Dans ce chapitre, nous allons éclairer un des aspects les plus sombres du lobbying mondial du Cancer et, par voie de fait, la face cachée de l’industrie pharmaceutique…
Avant d’entrer dans le vif du sujet, il est important de faire quelques petits rappels :
Un groupe de cellules cancéreuses ne peut pas se former dans le tissu musculaire, ni dans le muscle cardiaque.
Les cellules cancéreuses siègent à l’intérieur des tissus tumoraux, se multiplient en absorbant le glucose et les nutriments des cellules saines en créant des toxines comme l’acide lactique.
Dans la première phase du cancer, la tumeur n’affecte ni la santé, ni ne met la vie du patient en danger.
Le temps de survie d’un patient est défini par l’intervalle de temps entre le moment où le diagnostic du cancer est établi chez un patient et celui où il meurt de sa maladie.
Les dernières statistiques, établies depuis les 50 dernières années, montrent que malgré les progrès phénoménaux accomplis par la médecine pour rétracter ou réduire les tumeurs, le temps de survie du patient n’est pas plus grand aujourd’hui qu’il ne l’était il y a 50 ans.
En réalité, il faut savoir qu’au cours des 50 dernières années, le taux de guérison véritable de la médecine moderne dans ce domaine n’a jamais été supérieur à 3%.
Le lobbying mondial du cancer est dirigé aux États-Unis par :
- BIG MEDECINE, composée de l’Institut National du Cancer (NCI), de l’American Cancer Society (ACS) et de l’American Medical Association (AMA).
- – BIG PHARMA (les grandes multinationales pharmaceutiques) comme la Food and Drug Administration (FDA) et la FTC.
Contrairement à une idée reçue, la chimiothérapie est extrêmement toxique et tue en pleine croissance les cellules, qu’elles soient cancéreuses ou non.
La vérité dans ce domaine est que le patient meurt le plus souvent de l’intoxication provoquée par des chimiothérapies répétées que du cancer lui-même.
Contrairement à une autre idée reçue, la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie n’ont jamais permis de stopper la propagation du cancer mais seulement d’en ralentir la progression.
C’est pour cette raison que la FDA n’a jamais approuvé le moindre médicament de chimiothérapie pouvant cibler directement les cellules cancéreuses et que l’AMA n’a jamais approuvé une seule procédure qui pourrait stopper la propagation du cancer…
Pendant plusieurs décennies, ce lobbying a même fait disparaître des milliers d’informations sur les causes environnementales du cancer et les risques d’exposition aux agents cancérigènes.
En fait, leur véritable objectif était de faire du cancer une maladie chronique comme le diabète en « fidélisant » le patient pour le transformer en un véritable centre de profits à long terme.
C’était pour eux une simple équation économique. Plus les patients étaient atteints de cancer par manque d’informations sur les agents cancérigènes, plus il y avait de ventes de chimiothérapies.
Un business extrêmement juteux qui aurait pu avoir comme devise :
« Il est beaucoup plus rentable de ralentir seulement la propagation du cancer que de stopper sa propagation ».
Existe-t-il des traitements naturels contre le cancer ou des molécules capables de cibler les cellules cancéreuses et d’en stopper la propagation ?
La réponse est OUI, il en existe des dizaines très efficaces, mais aucun d’eux n’a jamais été approuvé par la FDA…
Ceci s’explique en partie par le fait que Big Pharma ne peut pas faire breveter les molécules naturelles. Donc comme ces médicaments ne sont pas financièrement intéressants, la FDA les étiquette « non prouvés » et ils passent automatiquement à la trappe.
De plus, il faut savoir qu’aux États-Unis, de grandes multinationales comme General Electric (membre de l’industrie du cancer) font aussi d’énormes bénéfices sur l’approvisionnement des hôpitaux en matériels coûteux et en vendant des médicaments sur ordonnance.
General Electric est aussi propriétaire de la NBC et d’au moins 30 grandes sociétés affiliées. Donc au final, tout le monde est lié et cet énorme lobbying contrôle aussi les médias (TV, presse, radio, etc.).
Historique du Lobbying
Remontons au début du XXe siècle, le point de départ, là où tout a commencé.
