La guerre Météorologique

La notion de GUERRE MÉTÉOROLOGIQUE est probablement inconnue de la plupart d’entre vous, aussi, faisons tout d’abord un petit rappel sur le temps atmosphérique.

On suppose que le problème majeur du bouleversement climatique que nous connaissons aujourd’hui vient du fait que la Terre se refroidit lentement alors que la teneur en CO2 a doublé, créant ainsi un réchauffement de notre atmosphère, qui correspond à ce que nous appelons l’EFFET DE SERRE.

Cependant, contrairement à une idée reçue, il y a une grande discordance entre les catastrophes climatiques modélisées par nos ordinateurs et la réalité.

Officiellement, d’après les modèles de la circulation atmosphérique, on prévoit un plus grand réchauffement atmosphérique dû à l’effet de serre sous les hautes latitudes.

Officieusement, le fait est que nous n’avons jamais eu vraiment d’indices concluants, démontrant réellement l’influence du réchauffement de l’atmosphère, dû à l’effet de serre, sur l’océan Arctique au cours des quarante dernières années.

D’après les températures qui ont été mesurées dans la troposphère inférieure au-dessus de l’océan Arctique entre 1950 et 1990 (plus de 27 000 profils de température établis et analysés), il ressort que la plupart des tendances ne sont pas statistiquement significatives.

En particulier, nous n’avons pas constaté de réchauffement assez étendu sur la surface, tel que les modèles de climat le prédisent ; au contraire, nous avons découvert pour les saisons d’automne et d’hiver une tendance significative au refroidissement au-dessus de l’Ouest de l’océan Arctique.

Cette discordance fait comprendre que les modèles de climat de nos jours ne reflètent pas avec justesse les processus physiques qui influent sur les régions polaires.

En outre, les stations de surveillance météorologiques du cercle polaire rapportent une baisse de température de plus de 6°C depuis ces trente dernières années.

Il serait quand même prématuré d’en conclure que les modèles « de serre » soient faux, pour la simple raison qu’on ne peut les réfuter avec des mesures ni avec d’autres faits scientifiques.

En réalité, ils existent mais n’ont rien à voir avec des données scientifiques.

Les modèles de climat sont des instruments manipulables. Ils permettent, grâce à des paramètres externes en nombre suffisant, d’établir à partir de données d’observation quelconques des scénarios de catastrophes avec un « potentiel d’exécution » maximal.

C’est pourquoi aujourd’hui plusieurs études, comme celle de Kahl, contredisent les modèles climatiques établis.

En réalité, il est plus que probable que nous nous dirigeons vers une nouvelle époque glacière, mais ce sujet est systématiquement passé sous silence dans les médias.

D’après des météorologues et des géologues éminents, la nouvelle période glaciaire se fera sentir dans les cinquante années à venir et serait indépendante de l’effet de serre produit par la pollution de l’atmosphère.

D’après eux, la progression du froid dans quelques décennies devrait compenser la hausse actuelle du réchauffement planétaire.

En fait, très peu de personnes dans le monde savent qu’une diminution du rayonnement solaire d’1% suffirait à déclencher la prochaine période glaciaire.

La réduction du rayonnement solaire par la pollution est moins inquiétante que l’éventualité d’une gigantesque éruption volcanique qui pourrait considérablement obscurcir la lumière du Soleil.

Des nuages de poussière de cendres fines dues à une éruption peuvent demeurer des années dans la stratosphère et abaisser les températures au sol de plusieurs degrés.

Une autre hypothèse à propos du temps atmosphérique n’a jamais été mentionnée officiellement :

Les conditions climatiques actuelles ne seraient pas forcément liées à l’activité atmosphérique et les catastrophes naturelles, tremblements de terre, tempêtes et périodes de sécheresse pourraient avoir une toute autre origine…

De nombreuses expériences ont été réalisées pour tenter de modifier le climat et certaines des catastrophes naturelles subies ces 10 dernières années en sont directement les conséquences…

Rien qu’aux États-Unis, il y eut 9 programmes de modification du temps lancés par le gouvernement fédéral en 1975, sans compter les 66 autres programmes de différents organismes.

Ces programmes comportent une multiplicité de recherches climatologiques jusqu’à la projection d’agents de condensation sur les nuages pour provoquer la pluie, éviter la grêle, dissiper les nuages, influer sur des ouragans, détourner des tempêtes de neige, dévier les chutes de neige, engendrer des tremblements de terre, des raz-de-marée, supprimer des éclairs, etc.

