Histoire
L’existence de l’énergie scalaire a été mise en avant par 4 équations révolutionnaires du mathématicien écossais, James Clerk Maxwell, au milieu des années 1800.
Par la suite, Albert Einstein a reconnu l’existence de cette forme d’énergie et en fait référence dans les années 1920.
Pourtant, c’est Nikola Tesla qui en est généralement considéré comme le « père » grâce à ses travaux sur l’Électromagnétisme Scalaire.
L’univers visible ne représente qu’une petite partie des forces qui s’exercent dans notre cosmos.
La force naturelle cosmique peut s’exercer de manière infinitésimale et constituer une énergie supplémentaire dite « sur-unitaire ».
C’est une source d’énergie infinie qui peut être utilisée n’importe où.
Nous la connaissons aujourd’hui officiellement sous le nom « d’Énergie Libre ».
L’Électromagnétisme Scalaire
L’électromagnétisme scalaire est une extension de l’électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation.
C’est une théorie unifiée pouvant être directement expérimentée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla.
Dans l’extension EM scalaire, l’énergie du champ EM peut être transformée en énergie de champ gravitationnel et vice-versa.
Cette transformation peut être structurée et localisée, dans des zones ou des objets spécifiques.
Le secret de l’Antigravité
La « charge électrique » d’une particule chargée (celle d’un atome ou des protons de son noyau) représente une différence d’intensité (potentiel) de flux entre la particule locale et son vide environnant.
C’est un épanchement continuel de la charge gravitationnelle et de la charge électrique. Si cet épanchement est inversé ou arrêté, il se produit un effet radical sur la charge gravitationnelle :
Le potentiel-5 et la charge-5 deviennent respectivement un potentiel-4-G et une charge-4-G.
En « chargeant » la structure EM scalaire d’un objet, on le charge aussi gravitationnellement.
Un « canal d’épanchement » se produit alors à travers le champ de force 4-G.
Dans un noyau, les nucléons vont et viennent continuellement entre proton et neutron, ce qui fait que la charge électrique est « éparpillée » à travers le noyau et partagée par tous les nucléons.
Chaque isotope a alors son propre et unique « pattern d’ensemble » de fréquences scalaires d’expansion de Fourier, d’amplitudes, etc.
Bien que ce pattern puisse être reproduit artificiellement et être émis par des émetteurs EM modifiés, il y a cependant une sorte de pattern (EG) d’EM scalaire « clef maîtresse » pour les nucléons (protons et nucléons s’intervertissent en échangeant des courants de charge virtuels).
Si on inverse la charge par l’inversion de cette structure et qu’on applique cette « charge inversée à une masse », pour un observateur externe cette masse paraitra de plus en plus légère (acquisition d’une masse négative) et son inertie de moins en moins importante (acquisition d’une inertie négative).
L’objet subira une accélération l’éloignant de la Terre. Il tombera vers le haut au lieu de tomber vers le bas.
Cela engendrera aussi d’étranges effets sur le temps.
Un objet pourra se déplacer plus lentement à travers le temps que l’observateur dans le laboratoire, ou même se déplacer en arrière dans le temps par rapport à l’observateur.
La Résonance Scalaire
La résonance scalaire est un secret jalousement gardé par les scientifiques affectés aux projets touchant à la technologie extraterrestre.
Elle n’apparait jamais dans les manuels conventionnels.
La résonance scalaire est une multi-résonance électromagnétique particulière de somme zéro, de sorte qu’elle n’agit pas d’une façon électromagnétique.
C’est une onde électromagnétique stationnaire, elle peut être produite électriquement mais elle n’est pas électrique dans son comportement.
Dans n’importe quelle résonance scalaire, l’espace-temps est courbé et c’est l’ampleur et la direction de cette courbure qui oscillent sous forme d’onde stationnaire.
Par rapport au stress ambiant et local du vide, la moitié d’une onde sinusoïdale stationnaire est extensible, l’autre moitié est compressible. La « masse » d’une particule est juste une caractéristique exhibée par une résonance scalaire piégée produite par son « spin ».
Donc le concept de « masse » peut être comparé à celui de « capacité ». Ce qui signifie qu’une masse est un accumulateur d’ondes scalaires et donc de résonances scalaires.
Elle se « charge » et se « décharge » continuellement par absorption et émission d’ondes scalaires depuis et vers le flux d’ondes scalaires du vide ambiant.
Par conséquent, la magnitude d’une masse peut être définie en termes de valeur absolue de ce taux de « commutation ».
Absorption = flux entrant
Émission = flux sortant
Un émetteur d’onde scalaire est en réalité un peu comparable à une pompe à chaleur : il peut agir soit comme un « émetteur d’énergie » ou soit comme un « extracteur d’énergie », selon la différence de potentiel entre « l’émetteur » et le « receveur ».
Une résonance scalaire peut avoir une structure spécifique sous de nombreux aspects : courbures spatiales, fréquences ou encore débit d’écoulement du temps. Chaque objet a son « modèle scalaire » individuel, lequel est une empreinte digitale unique.
Puisque cette empreinte est spatio-temporelle, elle est aussi un produit de l’histoire passée de l’objet et donc d’un point de vue scalaire, deux objets ne peuvent être identiques.
Ne croyez plus ce qu’on dit sur la relativité : aucun de ceux qui l’enseignent officiellement n’a jamais réussi à fabriquer une seule situation de relativité générale par expérience directe.
L’expérimentation de l’EM scalaire est pratiquée à grande échelle depuis plusieurs décennies par les soviétiques et les américains. Elle prouve que tout ce qui a été enseigné sur la « Relativité » est erroné.
L’EM scalaire est à la base des technologies antigravitationnelles et des nouvelles armes que développent, dans le plus grand secret, certains gouvernements avec parfois la collaboration de « Visiteurs ».
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Désireuse d’en savoir plus sur les ondes scalaires, je ne me soigne que par des alternatives naturelles, existe-t-il des thérapeutes en France ?
Merci pour toute information.
Cordialement.