Cette dernière partie est la plus technique et ne sera probablement pas à la portée de tous. Cependant, nous savons déjà que certains d’entre vous y trouveront des « réponses ».
Comme nous l’avions déjà vu dans notre précédent chapitre, l’électromagnétisme scalaire provoque une nouvelle sorte de résonance, appelée « résonance électromagnétique scalaire » ou « résonance électrogravitationnelle ».
Cette résonance n’est pas classique et n’est jamais abordée dans les manuels conventionnels. C’est un secret jalousement gardé par les scientifiques travaillant sur les « Special Projects ».
Afin que vous compreniez ce phénomène, nous sommes obligés de vous révéler quelques bases théoriques.
Cependant, nous les limiterons volontairement au strict minimum, car il serait suicidaire d’en dire plus publiquement…
Dans une cavité résonante standard, une onde EM résonante va et vient…
Par convention, dans le front d’onde en mouvement, le vecteur de champ-E et le vecteur de champ-B sont à angle droit.
Lorsque l’onde va et vient, les vecteurs varient aussi en allant et en venant ; cependant, à n’importe quel point entre les parois de la cavité, les deux vecteurs ont toujours la même valeur.
Ainsi l’onde EM résonante forme une onde stationnaire dans la cavité.
Lorsqu’un second front d’onde, identique au premier et de la même fréquence, est superposé au premier et voyage avec lui, cette seconde onde (ou anti-onde) a ses vecteurs forces déphasés de 180 degrés par rapport aux vecteurs forces de l’onde de référence.
En conséquence la somme des champs-E et des champs-B des deux ondes superposées est toujours égale à zéro, en n’importe quel point de la cavité.
La densité d’énergie d’une onde sinusoïdale EM dans le vide est donnée par : 2 [E + B] / 8 Pi
Cette densité d’énergie est toujours positive, aussi la densité d’énergie des deux ondes en n’importe quel point entre les murs est égale à : 2 * 2 [E + B] / 4 Pi où E = E(x) ; B = B(x)
La densité d’énergie du vide varie rigoureusement avec (x), puisque la résultante des champs E et B est de zéro.
C’est ce que l’on appelle :
Une ONDE GRAVITATIONNELLE STATIONNAIRE.
Dans cet exemple précis, nous avons une onde EG stationnaire existant dans une cavité, qui a une masse et une inertie mais qui contient aussi deux courbures d’espace-temps.
Ainsi dans un demi-cycle la densité d’énergie du vide est plus grande que dans l’autre demi-cycle.
Dans un demi-cycle le temps s’écoule à un rythme plus rapide que dans l’autre demi-cycle.
Un demi-cycle contient une charge électrique négative et l’autre une charge positive.
Un demi-cycle contient un pôle nord (potentiel scalaire magnétostatique positif), et l’autre demi-cycle un pôle sud (potentiel scalaire magnétostatique négatif).
C’est pourquoi un électron en continuelle accélération sur son orbite atomique n’émet pas d’énergie EM, contrairement à ce que démontrent « officiellement » les équations de Maxwell.
La résonance scalaire est donc une multi-résonance électromagnétique particulière de somme zéro, de sorte qu’elle n’agit pas d’une façon électromagnétique.
C’est une onde électromagnétique stationnaire, elle peut être produite électriquement, mais elle n’est pas électrique dans son comportement.
Dans n’importe quelle résonance scalaire, l’espace-temps est courbé et c’est l’ampleur et la direction de cette courbure d’espace-temps qui oscillent sous forme d’onde stationnaire.
Dans l’espace-temps linéaire normal, « charge » et « décharge » sont égales dans toutes les directions ; donc la masse est identique dans n’importe quelle direction.
Notons qu’un objet en mouvement rencontre une quantité accrue de flux d’ondes le long de sa ligne de mouvement, exactement comme un objet se déplaçant sous une pluie torrentielle rencontre plus de gouttes de pluie par seconde sur sa trajectoire qu’en restant immobile.
Ainsi, lorsqu’un objet en mouvement rencontre un flux accru d’ondes scalaires, il absorbe et émet des ondes scalaires bien plus que s’il était immobile.
