dont on parle dans l’histoire de la tour de Babel et qui sont dus aux différentes langues des hommes auraient pu être effacés grâce à l’introduction d’une langue universelle.

Si on encourageait les hommes à devenir des citoyens du monde, il serait plus facile de dépasser toute forme de national-socialisme qui contribuaient, selon lui, à déclencher les guerres !

C’était le grand rêve de Cecil John Rhodes, mais quelque chose tourna mal…

Il croyait réaliser son rêve grâce à la puissance et au gigantesque réseau des Rothschild mais ce dernier était corrompu !

C’est pourquoi les institutions créées par Rhodes tombèrent très vite entre les mains de ceux qui allaient s’en servir, avec succès, pour opprimer l’humanité…

C’est ce que nous vous inviterons à découvrir dans le prochain opus d’Ouroboros où nous révèlerons l’histoire secrète de la Seconde Guerre Mondiale…

 

Le contenu de cette page provient de la chaîne Youtube https://www.youtube.com/user/PierrePhilo

1 réflexion sur “L’origine occulte de la Grande Guerre”

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