Le Projet MONTAUK (Partie 1)

Avertissement :

Le dossier présenté est extrêmement complexe à résumer tant les acteurs, les événements mentionnés, les technologies abordées et leur chronologie historique dépassent notre perception immédiate.

Mais en dehors de l’histoire officielle, l’être humain est allé bien au-delà de tout ce que l’on peut imaginer…

Les faits seront exposés de manière brute et résumés à l’essentiel…

Aujourd’hui, l’esprit humain est mieux préparé à recevoir certaines vérités, toujours classées « secret défense » aux USA.

L’histoire suivante nous entrainera des années 30 aux années 80…

Tout ce qui va être exposé est vrai, et il est fort à parier que nous sommes tous contrôlés et manipulés depuis bien longtemps…

 

Projet RAINBOW (1931 – 1941)

Tout a commencé à Chicago dans les années 30 avec la participation de trois personnes qui voulaient étudier le concept de l’invisibilité optique :

  • Le docteur John Hutchinson (le doyen de l’Université de Chicago)
  • Le docteur Kurtenaur (professeur de physique autrichien)
  • L’ingénieur Nikola Tesla (inventeur des alternateurs et du courant alternatif)

Nikola Tesla (1856 - 1943)

En 1933, l’Institute for Advanced Studies fut fondée à Princeton. Un an plus tard, le projet d’invisibilité optique y débuta.

À l’institut se trouvait également John Von Neumann, un physicien et mathématicien hongrois. Il rejoignit le projet…

John Von Neumann (1903 - 1957)

Parmi les autres membres de l’institut se trouvait également Albert Einstein qui avait quitté l’Allemagne en 1930.

Il enseigna trois ans au California Institute of Technology, puis apporta ses conseils à l’équipe de l’Institute for Advanced Studies.

Albert Einstein (1879 - 1955)

Tesla se lia d’amitié avec le président Franklin Roosevelt, dont il avait fait la connaissance en 1917 alors qu’il n’était encore que secrétaire de la Marine.

Sur son invitation, Tesla se rallia à l’effort de guerre et accepta de diriger un projet de recherche sur l’invisibilité optique des bateaux de guerre.

Franklin Roosevelt (1882 - 1945)

En 1936, ils décidèrent de mettre le projet à exécution et réussirent partiellement.

En 1940, ils se sentirent prêts à faire un essai complet depuis la Brooklyn Navy Yard.

Ils avaient 2 navires d’appoint reliés au navire principal par des câbles, l’un procurant la puissance, l’autre la force motrice pour les bobines.

Le projet fut considéré comme un grand succès, la Marine décida de le financer entièrement puis le classa « Top Secret ».

En 1941, Thomas Townsend Brown, un expert en électrogravité rejoignit aussi le projet et avait pour tâche de résoudre le problème des mines magnétiques allemandes.

Ses efforts menèrent à la création d’un projet parallèle consacré à la destruction des mines par l’utilisation de câbles de démagnétisation à distance.

Thomas Townsend Brown (1905 - 1985)

En 1942, Tesla se vit confier un navire et tout son équipage pour mener le Grand Essai. Mais il était convaincu qu’il aurait toutes sortes de difficultés en mêlant des humains à l’expérience d’invisibilité optique.

Il disait être en contact avec des extraterrestres qui appréhendaient les conséquences d’une telle expérience.

En 1942, dans l’espoir de mettre fin au projet, il tenta de saboter l’essai en le désyntonisant, mais sa tentative échoua.

Il démissionna en mars 1942 et le projet fut confié entièrement à Von Neumann.

Von Neumann exigea un navire spécial qu’il pourrait redessiner de fond en comble pour satisfaire ses besoins techniques.

En Octobre 1942, la marine lui donna le croiseur U.S.S. Eldridge ainsi qu’un équipage de 33 volontaires, la plupart étant de nouveaux gradés.

Le 22 juillet 1943, on mena des essais mais ce fut un véritable fiasco et l’équipage en ressortit entièrement désorienté.

La Marine abandonna l’invisibilité optique et demanda à Von Neumann de modifier son équipement pour rendre le navire invisible au radar.

 

Projet PHILADELPHIE (1941 – 1943)

Le 12 août 1943, une nouvelle expérience d’invisibilité au radar fut réalisée à Philadelphie sur le croiseur U.S.S. Eldridge et tout son équipage.

U.S.S. Eldridge

Durant la première minute, tout allait bien et l’on pouvait observer le contour du navire dans l’eau.

Puis il y eut un énorme flash bleu et le navire disparut entièrement. Pendant environ trois heures, les communications radios furent coupées…

Le bateau disparut et apparut à la base de Norfolk (Virginie) à plus de 640 km.

Il disparut de nouveau et réapparut à Brotherly Love, dans le port de Philadelphie où avait lieu l’expérience.