Si la tendance actuelle d’un temps imprévisible et froid se maintient, les pays qui en souffriront le plus seront l’Amérique du Nord, le Canada, l’Europe du Nord et la Russie…

Voler « le temps » aux pays pauvres à l’aide d’une technologie sophistiquée pourrait devenir un réel enjeu dans un proche avenir, mais cela pourrait aussi conduire à des guerres.

Comme toutes les tentatives pour diriger les forces de la nature, certaines technologies provoquent des répercussions multiples.

En effet, provoquer un type de temps dans un endroit n’est possible qu’en diminuant son potentiel dans un autre endroit.

Jusqu’à aujourd’hui, il n’y a pas de lois internationales qui limitent le « monopole du temps », et certaines grandes puissances en ont abusé et continuent d’en abuser.

En 1973, le Honduras accusa les États-Unis de voler sa pluie et de provoquer une grande sécheresse en détournant artificiellement l’ouragan « FIFI » pour sauver l’industrie touristique de la Floride. Cet ouragan a causé les plus grands dégâts jamais vus dans l’histoire du Honduras.

Le Salvador, subissant le fléau de la sécheresse, a porté des accusations similaires contre les États-Unis, comme le Japon qui croit qu’on lui a volé le peu de pluie nécessaire à toute vie en déclenchant le typhon à Guan.

La Rhodésie ainsi qu’Israël furent accusés par les nations voisines de leur voler la pluie.

Les Nations Unies travaillent officiellement à interdire toute guerre touchant à l’environnement mais c’est une affaire complexe et difficile et il est, pour ainsi dire, impossible d’y parvenir.

Plusieurs fonctionnaires de l’armée ont avoué que des avions du gouvernement américain avaient mis fin à l’aridité des terres aux Philippines et aux Açores pour protéger les intérêts militaires des États-Unis.

Les États-Unis refusèrent cependant de satisfaire à la requête de plusieurs autres nations appartenant à la zone du Sahel africain où la population souffrait de la sécheresse et mourait de faim.

Les Soviétiques travaillaient aussi à des projets similaires qui visaient à modifier de façon draconienne les structures atmosphériques en URSS afin d’augmenter la production agraire.

Nous avons aujourd’hui des preuves que l’énorme bouleversement climatique causé en 1982 et 1983 par El Nino dans l’océan Pacifique a été provoqué intentionnellement par une intervention des Soviétiques dans l’ionosphère.

Le phénomène appelé El Nino est une perturbation du temps d’origine naturelle dans la région du Pacifique qui se produit environ tous les dix ans.

En général, il provoque d’importantes chutes de pluie dans des petites parties du Pérou et dans une zone limitée en face de la côte Ouest de l’Amérique du Sud.

Cependant, lorsqu’El Nino passa en 1982 et 1983, ces effets furent énormément différents : les alizés à l’équateur qui soufflaient d’Est en Ouest dans l’hémisphère Sud furent refoulés, ce qui retint les courants d’eau chaude qui s’écoulaient normalement vers l’Asie.

L’eau se mit alors à s’accumuler devant la côte Ouest de l’Amérique du Sud. Pour des raisons inconnues des météorologues, les alizés se mirent à souffler dans la direction opposée, ce revirement apporta des chutes de pluie diluviennes au Pérou et causa des périodes de sécheresse en Australie.

Ces alizés provoquèrent aussi des tremblements de terre, des coulées de boue ainsi que des tornades dans le Sud de la Californie et le long de la côte Est de l’Amérique du Nord et de l’Alaska.

Ce n’est qu’un exemple mais il explique précisément les conséquences des ondes ELF qui sont envoyées de la Terre vers l’ionosphère à l’aide d’un émetteur-renforçateur Tesla pour provoquer de gigantesques vagues stationnaires.

Celles-ci servent de mécanisme pour bloquer le temps atmosphérique afin de provoquer de façon soudaine un bouchon inattendu avec les alizés soufflant d’Est en Ouest évoqués ci-dessus.

À titre informatif, sachez que les ondes ELF naturelles sont créées par les éclairs de foudre qui déclenchent l’oscillation des électrons de l’atmosphère.

Le mode de résonance principal de la cavité Terre-ionosphère a une longueur d’onde égale à la circonférence de la terre, soit 7,8 Hz.

Ainsi cette fréquence et ses harmoniques (14, 20, 26, 32 Hz) apparaissent comme des pics de bruit dans le spectre ELF et sont appelées « résonance Schumann ».

