AVERTISSEMENT
Nous ne sommes pas autorisés à révéler qui sont les Illuminati, mais seulement certains de leurs plans. Cependant, pour la première fois, nous allons vous permettre de vous asseoir à leur table et d’assister à l’élaboration de la Seconde Guerre Mondiale.
Nous irons aussi loin dans les explications qu’il est possible de le faire, mais ne répondrons à aucune de vos questions, ni en public, ni en privé…
Sans cette ultime condition, il n’aurait jamais été possible de mettre en ligne cet article.
Merci de votre compréhension…
Bien que des centaines de livres aient été écrits sur la tragédie de la Seconde Guerre Mondiale, très peu de personnes connaissent l’arrière-plan réel de cette guerre qui fut la plus onéreuse de tous les temps.
L’histoire, telle qu’elle est racontée dans les livres d’histoire en Allemagne, aux États-Unis, en Angleterre et au Japon, n’a qu’une lointaine ressemblance avec ce qui s’est réellement passé et les buts poursuivis.
Ce que l’on raconte est pourtant exact, mais une moitié de la vérité a été omise et fut toujours cachée.
Ce que nous savons de cette guerre, ce sont des données historiques, qui a fait quoi, quand, où, comment et avec qui…
Mais nous n’avons jamais vraiment su qui, dans l’ombre, tirait les ficelles, ils ne sont jamais mentionnés…
Le 6 février 1929, MONTAGU NORMAN, président de la Banque d’Angleterre, vint à Washington pour tenir conseil avec le ministre des Finances américain ANDREW MELLON.
Après cette visite, la Federal Reserve augmenta son taux d’intérêt.
Le 9 mars 1929, Paul Warburg communiqua dans la revue des finances « Financial Chronicles » :
« S’il est permis de spéculer sans se mettre de limites, alors l’effondrement total est sûr et certain… »
Ceux qui comprirent se retirèrent de la Bourse sur la pointe des pieds et investirent dans l’or et l’argent.
Le temps était venu à l’automne 1929, où les banquiers internationaux devaient appuyer sur le bouton qui allait déclencher la Seconde Guerre Mondiale.
Après avoir organisé le Krach Boursier Américain de 1929 en provoquant artificiellement un boom d’actions, ils détruisirent la base du système financier et précipitèrent les États-Unis dans une profonde crise.
Les années suivantes virent le développement économique se ralentir dans le monde entier jusqu’à ce que plus rien ne marchât…
Les Illuminati se servirent très adroitement du désespoir général causé par la crise pour racheter à bas prix des terrains et des sociétés. Ce fut aussi une bonne occasion d’accroître leur influence sur le gouvernement américain.
Le CFR se mit, comme prévu, à attirer dans ses rangs des éminences du gouvernement, des patrons de l’économie, des managers de la presse et des militaires haut placés.
Parallèlement, l’avenir de l’Allemagne était déjà déterminé après le Traité de Versailles qui l’obligeait à payer des réparations d’un montant de 123 milliards de Mark Or et à donner annuellement 26% de la valeur de ses exportations.
L’effondrement de la monnaie allemande suite à l’exigence des paiements de réparations était donc prévisible : on allait vers une inflation chronique.
Dans ce chaos, l’Allemagne demanda un ajournement pour tous les paiements de réparations en argent liquide pour les deux années suivantes.
Les vainqueurs refusèrent la requête. Ils votèrent le 9 janvier 1923 à trois contre un pour déclarer que le Reich allemand était en retard dans ses paiements de réparations (l’Angleterre vota non sur l’ordre de la City).
Deux jours plus tard, les troupes françaises et belges occupèrent la Ruhr. Mais les ouvriers allemands en appelèrent à une grève générale dans cette région et l’occupation des Alliés s’avéra être un échec.
Les troupes sortirent de cette impasse lorsque l’Allemagne déclara être d’accord pour accepter le compromis connu sous le nom de plan DAWES.