L’un des mâts était cassé. Quelques membres de l’équipage étaient partiellement encastrés dans le pont d’acier.

D’autres apparaissaient et disparaissaient dans un fondu enchaîné. Certains ont complètement disparu, et plusieurs autres sont devenus fous.

Au cours de l’expérience, deux marins pris de panique, Al Bielek et Duncan Cameron, sautèrent par-dessus bord…

Duncan Cameron

Al Bielek

Ils se retrouvèrent non pas dans l’eau, mais à la base militaire de Montauk, à Long Island en 1983, soit 40 ans plus tard…

Base Montauk

En octobre 1943, un nouvel essai fut réalisé sans équipage. Cet essai à blanc fut mené en utilisant 300 m de câbles reliés à un autre navire. L’U.S.S. Eldridge disparut de nouveau pendant une vingtaine de minutes.

Lors de sa réapparition, deux cabinets de transmission et un générateur avaient disparu.

La Marine dépouilla le navire de fond en comble et mit fin au projet.

L’Eldridge rejoignit la flotte de guerre et par la suite, il fut confié à la Grèce.

 

Projet PHOENIX (1947 – 1969)

Afin de comprendre ce qui s’était réellement passé lors de l’expérience de 1943, le projet redémarre sous la responsabilité de Von Neumann aux Brookhaven National Laboratories de New York.

Les travaux portent alors sur l’Espace-Temps et les champs électromagnétiques extrêmes.

C’est du Projet Phoenix que nous provient la technologie antidétection (Stealth) et toutes sortes de petits gadgets énergétiques, comme la Radiosonde.

Un autre projet sur la modification du climat, utilisant les concepts de Wilhelm Reich pour anéantir les radiations mortelles DOR (Deadly Orgone Radiations), y était aussi développé en parallèle.

La première étape consista à trouver le point zéro, ou point de référence de la vie de chacun des membres de l’équipage de l’U.S.S. Eldridge.

Puis de les relier au point zéro de la Terre, à celui du système solaire, et à celui de la galaxie (le Zéro-Time).

Comme les effets de l’expérience de 1943 furent catastrophiques sur l’équipage de l’U.S.S. Eldridge aux niveaux physique, biologique et psychologique.

Les scientifiques imaginèrent de poursuivre l’expérience avec une chaise en métal sur laquelle un seul « cobaye » humain pouvait prendre place.

Cette recherche, qui débuta en 1948, ne put vraiment se développer qu’en 1967, avec l’aide de visiteurs extraterrestres venus de Sirius A.

Grâce à leur collaboration et pour éviter de nouvelles conséquences engendrées dans l’hyper-espace lors des expériences de 1943 (nombreux crash d’OVNI et ouverture incontrôlée d’une énorme faille temporelle), ils fournirent à l’armée les plans d’un appareil prototype qui sera connu dès 1969 sous le nom de « Chaise de Montauk ».

Projet PHOENIX II ou Projet MONTAUK (1969 – 1979)

En 1969, après un refus du Congrès, les scientifiques désirant poursuivre les recherches sur la « Chaise » s’adressent à l’Armée qui leur donne accès à la base semi-désaffectée de MONTAUK ainsi qu’à un générateur de forte puissance et au vieux radar « SAGE » de la base à laquelle ils adjoignirent la technologie « micro-ondes ».

Montauk était à l’origine une base de l’armée de l’Air américaine, pleinement active durant la Seconde Guerre Mondiale.

Elle s’appelait Fort Hero et se situait au nord de l’île de « Long-Island », sur laquelle la moitié de la ville de New York est bâtie aujourd’hui.

Deux niveaux en sous-sol étaient creusés et prolongés par des souterrains jusqu’à 16 km au nord et au sud de la base.

4 autres niveaux furent taillés dans le roc et 2 autres étages souterrains furent créés.

Le 7ème mesurait 8 km et ces souterrains étaient accessibles par la mer.

Fin 1971, tout était prêt pour commencer de nouvelles expériences. Elles porteront désormais sur le contrôle mental ; la pire des manipulations du cerveau qu’on exécuta jamais sur l’homme.

En exploitant la puissance de sortie du radar SAGE, en modulant l’onde spéciale comme leur avait enseigné Reich (contrôle climatique) et en les combinant à un effet qu’ils ont noté pendant l’Expérience de Philadelphie.

Ils réussirent à transmettre environ 406 MHz. Le signal sautait d’une fréquence à une autre et changeait de phase.

Ils utilisèrent alors le concept « amplidyne » qui correspond à des modulations d’impulsions à stages multiples.

Les BRF (filtres à rejet de bandes) jouaient dans les 10 à 750 cycles et la largeur de la modulation pouvait varier entre 10 à 75 ms.