L’extrêmement basse fréquence (ou ELF, extremely low frequency en anglais) est la bande de radiofréquences comprise entre 3 et 30 Hz (longueur d’onde de 100 000 à 10 000 m).

Alors que la bande supérieure 30 à 300 Hz sert aux liaisons sous-marines, cette bande n’est pas utilisée en télécommunications, mais sert à détecter certains phénomènes naturels, produisant des impulsions radioélectriques.

Déjà en 1978, le Dr Michrowsi du Département d’État canadien disait que les Soviétiques avaient réussi à bloquer la résonance électrique de la Terre et qu’ils étaient, par là même, capables d’émettre des ondes stationnaires relativement stables et localisées grâce auxquelles le JET STREAM au-dessus de l’hémisphère Nord pouvait être endigué ou déplacé.

Outre le dommage que cause la modification du temps au moyen des ondes ELF sur les structures naturelles du temps, sur le rythme des marées et des maladies qu’elle provoque chez l’homme, il faut savoir que ces ondes ont aussi un effet négatif sur les animaux qui sont dépendants des courants chauds du vent et de la mer pour se déplacer.

Cela perturbe leur rythme naturel et les condamne à une mort certaine. Des volées d’oiseaux qui recherchent leur île habituelle pour y nicher ne la retrouvent pas et de nombreuses baleines perdent toute orientation à cause des changements des courants de la mer et s’échouent mystérieusement sur les côtes.

Aujourd’hui, nous pensons qu’il est nécessaire de dire la vérité et elle est encore plus dramatique que tout ce que vous pouviez imaginer…

Dans le cas d’une éventuelle période glaciaire, il n’y aura pas beaucoup d’alternatives pour y survivre et échapper aux conséquences de la pollution.

Cette catastrophe annoncée ne touchera cependant pas une certaine partie de la population que nous appellerons « E » et qui était très consciente, depuis au moins 1957, des conditions dévastatrices subies par notre environnement.

Cette année-là, les plus éminents scientifiques sur la question se rencontrèrent à Huntsville, en Alabama, pour exploiter les données et les informations du programme de satellites nouvellement installés.

Un des participants, le Dr Carl Gerstein, fit le pronostic suivant :

La pollution de la couche supérieure de l’atmosphère et les centaines de milliards de tonnes de CO2 qui vont s’y accumuler, auront des conséquences catastrophiques d’ici la fin du siècle.

Tous en arrivèrent à la conclusion qu’au cours du 21ème siècle, la vie humaine ne serait plus possible à la surface de la Terre.

Ils mirent donc au point un plan de « sauvetage » dont la diffusion publique coûta la vie à plusieurs personnes. Le plan est le suivant :

ALTERNATIVE 1 : faire exploser une ogive nucléaire dans la stratosphère pour permettre au CO2 de se volatiliser ;

ALTERNATIVE 2 : la construction de gigantesques villes souterraines autonomes où seraient évacuée « E » qui pourrait y séjourner jusqu’à ce qu’il devienne à nouveau possible de vivre à la surface de la Terre ;

ALTERNATIVE 3 : la colonisation d’autres planètes comme Mars.

L’ALTERNATIVE 1 fut déclarée trop dangereuse et fut exclue du plan. Par contre, les deux autres alternatives furent lentement mais sûrement mises en place.

L’ALTERNATIVE 2 comprend 75 villes souterraines dont 65 en Amérique du Nord, une dans les Alpes suisses, une à Transvaal (Afrique du Sud) et une à Pipe Gap, en Australie. Nous ne dévoilerons pas où sont les autres villes…

Parmi les villes souterraines américaines, il y a aussi des bases souterraines, comme celle de Dulee Base à New Mexico, la Zone 51 à Groom Lake (Nevada), le « Country Club » à Maryland et enfin Dreamland, à Los Alamos en Californie.

Sachez qu’on mène aussi actuellement dans ces bases, des expériences génétiques sur l’homme, dont le clonage, des développements d’OVNI et d’autres tests, tels que les groupes motopropulseurs pulsar…

En avril 1992, nous avons pu obtenir plusieurs informations concernant la base souterraine de l’armée de l’air PINE GAP.

En voici quelques-unes :

Pine Gap a environ 13 km de profondeur et fonctionne grâce à de l’énergie libre (donc inépuisable). Elle comprend des lacs souterrains, des trains suspendus, des cultures de fruits et de légumes et peut résister sans aucun problème à une attaque atomique.