À cette époque, l’objectif de John Davison Rockefeller (1839 – 1937) était de dominer les industries pétrolières, chimiques, pharmaceutiques et les marchés financiers de sorte que son entreprise, la Standard Oil of New Jersey puisse acheter une participation majoritaire dans une énorme compagnie pharmaceutique Allemande, la société IG Farben.
L’abréviation IG Farben désigne la société allemande fondée le 1er janvier 1925 sous le nom de IG-Farbenindustrie AG. Une « petite IG », par opposition à l’IG de 1925, a été fondée en 1905 par rapprochement concerté des sociétés chimiques BASF, Bayer et Agfa.
Un conseil de gestion commun fut créé mais chacune des sociétés conserva son identité propre.
John Davison Rockefeller
Standard Oil
IG Farben produisit de nombreux produits chimiques : ammoniac synthétique (duquel étaient dérivés des engrais azotés, des explosifs) et des biocides ou gaz d’exterminations dont le Zyklon B, de l’essence synthétique, des médicaments, des colorants, des plastiques, du caoutchouc synthétique, des pellicules photographiques et des textiles.
IG Farben a été l’un des plus importants donateurs de fonds pour la Campagne électorale d’Adolf Hitler.
Un an avant qu’Hitler ne s’empare du pouvoir, IG Farben avait fait don de 400 000 DM pour le parti nazi.
Nuremberg, 1935
Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, IG Farben, avec la bienveillance des nazis, créa le plus grand complexe industriel du monde pour la fabrication de caoutchouc de synthèse.
Cette filiale fut baptisée IG Auschwitz et devint par la suite un des camps de concentration les plus macabrement connus de l’histoire.
La création du camp souche Auschwitz I fut décidée par les SS en février 1940, au milieu d’une région polonaise riche en matières premières : eau (au bord de la rivière Sola, zones marécageuses à proximité), chaux et charbon (à 30 km du camp se trouvent des gisements parmi les plus riches d’Europe).
Ces ressources étaient nécessaires pour la production d’essence et de caoutchouc de synthèse ; elles furent essentielles pour l’effort de guerre allemand.
C’est pourquoi les Nazis chargèrent le groupe chimique IG Farben d’en assurer l’exploitation sur le site. La main-d’œuvre fut celle du camp de concentration.
Auschwitz était directement sous les ordres d’Heinrich Himmler et de la SS.
Le responsable du camp fut le SS-Obersturmbannführer Rudolf Höss jusqu’à l’été 1943, remplacé ensuite par Arthur Liebehenschel et Richard Baer.
Auschwitz était constitué principalement de trois camps :
Auschwitz I, ouvert le 20 mai 1940. Le camp souche (principal) est un camp de concentration où périrent près de 70 000 personnes. Au début, des prisonniers de guerre et des opposants politiques polonais et soviétiques ; ensuite des Juifs et des résistants de toutes nationalités.
Auschwitz II (Birkenau), ouvert le 8 octobre 1941 pour les prisonniers de guerre soviétiques. À la fois camp de concentration et centre de mise à mort immédiate où périrent plus d’un million de personnes, juives dans leur immense majorité ainsi que des Tziganes.
Auschwitz III (Monowitz), ouvert le 31 mai 1942 ; un camp de travail pour les usines IG Farben.
Ces trois camps étaient complétés par une cinquantaine de petits camps dispersés dans la région et placés sous la même administration.
Complexe IG Farben, Auschwitz
De 1940 à 1945, plus de 1,1 millions d’hommes, de femmes et d’enfants y furent exterminés dont 900 000 directement à la sortie des trains qui les y transportaient.
Plus de 25 000 déportés y ont travaillé jusqu’à la mort alors que tous les autres ont été assassinés dans les chambres à gaz. Des dizaines de milliers d’entre eux sont morts au cours d’expériences ou d’expérimentations médicales, comme les essais de nouveaux vaccins.
Et derrière tout cela se cachait, tapi dans l’ombre, I.G. Farben et son industrie pharmaceutique qui affirmera après la Seconde Guerre Mondiale avoir perdu plus de 203 millions de marks en raison des dédommagements imposés par le Traité de Versailles et des discriminations commerciales qui ont suivi…
Curieusement, à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, aucun des membres-dirigeants d’I.G. Farben n’a été condamné.
En 1956, Fritz Ter Meer d’I.G. Farben, pourtant criminel de guerre reconnu coupable au procès de Nuremberg, fut nommé président du conseil d’administration de la Bayer Corporation.