Le plan Dawes avait été élaboré par J. P. Morgan, collègue des Rothschild, et devait concéder à l’Allemagne des crédits de 800 millions de dollars les quatre premières années.
Le plan Dawes échoua lorsque les paiements de réparations de l’Allemagne s’accrurent.
Il fut remplacé par le plan Young (d’après le nom de l’agent de Morgan, Owen Young). Pour mieux dévaliser les pays, les banquiers internationaux créèrent en Suisse la BANQUE POUR LE RÈGLEMENT INTERNATIONAL DES COMPTES.
Cela faciliterait les paiements de réparations des dettes de la Première Guerre Mondiale : il suffisait d’effectuer un virement du compte d’un pays sur le compte d’un autre pays dans la mesure où les deux pays avaient un compte dans cette banque.
Dans ce cas aussi, les banquiers en profitèrent pour prélever des frais et de nombreuses commissions.
D’un côté, les banquiers soutinrent tous les partis qui firent la guerre et d’un autre, ils prêtèrent aussi de l’argent aux Allemands pour les paiements des réparations.
Quoi que puisse faire l’Allemagne, on savait bien à qui elle s’adresserait pour emprunter l’argent. C’était exactement le même groupement qui avait programmé la Première Guerre Mondiale, qui l’avait financée, dirigée et qui s’était rempli les poches.
Les énormes capitaux américains qui furent transférés en Allemagne depuis 1924 sous la couverture du plan Dawes et du plan Young constituaient la base sur laquelle Hitler allait construire toute sa machine de guerre.
L’apport fourni à l’Allemagne avant 1940 par le capitalisme américain en vue de préparer la guerre était phénoménal.
Des preuves permettent de comprendre que le secteur influent de l’économie américaine était prêt à aider le nazisme en le soutenant financièrement et que cela finirait par une guerre où seraient impliqués l’Europe et les États-Unis.
Ces preuves attestent que les milieux bancaires et industriels américains étaient largement impliqués dans la montée du 3e Reich. On peut les trouver dans les comptes rendus et les rapports sur les auditions du gouvernement publiés entre 1928 et 1946 par :
- Les commissions du Sénat et du Congrès enquêtant sur la propagande nazie en 1934,
- Les rapports sur les cartels publiés en 1941 par la Commission économique provisoire nationale du Congrès et par le sous-comité du Sénat pour la mobilisation en 1946.
Les années précédant la Seconde Guerre Mondiale virent naître un cartel international qui avait son siège central en Allemagne et qui contrôlait l’industrie chimique et pharmaceutique dans le monde entier.
C’était une force politique et économique puissante dans certaines parties du monde. Ce cartel s’appelait I. G. FARBEN.
Jusqu’à la déclaration de la Seconde Guerre Mondiale, le groupe I. G. Farben était devenu le groupe industriel le plus important en Europe et la plus grande entreprise de chimie dans le monde.
I.G. Farben avait développé en 1926 une méthode pour obtenir de l’essence à partir du charbon et conclut en 1949 un contrat de licence avec la STANDARD OIL de Rockefeller.
Cette dernière donna à I. G. Farben 546 000 de leurs actions ordinaires d’une valeur de plus de 30 millions de dollars.
Deux ans plus tard, I. G. Farben signait le contrat ALIG avec Alcoa-Aluminium et produisait environ la moitié de l’essence allemande. Plus tard, il construisit des raffineries juste à côté des camps de concentration.
Les prisonniers furent contraints d’y travailler comme des esclaves pendant qu’on produisait dans ses raffineries le gaz pour les chambres à gaz des camps de concentration.
Le groupe I. G. Farben était un des plus importants groupes contrôlés par les Rothschild et écoulait des sommes d’argent énormes dans l’économie allemande et particulièrement aux futurs SS.
Le comité directeur d’I. G. Farben comptait parmi ses membres Max et Paul WARBURG, de la Federal Reserve, qui possédaient de grandes banques en Allemagne et aux États-Unis.