Cependant, orthogonalement à sa ligne de mouvement, le taux de flux est précisément le même que lorsque l’objet est au repos, donc, vu par un observateur externe, sa masse en mouvement n’a pas changé par rapport aux forces orthogonales.
L’inertie d’une particule est due à sa masse, c’est-à-dire à la magnitude totale de sa résonance scalaire « piégée ».
L’attraction gravitationnelle entre deux masses est due à leur courbure d’espace-temps.
La masse peut donc « capturer » des ondes scalaires complémentaires en tant que résonance piégée et de là accroître sa magnitude ou « charge inertielle » ; ou bien elle peut se décharger de plus d’ondes scalaires qu’elle n’en absorbe et de là diminuer sa magnitude ou « charge interne »…
Les ondes scalaires émises par la résonance sont émises comme un ensemble de patterns de la résonance, elles peuvent donc être considérées comme constituant un courant de résonances scalaires quittant un objet (accumulateur de masse).
En conséquence, il est possible d’accroître directement la masse d’un objet, en lui transmettant des ondes EM scalaires pour qu’il les absorbe.
Cela signifie qu’il y a plus d’ondes scalaires qui pénètrent un objet que d’ondes qui le quittent, donc l’objet agit comme un accumulateur augmentant sa charge interne.
Cela n’est possible que si le potentiel de référence de l’émetteur d’onde scalaire est plus élevé que le potentiel de référence de l’objet irradié.
Il est également possible de diminuer directement la masse d’un objet en lui transmettant des ondes EM scalaires, de façon qu’il émette plus qu’il n’absorbe.
Cela signifie qu’il y a plus d’ondes scalaires qui quittent l’objet que d’ondes qui le pénètrent, donc l’objet agit comme un accumulateur diminuant sa charge interne.
Cela est possible que si le potentiel de référence de l’émetteur scalaire est plus bas que le potentiel de référence de l’objet irradié.
Officiellement, la mécanique quantique enseigne que dans n’importe quelle région localisée de l’espace-temps, le « pattern » de tout objet apparait momentanément à l’état virtuel, mais seulement d’un point de vue purement statistique.
Aussi longtemps que la situation reste statistique, n’importe quel lieu de l’univers peut continuer d’avoir des « fantômes » de tout ce qui y est présent, ils constituent un ensemble de patterns fins et éthériques qui n’affectent pas le monde visible.
Cependant, si on peut distinguer et « charger » scalairement ou « décharger » des patterns individuels dans ce « royaume-fantôme », l’action à distance devient directement possible, comme la matérialisation ou la dématérialisation.
Comme vous pouvez le constater maintenant, l’homme a réellement la possibilité d’entrer dans une nouvelle sorte de réalité où les anciennes règles et les anciennes limitations ne s’appliquent plus nécessairement…
Si nous faisons interférer deux émetteurs dans une région de grande énergie (telle que le noyau en fusion de la Terre) et réglons l’émetteur négativement, nous pouvons extraire une énergie énorme directement de cette source.
C’est précisément par une légère variation de cet effet que les Soviétiques obtiennent l’énergie énorme avec laquelle ils alimentent leurs armes EM scalaires stratégiques « Continent-Buster ».
Des paires de fréquences scalaires (séparées de 12 KHz) sont alors émises dans la Terre elle-même, sur certaines portions de la courbe de fréquence de la « gigantesque résonance scalaire » de la Terre.
Le positionnement approprié des émetteurs l’un par rapport à l’autre produit une importante différence de potentiel (voltage) entre eux.
Ainsi, en les positionnant simultanément négativement par rapport au noyau en fusion de la Terre, il en résulte un courant de résonance scalaire depuis le noyau vers les deux émetteurs.
Dans la boucle extérieure entre les deux émetteurs scalaires, apparaît alors un voltage et un courant électrique gigantesque qui peut être stocké dans des accumulateurs spéciaux.
Ensuite, couplés à des commutateurs, ils fournissent une puissance phénoménale aux armes scalaires.
Peu avant le 1er mai 1985 et la présidence de Mikhaïl Gorbatchev, l’URSS a effectué un gigantesque test opérationnel sur l’ensemble de ses armes EM scalaires stratégiques.
