Les Armes Électromagnétiques Scalaires (Partie 1)

Aux États-Unis, il existe des projets militaires tellement secrets qu’ils sont ignorés de la plupart des gouvernements et des scientifiques du monde, à l’exception de la Russie et de la Chine.

Il recouvre le pompage de l’énergie quantique à partir du vide, la construction d’engins antigravitationnels et le développement d’armes électromagnétiques scalaires.

Dans un précédent chapitre, nous avions abordé l’électromagnétisme scalaire car elle est à la base d’un système d’antigravitation de certains OVNI terrestres, cependant il faut savoir que des armes de type « guerre des étoiles » ont été aussi développées suivant ce principe.

Ces armes futuristes ne sont pas sensées exister, du moins pas encore au XXIe siècle et pourtant elles sont déjà employées depuis plus de 50 ans.

Comme nous l’avions déjà vu, l’électromagnétisme scalaire est une extension de l’électromagnétique (EM) qui inclut la gravitation.

C’est une théorie unifiée dont les bases ont été découvertes par Nikola Tesla et qui, contrairement à la Relativité, peut être directement expérimentée.

Dans l’extension EM scalaire, l’énergie du champ EM peut être transformée en énergie de champ gravitationnel et vice-versa. Cette transformation peut être structurée et localisée, dans des zones ou objets spécifiques.

Dans le plus grand secret, les États-Unis, la Chine et l’Union Soviétique ont développé l’électrogravitation et l’ont appliquée à la conception de nouvelles armes d’une puissance inimaginable.

Sur Terre, ces armes agissent un peu à la manière d’un serpent mortel d’Amérique du Sud appelé « Fer de Lance ».

« Fer de lance » dresse souvent une embuscade à sa proie et frappe à l’improviste sans prévenir. Sa première attaque est habituellement mortelle pour la victime qui expire rapidement après de violentes convulsions.

Le développement d’armes scalaires soviétiques a été conçu dans le même but et les russes durent consacrer l’équivalent d’environ sept projets Manhattan pour finaliser le projet.

 

Les armes énergétiques et à énergie dirigée (DEW)

Le nom soviétique ordinaire pour ce type de science de l’armement est : ÉNERGÉTIQUE.

À l’Ouest, ce terme est habituellement associé aux armes à énergie dirigée conventionnelle (DEW ou Directed Energy Weapons) comme les armes à faisceaux de particules, lasers, système d’énergie dirigée en radiofréquences (RF), etc.

Les scientifiques occidentaux se sont uniquement familiarisés avec les armes à énergie dirigée où des fragments, des masses, des photons ou des particules parcoururent l’espace et entrent en contact avec la cible pour délivrer leurs effets.

Ils limitent habituellement le terme soviétique « énergétique » aux types d’armes qu’eux-mêmes maîtrisent, c’est-à-dire aux armes utilisant une énergie ou une masse traversant l’espace et allant impacter une cible.

Cependant il est possible de focaliser la structure ondulatoire afin que ses effets voyagent à travers l’espace-temps, de manière que masses et énergies ne parcoururent pas l’espace entre un émetteur et une cible.

Les ondulations et les structures de l’espace-temps sont alors manipulées directement pour se rencontrer et s’interférer.

L’interférence de ces structures ondulatoires crée alors l’effet énergétique désiré (d’où le terme soviétique « énergétique ») dans et à travers la cible elle-même qui émerge de l’espace-temps (du vide).

Parallèlement à ce programme, les soviétiques avaient aussi développé et mis en œuvre un plan de mystification pour dissimuler au maximum l’effet « énergétique » de leurs armes.

Cette mystification a si bien réussi que lorsque les scientifiques occidentaux furent directement confrontés aux tests des armes soviétiques, ils n’arrivèrent pas à les identifier ni même à déterminer la nature de leurs effets.

Pourtant, le développement officiel des armes « énergétiques » fut annoncé par Nikita Khrouchtchev, dès le début de janvier 1960.

Le 10 avril 1963, l’une des premières super armes déployées opérationnellement a été utilisée pour détruire le sous-marin atomique U.S.S. Thresher en plongée, au large de la Côte Est des États-Unis.

Le 11 avril 1963, la même super arme déployée a été utilisée dans un mode différent pour produire une explosion sous-marine géante dans l’océan, à 160 kilomètres au nord de Porto Rico.

Au fil des années, différents avions ont subi des interférences ou ont été détruits par les essais soviétiques.

Nikita Khrouchtchev

On peut citer par exemple la perte mystérieuse de plusieurs F-111 pendant la guerre du Vietnam. Leurs systèmes électriques et électroniques se sont déréglés simultanément.