Deux autres membres du Conseil d’administration furent C. E. MITCHELL, membre du conseil d’administration de la Federal Reserve et de la National Oil Bank, et H. A. METZ de la Bank of Manhattan.
HERMANN SCHMITZ, président de I. G. Farben, faisait partie en même temps du comité directeur de la DEUTSCHE BANK et de la banque POUR LE RÈGLEMENT INTERNATIONAL DES COMPTES.
Les frères Averell et Roland HARRIMAN, initiés en 1917 à Skull & Bones, contribuèrent aussi fortement à financer les SS par l’UNION BANK.
De même, les filiales d’ITT et de General Electric soutinrent directement les SS du 3e Reich.
Le principal agent de liaison entre Hitler et les barons de Wall Street fut HJALMAR HORACE GREELY SCHACHT, président de la banque du Reich, dont la famille était étroitement liée à l’élite des finances internationales.
Schacht fut le cerveau du plan Young et aussi de la Banque pour le règlement international des comptes.
Son plan fonctionna à la perfection et contribua à rendre explosifs les événements dans la république de Weimar.
Le DR FRITZ THYSSEN, un industriel allemand, expliqua qu’il ne s’était tourné vers le parti nazi que lorsqu’il dut constater que pour empêcher l’effondrement total de l’Allemagne, il faudrait lutter contre le plan Young.
L’acceptation du plan Young et de ses principes financiers accentua de plus en plus le chômage et on compta bientôt un million de chômeurs en Allemagne.
Après le krach boursier de 1931, l’industrie allemande frôla la banqueroute. Fritz Thyssen adhéra officiellement au parti nazi et soutint Adolf Hitler.
La plus grande part de sa fortune s’écoula à travers la BANK VOOR HANDEL qui, à son tour, contrôlait l’UNION BANK.
Cette dernière était une alliance de Thyssen et Harriman, quatre sur huit de ses directeurs étaient membres de SKULL & BONES et deux étaient des nazis.
Harriman finançait, en même temps, les soviétiques et les nazis par l’intermédiaire de la BROWN BROS HARRIMAN BANK.
Un de ses plus proches collaborateurs fut PRESCOTT BUSH, père de GEORGE BUSH, ex-président des États-Unis.
Prescott et George Bush étaient aussi tous deux membres de SKULL & BONES.
Jusqu’en 1936, plus de 100 firmes américaines furent impliquées dans la construction de la machinerie de guerre allemande comme General Motors, Ford, International Harvester ou Du Pont.
Les investisseurs ne visaient pas des affaires à court terme puisque le contrat entre ces firmes et le gouvernement allemand stipulait que celles-ci n’avaient pas le droit de sortir un pfennig d’Allemagne.
Les profits ne débuteraient que cinq ans plus tard lorsque les Japonais attaqueraient Pearl Harbor entrainant, par ce fait, les États-Unis dans la guerre.
De toute évidence, cela avait déjà été préparé dans les moindres détails, mais seuls les initiés le savaient.
Les banquiers internationaux et leurs agents sont à l’origine de la situation qui a conduit à la Première Guerre Mondiale ; ils en retirèrent un bon butin, financèrent la révolution russe et obtinrent le contrôle de ce grand pays.
Ils manipulèrent les événements dans l’Europe d’après-guerre pour s’enrichir, utilisèrent des fonds américains pour empocher d’énormes commissions pour équiper l’industrie allemande d’installations techniques de pointe et l’amener à la deuxième place au rang mondial.
Ceux qui détenaient les monopoles ont manipulé et utilisé les Allemands.
Pendant qu’ils mettaient sur pied l’industrie allemande tout en luttant en même temps contre le peuple allemand, ils allaient permettre à un homme fort d’entrer sur la scène politique.
Celui-ci gagnerait les masses à sa cause en leur promettant de les libérer des financiers internationaux rapaces.
L’Allemagne des années 1930 était une bombe à retardement fabriquée par les banquiers internationaux.