27 « vannes géantes d’énergies » ont été verrouillées sur le noyau en fusion de la Terre, produisant une résonance scalaire forcée de la planète sur 54 fréquences contrôlées…
La création d’énergie à distance
Il est possible de créer de l’énergie à distance en utilisant un interféromètre scalaire où les deux émetteurs émettent des rayons qui se croisent à distance.
Dans la zone d’interférence se crée alors une « bouteille d’énergie ».
En réglant les potentiels de référence de l’émetteur bien au-dessus de ceux de la bouteille d’énergie distante, une énergie EM émerge dans cette zone. Dans ce cas, l’interféromètre fonctionne dans le mode EXOTHERMIQUE.
En réglant les potentiels de référence de l’émetteur bien au-dessous de ceux de la bouteille d’énergie distante, une énergie EM est extraite de la zone distante et émerge de l’émetteur, dans ce cas l’interféromètre fonctionne dans le mode ENDOTHERMIQUE.
Si l’émetteur émet continuellement, l’effet dans la zone distante devient continu.
Si les émetteurs émettent par pulsations et que leurs pulsations se rencontrent dans la zone d’intersection distante, une extraction ou émergence explosive d’énergie a alors lieu dans cette zone.
Ceci se produit quel que soit le mode de fonctionnement de l’interféromètre (endothermique ou exothermique).
Mode exothermique (interféromètre scalaire)
Pour un interféromètre scalaire, Del phi (le gradient du potentiel) s’applique entre le site de l’émetteur et le site d’intersection distant, et non à l’espace existant entre les deux.
On parle alors du « flux d’énergie » existant entre l’émetteur et l’intersection. Dans l’espace intermédiaire, toute l’énergie existe comme un potentiel artificiel verrouillé (potentiel d’écoulement du gradient).
Dans le mode Exothermique, le potentiel terre de l’émetteur est réglé bien au-dessus du potentiel terre du vide ambiant, ainsi l’énergie entre dans l’émetteur et « disparaît », pour « réapparaître » dans la zone d’interférence distante.
De plus, si une émission continue d’ondes est utilisée, l’énergie apparaît de manière continue dans la zone distante.
Si une émission pulsée est créée et calculée pour que les deux pulsations scalaires se rencontrent dans la zone distante, une ÉNERGIE EXPLOSIVE y apparaît alors.
Si des fréquences multiples sont émises à la manière d’une expansion de Fourier à partir d’une forme géométrique particulière, une forme d’énergie tridimensionnelle apparaît à l’intersection distante.
De cette façon une coquille sphérique (obus scalaire) ou hémisphérique (globe ou dôme d’énergie EM) peut être créée à distance.
Si une émission pulsée est utilisée, ce sera une émergence impulsive ou explosive de cette forme d’énergie. Si une émission continue est utilisée, ce sera une forme rayonnante continue.
En alimentant des émetteurs puissants avec de grandes quantités d’énergie extraites du noyau en fusion de la Terre, grâce à des vannes d’énergies, de très vastes globes sphériques et dômes hémisphériques d’énergie EM peuvent être créés à distance.
L’énergie dans la « coquille » d’interférence d’une telle sphère ou hémisphère, devient alors suffisamment dense pour se présenter sous la forme d’un plasma rayonnant.
Dans le mode exothermique impulsif, un grand flash visible peut avoir lieu si l’énergie EM est produite dans le spectre visible.
Des flashs dans l’infrarouge peuvent également avoir lieu si l’énergie émergente est dans cette bande spectrale.
Dans le mode endothermique, le réglage de l’émetteur est tel qu’une énergie est extraite de la zone d’intersection distante, pour ré-émerger de l’émetteur, mais l’énergie doit être capturée et déployée pour ne pas griller les émetteurs.
Dans le mode endothermique impulsif, l’énergie est extraite impulsivement de la zone d’intersection distante, le résultat dans l’atmosphère est un refroidissement fulgurant ou « explosion froide ».
Il en résulte alors un type de boum et de grondement souvent associé au tonnerre après l’éclair de la foudre.
Le 9 avril 1984 l’Union Soviétique a testé une telle « explosion froide » au large des côtes du Japon, près des îles Kuriles.
La « zone froide » a soudainement induit une basse pression, l’eau océanique a été brusquement absorbée de l’océan formant un nuage dense.