Ces sabotages ont été provoqués par la conversion des systèmes radars de missile nord-vietnamien (SA-2) en mode EM scalaire, et en induisant une interférence de faisceau scalaire pour produire des bruits électromagnétiques parasites dans les systèmes électriques et électroniques des F-111.

Entre fin avril et début mai 1985, toute l’armada des super armes EM scalaires soviétiques a été activée lors de la célébration du 40ème anniversaire de la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Elle comprenait plus de 100 super armes couplées à 27 générateurs géants.

Le 26 novembre 1985, le lancement de la navette spatiale par la NASA a fourni une opportunité de choix aux soviétiques pour tester leur super arme en mode ABM (anti-missile balistique).

Au début, les explosions de la pulsation électromagnétique (EMP) sur la trajectoire de la navette, ont été délibérément décalées dans le temps, pour empêcher la destruction de la cible et éviter d’alerter les U.S.A.

Dans ce cas, une très forte explosion ou « boum sonique » a eu lieu sur le site de lancement, 12 minutes après le décollage de la navette, tandis qu’elle était déjà loin sur sa trajectoire.

Après l’absence de réaction des américains, qui ne comprenaient pas l’origine du « boum sonique », les russes ont décidé d’effectuer des tests pour détruire réellement la cible.

Le 12 décembre 1985, la même arme soviétique testée contre les lancements de la navette a volontairement interféré avec les contrôles d’un DC-8 Arrow décollant de la base Gander Air Force à Terre-Neuve (Newfoundland).

À une altitude de 30 mètres, l’avion, transportant plus de 250 soldats américains, a perdu sa puissance et s’est écrasé au sol, tuant l’ensemble des passagers.

Trois Canadiens témoins du crash ont été interviewés aux informations télévisées de la Canadian Broadcast Corporation, le 8 avril 1986 à 22 heures.

Ils affirmaient qu’aucune flamme ou fumée n’était sortie de l’avion avant sa chute et son crash. Cependant, ils ont vu l’avion illuminé d’une mystérieuse lueur jaune.

Sachez seulement que la lueur jaune est la signature d’un obus scalaire réglé en mode « émergence EM continue ».

En résumé, les systèmes électriques du DC-8 ont subi une interférence avec un bruit électromagnétique créé à travers l’espace-temps autour de l’avion, et la lueur jaune était un halo électrique dû à l’acquisition d’une charge électrique très élevée sur la paroi de l’appareil.

En septembre 1987, les deux derniers missiles Titan 34-D de l’Air Force furent mis à feux à la base de Vandenburg Air Force en Californie mais se désintégrèrent aussi mystérieusement que les précédents.

Le premier s’est désintégré le 28 août 1985 juste après son décollage. À l’époque, cette perte fut officiellement attribuée à la panne d’une pompe de carburant haute puissance, qui aurait provoqué une fuite massive de comburant.

La deuxième perte d’un Titan eut lieu le 18 avril 1986 quand le missile s’est aussi désintégré 5 secondes après son lancement. Officiellement, aucune cause sérieuse n’a jamais pu être établie par les américains.

En fait, il faut savoir que la navette et les Titans étaient les seuls lanceurs viables pour mettre en orbite les satellites américains « Spy ». Les soviétiques faisaient donc d’une pierre deux coups.

L’unique rescapé de ce massacre fut le satellite KH-11 que les américains réussirent à lancer, mais dont l’espérance de vie était au maximum de trois ans.

Aujourd’hui, les américains ne savent toujours pas s’il a existé une activité réellement significative de la grille/réseau « Pivert » dans le voisinage du lancement du Titan en août 1985.

Cependant, le 18 avril 1986, les traces d’un nuage radial dans le ciel d’Huntsville en Alabama ont été prises en photo et des rapports de Thousand Oaks en Californie indiquaient une activité importante du réseau « Pivert », le jour où le deuxième Titan a explosé.

L’explosion de la navette spatiale CHALLENGER

En 1986, la navette Challenger a été lancée de Cap Canaveral en Floride alors que les conditions climatiques étaient défavorables et a explosé peu de temps après le décollage, tuant les sept astronautes.

Officiellement, la navette avait du mal à s’élever lorsqu’une extrémité de son booster droit s’est brisée, le projetant contre le réservoir principal et provoquant sa rupture, une fuite importante de carburant et son explosion. Au final, les expertises n’ont révélé qu’un problème au niveau des joints du booster.

Cependant, avant cette catastrophe, les russes avaient testé un système anti-missile balistique en phase de lancement (LPABM), lors des trois précédents lancements de la navette.

Ces « tirs à blanc » utilisaient délibérément un « time-offset » pour décaler l’émergence explosive de l’énergie électromagnétique, sur la trajectoire de décollage des navettes.

Ces tirs de tests décalés eurent pour résultats un très grand « boum sonique » au-dessus du site de lancement, mais ne détruisirent pas les navettes.