Elle était dans l’attente d’une personne comme ADOLF HITLER qui allait entrer en scène et prendre le pouvoir…
Dans un discours en 1933, Hitler démontra qu’il était possible que le communisme se propage et englobe l’Angleterre et affirma que si cela arrivait, il aiderait les Britanniques à se défendre s’ils faisaient appel à lui.
Rudolf Hess fit un voyage en Angleterre pour essayer de réunir les deux plus puissantes nations nordiques.
Mais après la drôle de guerre, Chamberlain fut catalogué de lâche, et remplacé par l’ex-sioniste et franc-maçon Winston CHURCHILL, qui ordonna aussitôt une attaque aérienne sur l’Allemagne.
Ce qu’Hess ignorait, c’est que Winston Churchill connaissait très bien Bernard BARUCH. Comme nous l’avions vu dans notre précédent article, Baruch avait aidé Woodrow Wilson et Roosevelt à accéder à la présidence des États-Unis.
Ce fut également Baruch, agent des Rothschild, qui persuada Churchill de soutenir la fondation de l’État d’Israël.
Le 23 mai 1939, Churchill donna l’ordre au ministre des colonies lord Lloyd de retirer les troupes anglaises de la Palestine, puis d’armer et d’aider les Juifs à s’organiser pour leur propre défense.
D’après un pacte entre Hitler et Staline, la Pologne devait être coupée en deux, ce qu’Hitler réalisa le 1er septembre 1939.
D’après ce qui était stipulé dans le contrat signé 20 ans plus tôt (et qui allait dans le sens des Illuminati), l’Angleterre et la France avaient l’obligation de se lancer dans les combats aux côtés de la Pologne.
Cependant, plusieurs faits montrent que l’Allemagne voulait éviter d’entrer en guerre contre l’Angleterre.
Ainsi, le 10 mai 1940, les troupes allemandes laissèrent 335 000 soldats anglais évacuer librement la plage de Dunkerque.
En parallèle, aux États-Unis, la majorité des Américains ne voulait plus être mêlée à quelque guerre que ce soit mais les Illuminati étaient d’un avis opposé.
Le président américain FRANKLIN DELANO ROOSEVELT (32e président) était grand maître des francs-maçons, membre du CFR et avait des liens avec la famille Delano et le « Comité des 300 ».
Un de ses plus proches collaborateurs était aussi Bernard BARUCH et il avait des rapports très étroits avec le Colonel HOUSE depuis au moins huit ans.
Sous leur influence, Roosevelt fit voter une loi contraire à la Constitution : tous ceux qui possédaient de l’or furent obligés de le remettre à la banque avant la fin avril 1933 (sous peine d’amende de 10 000 $ ou de 10 ans de prison ou même des deux à la fois).
L’or fut payé 20,67 $ l’once. Quand la plus grosse partie de l’or fut confisquée, le prix de l’or remonta jusqu’à 35 $ l’once. Les « initiés » avaient déposé leur or dans des banques étrangères et le vendirent, évidemment, plus tard au prix fort.
Le président Roosevelt avait incité les Japonais à entrer en guerre en leur posant un ultimatum de guerre le 26 novembre 1941 dans lequel il exigeait le retrait de toutes les troupes japonaises d’Indochine et de la Mandchourie.
C’est un fait historique mais c’est un secret bien gardé.
L’ultimatum de Roosevelt n’a été intentionnellement communiqué au Congrès américain qu’après l’attaque de Pearl Harbor.
Tous étaient d’un avis unanime : les Japonais n’avaient pas d’autres possibilités que de déclarer la guerre, alors qu’ils avaient presque tout fait pour l’éviter.
Le Prince KENOYE, ambassadeur du Japon aux États-Unis, avait maintes fois demandé à se rendre à Washington ou Honolulu pour y rencontrer Roosevelt et trouver avec lui une autre solution.