Puis l’air s’est précipité dans la zone de basse pression et a forcé le nuage à s’élever en formant un champignon ; tout comme dans une explosion atomique excepté l’absence d’un flash et l’absence d’onde de choc se répandant depuis le centre de l’explosion.
Lorsque le nuage s’élève, il augmente de volume par mixage (de la même façon qu’un cumulonimbus se développe), sauf qu’il est beaucoup plus rapide.
Dans ce cas, le nuage s’est élevé à approximativement 18 000 mètres en 2 minutes environ, en gonflant jusqu’à atteindre un diamètre d’environ 300 kilomètres.
Le « grand œil » de Tesla pour la vision à distance
Nikola Tesla a conçu une utilisation très spéciale pour son interféromètre scalaire endothermique pour produire son « grand œil pour voir à distance ».
Le système utilisé dans ce cas est juste légèrement endothermique, de manière que seule une petite quantité d’énergie est extraite de la cible distante, au fur et à mesure un receveur ouvert « scanne » les rayons, temporellement, d’un côté à l’autre et de haut en bas.
En scannant un autre rayon traversant la zone d’intersection et ayant des pulsations en phases, une représentation visuelle de la zone peut être obtenue.
Ainsi le receveur génère une représentation de l’énergie qui a été extraite de différents endroits de la zone endothermique distante, et en affichant les signaux reçus sur un écran de scanner approprié, on obtient une représentation de cette zone.
C’est un genre particulier « d’interféromètre micro-ondes », et il donne aujourd’hui des images de très grande qualité.
Il est assez intéressant de noter que, puisque les rayons scalaires pénètrent assez facilement sous la surface de la terre et des océans, il devient aussi possible de regarder sous la surface de la terre et des océans par interférométrie scalaire.
Pour certains militaires, l’importance de cette capacité de reconnaissance stratégique et tactique est évidente. Camouflage, couverture et dissimulation n’ont plus aucun effet, face à un tel système.
On peut ainsi facilement observer l’intérieur des bâtiments et dans les structures souterraines.
En outre, une transmission exothermique continue peut être employée par une arme de visée à un plus faible niveau de puissance, interférant progressivement avec les systèmes électriques d’un avion ou d’un sous-marin pour provoquer leur perte de contrôle.
C’est précisément ce qui est arrivé au sous-marin nucléaire américain Thresher…
À la suite d’une perte de contrôle, minutieusement provoquée, il a coulé, puis a été écrasé par la pression des profondeurs et enfin a implosé…
Le bouclier Tesla
L’obus hémisphérique d’énergie, surnommé le « Bouclier Tesla » présente un intérêt particulier.
Deux surfaces hémisphériques scalaires sont créées en utilisant des émetteurs à fréquences multiples et des expansions de séries de Fourier tronquées.
L’interférence des deux hémisphères scalaires crée alors un grand obus hémisphérique lumineux d’énergie électromagnétique, à l’intérieur la densité d’énergie est suffisante pour soulever le problème de la mer de vide de Dirac, et il se remplit d’un plasma rayonnant.
Une telle coquille peut avoir plusieurs centaines de kilomètres de diamètre à la base et une énorme énergie nécessaire pour former un tel bouclier de défense est obtenue par une « vanne d’énergie scalaire » créée dans le noyau en fusion de la Terre.
Le bouclier géant de Tesla est utile contre n’importe quel véhicule essayant de le pénétrer, si l’obus n’est pas important, sa densité d’énergie peut être très haute ; dans ce cas, le chauffage intense du plasma fusionnera et vaporisera tout, y compris les corps métalliques le pénétrant.
Tout véhicule rencontrant la coquille sera aussi soumis à un effet EMP extrêmement intense se générant partout à l’intérieur de ses circuits électriques.
Un blindage EMP est donc inefficace contre la création d’énergie à travers l’espace-temps et protègera seulement contre un flux d’énergie circulant dans l’espace d’une manière conventionnelle.
Ainsi l’électronique de n’importe quel véhicule rencontrant le bouclier est instantanément détruit, qu’il soit ou non blindé contre les interférences électromagnétiques ordinaires (EMI).
Cela inclut aussi les systèmes électroniques des ogives nucléaires.