L’ALTERNATIVE 3 commença à se concrétiser à partir de 1959.

On avait déjà construit des soucoupes américaines à la fin des années 50 avec l’aide de scientifiques allemands, comme Victor Schauberger, et plus tard de nouvelles grâce à l’étude des soucoupes volantes retrouvées écrasées sur le sol à l’Ouest des États-Unis.

(Voir notre chapitre : La mystérieuse société VRIL)

Ainsi, dans le plus grand secret, un nouveau projet fut mené en parallèle au programme spatial officiel, afin d’étudier la surface lunaire.

À partir de 1960, on se mit à construire deux bases lunaires occupées par les Américains et les Russes, situées à l’Est de la MARE IMBRIUM.

Elles furent nommées ARCHIMEDES BASE et CASSINI BASE, d’après les noms des deux cratères où elles furent érigées. Nous n’en dirons pas plus à leur sujet (terrain beaucoup trop sensible).

Ces bases lunaires étaient des stations intermédiaires en vue d’un futur voyage sur Mars.

Le premier atterrissage sur Mars avec un équipage a eu lieu le 22 mai 1962. Cet atterrissage ainsi que le vol au-dessus de la surface de Mars accompagnés des commentaires de l’équipage américano-russe furent filmés et enregistrés.

Le film qui a été pris du cockpit d’une « soucoupe » permet de voir brièvement les instruments qui se trouvent devant le pilote et qui montrent que la pression extérieure de l’air est à 700 millibars et la température extérieure à 4°C.

Les astronautes, dont les voix furent enregistrées jubilèrent d’allégresse et s’exclamèrent, entre autres :

« Nous sommes le 22 mai 1962, nous sommes sur Mars, nous avons de l’air pour respirer ! »

En janvier 1977, Harry Carmell, collaborateur de la NASA, transmit ce film à Sir William Ballantine, un radioastronome reconnu.

Le 6 février 1977, Ballantine eut un rendez-vous avec John Hendry (dirigeant d’un journal international), pour commenter la sortie de ce film. Comme par hasard, Ballantine mourut mystérieusement d’un accident d’automobile en se rendant chez Hendry.

Le film tomba néanmoins un jour entre les mains de l’équipe de télévision de « Science Report » à la station anglaise « Scepter TV ».

Il fut diffusé mais la station de télévision reçut peu après l’avertissement qu’on allait lui retirer sa licence si jamais elle continuait à traiter ce sujet à l’antenne.

Cette affaire fut alors étouffée et personne n’en entendra plus jamais parler…

Que savez-vous réellement de la planète Mars, à part ce qui est dit « officiellement » par la NASA ?

En réalité, on a fait croire au grand public qu’il n’y a pas de vie sur Mars, mais nous pouvons vous affirmer que c’est faux :

LA VIE EXISTE SUR MARS…

Les photos prises par Viking 1, le 31 juillet 1976, prouvent même qu’il y a eu une vie douée d’intelligence sur Mars.

Ces dernières, prises à une hauteur de 1 278 miles au-dessus de l’hémisphère Nord, montrent le visage martien bien connu aujourd’hui (1,5 km de long), au côté gauche duquel se trouvent plusieurs pyramides.

Comme par hasard, la sonde américaine Observer disparut mystérieusement le 24 août 1993 alors qu’elle avait pour mission de faire de nouvelles photos du « Visage de Mars » et des pyramides.

Ce qui a toujours été caché au plus haut niveau, c’est que la présence de ces pyramides remet en cause l’histoire du passé de l’homme et de toutes les religions terrestres.

Ces constructions prouvent que l’humanité n’est pas unique et qu’elle n’est donc pas le « chef-d’œuvre » de la Création.

Un autre fait troublant entoure la sonde PHOBOS II qui atterrit en 1989 sur Phobos, la petite lune de Mars. Avant qu’elle ne pût poser son module d’atterrissage, le contact radio s’éteignit à tout jamais pour des motifs encore inconnus.

Nous pouvons vous affirmer aujourd’hui que l’Alternative 3 est une réalité, que des villes souterraines ont été construites sur Mars et que des terriens y vivent.

Cacher cette vérité est aussi la raison pour laquelle d’énormes sommes d’argent sont dépensées aujourd’hui pour lancer de faux projets de recherches sur les nouvelles énergies ou dites « renouvelables ».

NO COMMENT…

 

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