Il fut même prêt, plus tard, à acquiescer aux exigences des États-Unis pour éviter la guerre mais Roosevelt refusa chaque fois de le rencontrer puisque la guerre avec le Japon était déjà projetée depuis longtemps, ainsi qu’avec l’Allemagne.
C’est au même moment que Roosevelt déclarait au peuple américain : « Je m’adresse à toutes les mères et à tous les pères et je vous fais à tous une promesse formelle. Je l’ai déjà dit auparavant et le redirai sans cesse : Vos « Boys » ne seront pas envoyés à la guerre à l’étranger ».
L’armée américaine, informée de différentes sources, savait que les Japonais attaqueraient d’abord Pearl Harbor.
L’ambassadeur des États-Unis à Tokyo, JOSEPH GREW, écrivait dans une lettre à Roosevelt le 27 janvier 1941 que si une guerre éclatait entre le Japon et les États-Unis, Pearl Harbor serait la première cible.
Le membre du Congrès Dies avait non seulement indiqué au président Roosevelt en août 1941 que Pearl Harbor serait la cible, mais lui avait aussi remis le plan d’attaque stratégique avec la carte correspondante. Il fut pourtant ignoré…
De plus, le service secret américain avait réussi en 1941 à décoder les codes diplomatiques et militaires des Japonais. Roosevelt et ses conseillers connaissaient à l’avance la date exacte, l’heure et l’endroit de l’attaque.
La base de Pearl Harbor n’a été prévenue que deux heures avant l’attaque. Elle n’y était donc absolument pas préparée et tous périrent lamentablement.
Roosevelt pouvait alors faire passer les Japonais pour des « sales porcs perfides » et il était du devoir des États-Unis de leur répondre par des représailles.
Pour garantir le succès de cette entreprise, les Illuminati avaient un serviteur dévoué au poste de commandant en Chef de toutes les forces armées des Alliés, le lieutenant-colonel Dwight D. Eisenhower.
Eisenhower était en fait aussi un ami personnel de Bernard Baruch. En mars 1941, il obtint le grade de colonel.
Trois mois plus tard, il était commandant de la 3e armée américaine. Au bout de trois autres mois, il fut nommé général de brigade.
Le 12 décembre de la même année, il participa au projet de guerre au plus haut niveau à Washington.
Le 16 février 1942, il fut promu au titre d’adjoint au chef d’état-major de la « War Plans Division » et deux mois plus tard, il en prit la direction.
Trois mois après, il recevait le commandement du « European theatre of Operations », le mois suivant, il était nommé général de division et au bout de six mois général « cinq étoiles ».
Le 24 décembre 1942, il était enfin nommé commandant en chef en Europe.
Au lieu de se diriger vers la Yougoslavie, Vienne, Budapest et Prague, les Américains envoyèrent une partie de leurs soldats en Normandie, ce qui coûta la vie à environ 100 000 hommes.
Tout cela eut de lourdes conséquences sur l’Europe de l’Est.
À la conférence des Alliés en 1943 au Québec, le général GEORGE C. MARSHALL fit pression pour que soit signé un accord qui portait le nom de « Position russe », et qui stipulait que la position de la Russie serait dominante après la guerre.
Comme le souhaitaient les Illuminati par les « Protocoles des Sages de Sion », Roosevelt, Marshall et Eisenhower avaient reçu des ordres stricts pour diriger la phase finale de la guerre et donner aux armées russes le temps de gagner du terrain.
À la fin de la guerre, l’Allemagne voulait capituler mais les alliés ont toujours passé ce fait sous silence…
Le commandant GEORGE EARLE fut l’ex-gouverneur de Pennsylvanie, ambassadeur américain en Autriche de 1935 à 1939 et en Bulgarie de 1940 à 1942. Par la suite, il fut l’attaché naval personnel de Roosevelt à Istanbul.
Au printemps 1943, le chef du service secret allemand, l’AMIRAL WILHELM CANARIS, lui rendit visite. Canaris lui dit que la capitulation sans condition telle qu’elle était exigée par l’Amérique et l’Angleterre était inacceptable pour les généraux allemands.