Électriquement tout ce qui pénètre la coquille est entièrement détruit. Lorsqu’un véhicule est soumis à l’effet EMP, ses matériaux explosifs éclatent et ses matériaux combustibles se consument rapidement ou sont mis à feu.
De plus, dans le cas d’un bouclier Tesla plus petit (environ 80 km de diamètre) la densité d’énergie devient suffisante pour fondre ou vaporiser les métaux tels que les structures de missiles.
Ainsi ce bouclier vient à bout facilement des ICBM / IRBM et de leurs têtes nucléaires, des bombardiers stratégiques et de leurs bombes nucléaires, des véhicules de rentrées et de leurs ogives, ainsi que des leurres et des balles, etc.
Système ABM terminal
Lorsqu’on crée plusieurs boucliers Tesla concentriquement (3 ou 4), l’un à l’intérieur de l’autre, les radiations nucléaires (tels que les rayons gamma) issues d’une explosion nucléaire en haute altitude peuvent y être annulées.
Dans ce cas, la radiation gamma frappe presque instantanément le plasma dans la coquille externe, où elle est absorbée, dispersée et réémise à une température plus basse.
À l’intérieur de la première coquille, la radiation dispersée se situe dans la gamme des rayons-X et des ultra-violets.
Les rayons-X dispersés frappent ensuite la seconde coquille de plasma, et sont absorbés, dispersés et réémis à une température encore plus basse.
À l’intérieur de la deuxième coquille, la radiation dispersée rentre dans le domaine du visible et de l’infrarouge, avec un peu d’ultraviolets.
Cette radiation optique frappe à son tour la troisième coquille de plasma et est absorbée, dispersée et réémise à une température encore plus basse.
À l’intérieur de la troisième coquille, la majeure partie de l’énergie se retrouve ainsi dans la gamme des fréquences radio (RF), avec un petit résidu d’énergie dans les bandes spectrales du visible et de l’infrarouge.
Comme vous pouvez le constater, trois obus sont suffisants pour convertir les rayonnements gamma, X, ultraviolet et infrarouge d’une explosion nucléaire en énergie RF, complètement inoffensive.
Les rayons de Pivert
En juillet 1976, les États-Unis ont reçu des salutations très spéciales pour leur Bicentenaire de la part de l’Union Soviétique.
À ce moment, tous les systèmes de communication du monde dans la bande de 3 à 30 MHz ont soudainement rencontré une interférence substantielle en provenance d’émetteurs soviétiques.
La puissance de ces émetteurs variait, mais leur échelle de valeurs s’élevait à plusieurs centaines de mégawatts, avec une puissance nominale de 100 mégawatts.
Ces puissants émetteurs ont été surnommé les « Piverts » à cause du son caractéristique de la modulation du signal de réception, un « picotage » très semblable à un Pivert frappant un morceau de bois avec son bec.
Afin de camoufler ce « picotage », les soviétiques lui ont ajouté un système de « spectre de diffusion » afin que ces émetteurs ne demeurent pas trop longtemps sur une fréquence spécifique, mais permute périodiquement sur d’autres fréquences.
Ces émetteurs peuvent être employés dans un mode radar OTH conventionnel, puisque leurs rayons suivent le guide d’onde de l’ionosphère terrestre et se courbent autour de la Terre.
Dans ce mode ils peuvent détecter des bombardiers et des missiles, qu’ils soient dans leur phase de lancement ou dans leur course.
Ces armes à grilles d’interférences scalaires peuvent aussi être employées pour attaquer biologiquement des populations entières dans un secteur ciblé, comme par exemple avec des signaux de modulation ELF (extrême basse fréquence) verrouillés en phase de 10 Hz et moins.
Des effets biologiques spécifiques peuvent ainsi être induits à volonté sur les populations, comme par exemple des morts instantanées, crises cardiaques, perturbations émotionnelles sévères, pertes de contrôle des fonctions internes, maladies, déficience du système immunitaire.
De plus, ces effets peuvent être aussi induits mentalement pour l’implantation de pensées, d’émotions et d’idées, qui sont interprétées par les sujets comme étant les leurs.
En 2012, outre l’Union Soviétique, la Chine et les États-Unis utilisent aussi ces armes non-conventionnelles dans le plus grand secret, ce n’est plus de la science-fiction mais l’effroyable réalité…
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