La fréquence centrale était de 406 MHz, générée d’une fonction à faible excitation en référence à une fonction Temps-Zéro.

Les expérimentations furent réalisées au « petit bonheur la chance » sur des « cobayes » volontaires.

La première phase du projet concernant le contrôle mental consistait à placer un individu à environ 76 m de l’antenne.

Le radar SAGE dispensait une puissance de crête impulsive de 0.5 MW, un gain d’antenne de 30 dB et une puissance de rayonnement d’1 GW.

Cela provoqua de nombreuses lésions cérébrales, des troubles psychiques et des lésions aux poumons…

Peu de personnes survécurent…

Des expériences furent aussi exécutées sur les habitants de Long-Island, de New York et du Connecticut pour déterminer le périmètre d’action.

On estime aujourd’hui à plus de 250 000 le nombre de personnes qui servirent involontairement de cobayes…

En 1973, Preston Nichols est affecté à la base en tant qu’ingénieur en radioélectricité.

À cette époque, on réussit à éviter les brûlures en éloignant les expérimentateurs de Montauk. Ils furent installés à Southampton, mais étaient toujours reliés par ordinateurs à la base.

Preston Nichols (1946 - 2018)

Grâce à la chaise, ils pouvaient transmettre un signal et mettre les gens dans un état pré-orgasmique qui les rendait malléables à toutes formes de conditionnement.

Ces expériences ont très bien fonctionné et ils ont développé d’autres d’applications, comme le voyage dans le temps.

 

Les différentes étapes historiques de « La Chaise de Montauk »

On parvint à capter les fonctions électromagnétiques de la pensée et à les coder de façon à leur donner une forme compréhensible sur un écran.

La chaise et ses annexes étaient devenues la machine à lire la pensée.

La personne sur la chaise pouvait visualiser une image mentale et on pouvait la voir et l’enregistrer sur cassette vidéo.

L’expérimentateur pouvait faire apparaître par la pensée des objets tridimensionnels.

L’expérimentateur pouvait créer une autre réalité spatiotemporelle et la transmettre à une autre personne.

Ceci allait aider plus tard à stabiliser les personnes enfermées dans « la bouteille isolante », lors des expériences d’invisibilité de 1943.

Cependant, on s’aperçut que lorsqu’une autre réalité était créée, on cassait le flot du temps de NOTRE réalité, et les transmissions entre Southampton et Montauk s’interrompaient.

De plus, si une trop grande puissance était utilisée durant ces « anomalies du temps », des effets désastreux en résultaient.

En 1975, on ramena la chaise à Montauk et on la confina dans une zone amagnétique.

La solution résidait dans les récepteurs en cristaux Sirius. Le plan primitif de la chaise donné par les Sirians montrait un couplage différent des bobines situées sous la chaise.

Après rectifications, tout rentra dans l’ordre.

En 1976, on s’accorda encore un an pour travailler sur les programmes d’ordinateurs de manière à retransmettre toutes les fonctions psycho-affectives du cerveau.

À la fin de 1977, le transmetteur reproduisait les formes-pensées sans anomalies de temps et avec un haut degré de fiabilité.

C’est à ce moment que quelque chose d’extraordinaire se produisit. Lorsque l’on se concentrait sur un objet matériel, cet objet pouvait apparaître n’importe où dans la base.

On venait de découvrir les points GRID, c’est-à-dire les points de la Terre où le magnétisme était neutre et où la matérialisation devenait possible.

On inventa alors « l’œil qui voyait ». Il suffisait seulement d’un « témoin », un cheveu appartenant à une personne, pour qu’il soit possible de voir et d’entendre ce que cette personne voyait et entendait.

Cette faculté pouvait s’étendre à n’importe qui, et n’importe où sur la planète. On ne sait toujours pas jusqu’où sont allées les expérimentations dans ce domaine.

À cette étape, il était possible de contrôler complètement une personne et lui faire faire ce qu’on voulait.

Cette opération était beaucoup plus profonde et plus fiable que l’hypnose. Elle réussissait dans 90% des cas.

Dès 1979, il était possible de cibler des individus, mais aussi des groupes entiers, des animaux, des lieux et de la technologie.

On pouvait déplacer des objets à distance, en détruire d’autres, brouiller des émissions TV.

C’était le pouvoir absolu et des choses horribles furent expérimentées…

Fin 1979, toute l’installation était parfaitement au point et on commença à distribuer des cassettes vidéo aux différentes agences gouvernementales pour influencer et contrôler la population.

On s’attaqua alors plus sérieusement à la manipulation du Temps.

Dès 1979, le voyage dans le temps, dans l’espace et les relations avec des civilisations extraterrestres allaient se généraliser…

 

Le contenu de cette page provient de la chaîne Youtube https://www.youtube.com/user/PierrePhilo

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