Si cependant le président américain laissait entendre qu’une démission honorable de l’armée allemande serait possible, ils étaient prêts à accepter tous leurs accords.
Pendant ce temps, l’armée allemande recevait l’ordre d’être envoyée au front de l’Est afin d’y combattre l’Armée rouge qui s’approchait.
Peu après, Earle eut un autre entretien avec l’ambassadeur allemand FRITZ VON PAPEN qui lui adressa la même requête. Il écrivit aussitôt une missive à Roosevelt, mais qui resta lettre morte.
Il en envoya une seconde, mais toujours aucune réponse. Lorsque CANARIS revint quelques jours plus tard pour prendre connaissance de la réponse de Roosevelt, Earle ne put la lui donner.
Earle envoya alors un message d’urgence à Washington. Il n’obtint aucune réponse, car en haut lieu, une capitulation de l’Allemagne n’était pas souhaitée…
Par la suite, Roosevelt, dans une lettre personnelle du 24 mars 1945, défendit au commandant Earle de rendre public cet incident.
L’Allemagne n’eut pas la possibilité de se rendre et le Japon se vit refuser la même requête.
Les Japonais capitulèrent sans condition en mars 1945. Durant ce même mois, le haut commandement japonais fit connaître à l’ambassade américaine à Moscou, à l’ambassade russe à Tokyo et au Pentagone à Washington que le Gouvernement Royal Japonais souhaitait une capitulation sans condition.
Mais les Américains continuèrent de l’ignorer en prétextant que le message n’avait pu être décodé.
Les îles japonaises n’avaient pas encore été détruites, mais le grand spectacle des Illuminati allait commencer.
Les B29 accomplirent au Japon le grand « assainissement » voulu par les banquiers internationaux. D’abord détruire Tokyo, puis lancer les bombes sur Nagasaki et Hiroshima.
Beaucoup de généraux japonais étaient des membres d’une société secrète mystique portant le nom de DRAGON NOIR.
La reconstruction de l’Allemagne et du Japon a rapporté des sommes astronomiques aux banquiers internationaux.
Aujourd’hui, beaucoup de politiciens du gouvernement allemand ne sont plus que des pions sur l’échiquier des Illuminati, comme beaucoup de dirigeants européens, américains ou russes.
Qu’a rapporté la Seconde Guerre Mondiale ?
Du point de vue humain, ce fut un désastre sans circonstances atténuantes, mais du point de vue des Illuminati, ce fut un énorme succès.
Cette guerre, avec ses 30 millions de morts estimés (Soljenitsyne parle de 100 millions), représente à l’évidence une partie du programme d’assainissement mondial dont le but suprême était la création du Novus Ordo Seclorum, le Nouvel Ordre Mondial de Weishaupt.
Pour les Illuminés, Lénine était en Russie la personne parfaite. Le communisme a joué le rôle de fleuret. Les conspirateurs ont utilisé le communisme comme la « bête noire » pour contraindre les nations occidentales à faire des concessions et à assumer des obligations qui s’opposaient à leurs propres intérêts.
Au début des années 1920, Lénine a annoncé au monde, sans le savoir, les projets futurs des Illuminati : « Nous occuperons d’abord l’Europe de l’Est, puis tous les pays d’Asie ».
Leur but fut atteint grâce à la Seconde Guerre Mondiale. Quelques années plus tard, ce fut le tour de la majeure partie de l’Asie, la débâcle du Viêt-Nam est aussi un élément de cette action de déblayage.
Le Seconde Guerre Mondiale a rapporté encore plus aux Illuminati. Les grandes fissures de l’ancien ordre du monde éclatèrent et les fondements financiers et sociaux de la morale traditionnelle furent balayés. L’Amérique, dont la sécurité ne fut jamais mise en cause, ni avant ni pendant la guerre, se vit alors prise dans l’engrenage de la politique mondiale, contrainte à renoncer à sa propre politique.