Pour la destruction de Challenger, un faisceau traçant (grande lumière dans le ciel qui fut photographiée) a été utilisé sur sa trajectoire peu après le décollage.

Une photographie montre même un éclair de lumière soudain, descendant et se terminant dans une explosion de lumière.

Cette explosion lumineuse était le résultat d’un ultime test déplacé spatialement du « mode pulsé » avant de détruire la navette.

Ensuite, un signal réduisant la résistance des métaux a simplement été rajouté aux émissions EM scalaires des systèmes LPABM soviétiques.

Juste avant le dernier lancement de Challenger, fin janvier 1986, les soviétiques avaient aussi accompli une manipulation climatique significative sur les U.S.A.

Ils ont intentionnellement détourné le Jet Stream vers le sud, dans le milieu des États-Unis, pour traverser le « panhandle » de la Floride.

De l’air froid glacé du Canada a été ainsi aspiré très bas, en Floride, sur l’aire de lancement de Challenger.

Cette exposition anormale au froid, fut aussi un facteur additionnel, minutieusement calculé, qui a contribué à la destruction de Challenger.

Le 28 janvier 1986, le système d’arme EM scalaire soviétique fut précisément dirigé dans la zone de lancement de la navette.

La localisation impliquait que des fréquences plus élevées étaient présentes ; celles-ci sont très douloureuses pour les petits cerveaux des oiseaux dont les hémisphères fonctionnent comme un détecteur et un interféromètre scalaire.

C’est pour cette raison que les oiseaux ne volaient pas ce matin-là sur la zone de lancement.

Alors que Challenger s’élevait, le signal réduisant la résistance des métaux fut canalisé dans et autour des boosters, juste après la mise à feu, la flamme du booster agissant alors comme un détecteur/tuner spécial à « ion-plasma » pour le signal scalaire.

Le vol de Challenger était donc voué à l’échec…

Après la mise à feu, la flamme du booster a agi comme un détecteur/amplificateur de plasma pour le signal, réduisant la résistance des métaux dans tout le réseau « Pivert » créé autour de la navette.

Le métal du booster au niveau de la flamme s’est lentement et progressivement affaibli et a contribué à sa fuite, à partir d’un joint d’étanchéité déjà mise à mal par le froid.

De la fumée s’est échappée puis des flammes et le booster s’est mis à osciller, pivotant sur le réservoir et le fracturant.

Enfin, une violente explosion s’est produite par le contact de la flamme avec l’épanchement du carburant liquide, provoquant l’explosion de la navette et tuant tous ceux qui étaient à bord…

Les Soviétiques ont provoqué l’autodestruction de Challenger d’une manière si subtile que les scientifiques de la NASA n’ont jamais pu les incriminer directement.

Il faut cependant savoir qu’au même moment, les russes avaient reculé tous leurs chalutiers et navires qui normalement espionnaient les tirs de navettes, afin d’éloigner les soupçons d’une quelconque implication dans ce drame.

Dans les mathématiques non-linéaires, l’ingénierie et la science, les Soviétiques ont souvent devancé leurs homologues occidentaux.

L’effet (EMP) d’impulsion électromagnétique d’une explosion nucléaire est apparu dans la littérature scientifique ordinaire soviétique avant même que les scientifiques occidentaux soient conscients que l’effet existait.

Historiquement parlant, après 1895, les physiciens ne pouvaient plus utiliser les mathématiques des déplacements physiques continus pour modéliser l’Univers.

La théorie quantique exigeait ce qui était alors des changements radicaux dans les hypothèses de causalité.

Les atomes émettaient ou n’émettaient pas des radiations, non sur des bases déterminées, mais selon des probabilités.

Les constituants basiques de la matière et de l’énergie devenaient alors soit des particules ayant des propriétés semblables aux ondes, soit des ondes ayant des propriétés semblables aux particules.

Selon comment et quand vous les mesuriez, leur position et leur vitesse ne pouvaient pas être mesurées simultanément à un degré de précision quelconque.

L’état d’une particule est déterminé uniquement quand vous la mesurez et cette mesure détermine aussi immédiatement l’état d’une particule reliée qui devient en même temps si éloignée que l’information ne peut lui parvenir depuis la première particule.

L’un des problèmes majeurs des physiciens pour la compréhension et l’assimilation de la théorie quantique était dû au fait que l’interprétation de toutes les mesures est complètement liée aux hypothèses théoriques concernant ces mesures.

Dans la seconde partie de ce chapitre, nous aborderons la théorie de la résonance électromagnétique scalaire, qui est à la base de la technologie des armes scalaires…

Officiellement, les armes de type « guerre des étoiles » relèvent de la science-fiction et ne sont pas sensées exister, du moins pas encore au XXIe siècle.

Vous savez aujourd’hui que c’est faux…

 

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