Dans les années 1980, la Bayer a commercialisé un médicament, appelé « facteur VIII », pour les hémophiles. Ce médicament était fabriqué principalement avec des produits sanguins humains contaminé par le virus du SIDA.
La Bayer en a vendu en France, en Espagne et au Japon. Et ainsi, des milliers d’hémophiles innocents et leurs familles ont été infectés en Europe par le virus du SIDA.
Les accusés d’IG Farben
Mais revenons en 1910. Afin de faire progresser son cartel pharmaceutique, Rockefeller décida de « rééduquer » le corps médical afin qu’il prescrive de plus en plus de ses médicaments.
Pour cela, il embaucha Abraham Flexner qui avait pour rôle d’évaluer le succès des écoles médicales américaines.
Flexner présenta un rapport à la Fondation Carnegie, intitulé « l’Éducation médicale aux États-Unis et au Canada » qui insistait fortement sur le fait que les gens ne consommaient pas suffisamment de médicaments.
Flexner y démontrait aussi qu’il était nécessaire d’installer un « Portier » dans les facultés de médecine autorisées pour labelliser les médicaments industriels.
Le rapport Flexner fut présenté au Congrès puis adopté à la majorité.
Abraham Flexner (1866 - 1959)
Ainsi naquit l’AMA qui, depuis 1847, n’était encore qu’une organisation privée syndicale de médecins. Le nombre de facultés de médecine accréditées diminua ainsi de moitié entre 1910 et 1944.
Le plan de Rockefeller eut un succès retentissant et depuis, les conflits d’intérêt entre Big Pharma et Big Medecine sont toujours d’actualité.
Au cours du siècle dernier, Big Medecine (CNI, AMA) s’est rapprochée de groupes institutionnels majeurs au point qu’aujourd’hui le CNI (l’institut national du cancer) est devenue une société pharmaceutique gouvernementale concurrençant directement Big Pharma.
Depuis 1971, plus de 2 trillions de dollars ont été dépensés pour la recherche sur le cancer et les traitements conventionnels allopathiques. Néanmoins il est curieux de constater que le lobbying du cancer demeure toujours aussi fermé aux idées novatrices dans le domaine des traitements de substitution du cancer.
Il préfère mener une autre guerre, une guerre de territoire à travers les médias, la TV, la publicité, les journaux, les revues professionnelles et la radio qui rapporte des milliards de dollars et bien plus encore en vendant de nouveaux médicaments pour traiter les problèmes causés par les effets secondaires des premiers.
Tout semble fait pour que ce business perdure et profite de la moindre occasion pour s’enrichir encore plus et plus rien ne semble pouvoir s’y opposer aujourd’hui…
À titre anecdotique, un magnifique rapport, publié en juin 2010 dans le British Medical Journal (BMJ), a révélé que des scientifiques de haut niveau ont persuadé l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) de déclarer le H1N1 (grippe porcine) en pandémie mondiale en raison de l’existence de liens financiers avec les compagnies de Big Pharma et leurs ventes de vaccins.
Vous connaissez tous la suite de cette énorme ARNAQUE pharmaceutique…
Existe-t-il des remèdes contre le cancer ?
En réalité, il a toujours été possible de vaincre le cancer…
Il existe des dizaines de traitements naturels et des molécules naturelles capables de cibler les cellules cancéreuses et de stopper définitivement leur propagation.
Un des premiers traitements contre le cancer fut développé par le scientifique Royal Raymond Rife en 1933.
Il consistait à détruire les microbes polymorphiques qui sont actifs dans les cellules cancéreuses en les soumettant à certaines fréquences qu’il appelait « fréquences mortelles d’oscillation » et qu’il avait découvertes en bombardant des micro-organismes vivants avec une infinité de combinaisons de fréquences radio et audio.
Royal Raymond Rife (1888 - 1971)
Ce type de traitement avoisine toujours aujourd’hui les 100% de guérison, mais n’est réservé qu’à une « élite ».
No comment…
À titre anecdotique, l’AMA avait proposé à Rife de lui racheter les droits de sa découverte, mais ils n’ont jamais réussi à se mettre d’accord sur le « prix » et Rife fut dénigré publiquement par Big Pharma ainsi que l’ensemble de ses travaux.
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