Cette guerre coûta aux États-Unis 400 milliards de dollars et fit monter la dette à 220 milliards de dollars. Ce qui rendait définitivement les États-Unis prisonniers des griffes des banquiers internationaux.
La guerre aplanit le chemin pour l’éveil du Socialisme qui se répandit comme une maladie en Angleterre et aux États-Unis.
Elle prépara aussi la voie pour la création de l’ONU en 1945, dont le siège principal se trouvait sur un terrain donné par ROCKEFELLER à New York.
Parmi les membres fondateurs de l’ONU, 47 au moins faisaient partie du CFR. L’ONU est la plus grande loge franc-maçonnique internationale du monde, comme l’indique déjà clairement son emblème. C’est un symbole franc-maçonnique tout comme le « grand sceau » sur les « billets d’un dollar » américains.
À la fin de la guerre, la CIA accepta l’offre de REINHART GEHLEN, chef des opérations du service secret du Reich allemand en Russie, de participer à la construction du réseau du service d’information américain en Europe.
Beaucoup d’ex-membres des SS appartenaient à l’organisation de « Gehlen ». Celle-ci devint une partie importante de la CIA en Europe de l’Ouest et fut à la base de l’appareil des services secrets de la RFA.
La CIA tira aussi des informations à partir des documents concernant les procès des criminels de guerre à Nuremberg sur les méthodes psychiatriques des nazis ; celles-ci allaient être utilisées des décennies plus tard lors d’expériences qui visaient à obtenir le contrôle de la conscience humaine.
Quant à INTERPOL, l’organisation policière internationale privée qui lutte contre les criminels et les trafiquants de drogues opérant à l’échelle mondiale, elle fut dirigée à plusieurs reprises, jusqu’en 1972, par d’ex-officiers SS.
Cette guerre ouvrit la voie pour la fondation de l’État d’Israël, comme cela avait été programmé depuis 1871.
Les plaies se cicatrisaient lentement en Europe, et l’attention du monde se tourna vers le Proche-Orient où les sionistes étaient en train d’établir l’État d’Israël en Palestine.
Le meurtre de lord Moyne par deux sionistes suscita une vive réaction en Angleterre. Lors du congrès sioniste en 1946 à Genève, il fut décidé de recourir au terrorisme pour édifier l’État sioniste.
C’est ainsi que naquirent nombre d’organisations terroristes en Palestine dont le but était de créer de force l’État d’Israël.
Les deux plus importantes furent l’IRGUN ZVAI LEUMI de Menahem Begin et le GROUPE STERN de Yitzhak Shamir.
Quand les Arabes firent couler de plus en plus de sang en s’attaquant aux Anglais en Palestine, on fit appel à l’ONU qui décida, le 29 novembre 1947, le partage de la Palestine en deux États indépendants : l’un arabe, l’autre juif.
Ce principe du partage d’un état pour gouverner était bien connu du temps de Rome : « Divide et empera », diviser pour mieux régner.
Il était le garant d’une discorde continuelle. Ainsi la séparation de la Palestine suscita des troubles encore plus sanglants obligeant l’ONU à se retirer (un plan Machiavélique).
Les sionistes en profitèrent pour se partager arbitrairement la Palestine. Le groupe Stern et l’Irgun Zvai Leumi (sous la direction de Begin) assaillirent le village Deir Yasin et égorgèrent tous les gens en signe d’avertissement ou pour le cas où les Arabes continueraient à résister.
Ceux-ci s’enfuirent dans les pays voisins, sauf quelques-uns qui se rassemblèrent sous la direction de Yasser Arafat et de l’OLP.
La déclaration d’indépendance d’Israël le 14 mai 1948 causa de nombreux désordres. Depuis, le Proche-Orient est un foyer perpétuel de combats, de haines et de meurtres.
Cela était prévisible, calculé et correspond exactement aux buts que recherchaient les Illuminati en suivant le plan d’Albert Pike. Vous connaissez maintenant tout de cette tragédie…
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