Les Ummites se présentent comme des visiteurs extraterrestres venant de la planète UMMO, située à 14,4 années-lumière de la Terre, autour de l’étoile WOLF 424 (constellation de la Vierge).
Ummo est un astre froid (OYAA) de 7 251,63 km de rayon, qui tourne sur son axe en 600.0117 IUW (30,92 heures terrestres).
Elle est entourée d’une couche ionisée à 8 536,92 km et l’axe de son pôle a une inclinaison de 18° 39’ 56,3’’ avec une variation périodique de 19,8’’.
La planète effectue sa révolution en 3 XEE (0,212 années terrestres), autour de IUMMA (WOLF 424), son petit astre chaud (OOYIA), située à 99,6 millions de km d’elle.
Son orbite a une excentricité « à zéro baladeur », c’est-à-dire qu’elle est tantôt de 0,078 et tantôt de 0,007833 (presque circulaire).
Ummo possède un seul continent entouré d’un océan et ignore les phénomènes de dérive des continents. Son manteau est composé de neuf strates, sans véritable discontinuité.
Le champ magnétique y est plus important que sur Terre et l’accélération de la pesanteur y est de 1,21 g.
Sur Ummo, il y a des volcans (OAK-OEI) présentant la forme de crevasses. Ils projettent des colonnes incandescentes de méthane, pentane, oxygène à des hauteurs de 250 m jusqu’à 6,7 km.
Les Ummites affirment que leurs hydrocarbures ne s’y combinent pas.
Leurs 3 premiers vaisseaux ont atterri en France à 13 km de Digne, le 28 mars 1950 à 4h17 min TMG.
Leur chef se nommait DEI 98 et les Ummites affirment avoir creusé une mini base en forme de galerie, longue de 4 m, dans le sol à 8 m de profondeur, étayée par des cintres extensibles modulaires (en alliage de magnésium).
Elle se trouverait dans l’un des contreforts montagneux de la région à proximité du Pic du Cheval-Blanc dont le sommet culmine à 2 323 mètres.
Durant les années 70-80, ils ont transmis certaines de leurs connaissances dans des lettres envoyées à 34 scientifiques espagnols et plusieurs français dont le plus connu est le physicien du CNRS, Jean-Pierre Petit. Les contacts se poursuivirent jusqu’en 1994.
Nous disposons actuellement de plus de 200 documents représentant plus de 1 300 pages de textes écrits. Cependant, une des lettres de 1988 fait référence à 3 850 pages originales envoyées à différents destinataires sous forme de copies et qui représenteraient au total 160 000 feuillets.
Ils ont utilisé plus de 530 phonèmes, sans erreur d’utilisation entre les premières et les dernières lettres. Les racines « étymologiques » de ces phonèmes sont constantes dans le temps.
Ces lettres mentionnent leur arrivée sur Terre, leur sociologie, mœurs, sexologie, géologie, géographie, cosmologie, logique, philosophie, théologie, leur système de mesures duodécimal et bien sûr leur technologie.
Ils y décrivent aussi leur manière de concevoir la matière, sa structure et l’univers avec beaucoup de précision.
Leur religion et leur science ne font qu’un. Elle se rapproche du Bouddhisme, sans la notion de réincarnation.
Sa différence la plus fondamentale par rapport aux nôtres semble être l’absence quasi-totale de rituels collectifs et de hiérarchie.
Ils font cependant référence à un messie, UMMOWOA, dont la vie est extrêmement similaire à celle de Jésus de Nazareth qu’ils nomment (OYAGAAWOA8).
La décision et la mise en place d’un gouvernement centralisé sur Ummo a été réalisée, il y a environ 33.048 XEE (6999 ans terrestres, soit approximativement 1 800 ans avant les premières traces de la civilisation égyptienne sur Terre).
Depuis la parution de ces lettres, des découvertes scientifiques récentes ont confirmé plusieurs de leurs théories et même permis d’en établir de nouvelles : propulsion magnéto-hydro-dynamique MHD, l’annihilation de l’onde de choc à des vitesses supersoniques, les bases d’une mathématique nouvelle « tétravalente », ainsi que la modélisation et le calcul d’univers gémellaires.
Cette dernière permet aussi d’expliquer deux points du modèle communément admis aujourd’hui ; la masse manquante et le déficit en neutrinos solaires.
Les Ummites ont une allure humaine, un teint pâle et s’apparentent à des Nordiques. Ils n’ont pas de glotte et cessent d’utiliser leurs cordes vocales dès l’âge de 12 ans.
Sur Terre, ils sont obligés d’utiliser un appareil implanté dans la gorge pour s’exprimer par des sons. Leur langage parlé et écrit permet deux discours simultanés disjoints et indépendants, sans parler d’un troisième télépathique.
Ils nous étudient mais ne veulent pas infléchir le cours de notre histoire.
Plusieurs magazines grand public, tel VSD, ont publié de nombreux articles sur les Ummites.
Le système d’Unité des Ummites
L’unité de temps des Ummites est l’UIW qui se définit comme le temps qui s’écoule jusqu’à ce que la masse de l’isotope C du Thorium (WAEELE WIE VOAT) se réduise de moitié.
1 UIW équivaut à 3,0921 minutes (1 minute terrestre = 0,323 UIW).
1 jour d’Ummo (CSI) = 600,0117 IUW (1855,2 minutes ou 30,92 heures terrestres).
Il n’existe pas de divisions correspondant aux heures (1 jour terrestre = 465,12 UIW).
1 an d’Ummo (XEE) = 60 (CSI) (soit 111 312 minutes terrestres). C’est la 1/18e partie de l’intervalle de temps que met la planète UMMO pour faire un cycle complet en se déplaçant sur son orbite autour de l’astre IUMMA.
1 an terrestre = 4,72186 XEE
1 an d’Ummo = 0,21178 année terrienne.
1 ère d’Ummo = 6000 XEE (soit 1270 ans terrestres).
L’unité de longueur de Ummo est le EMOO.
Il se définit comme 12^6 (12 puissance 6) fois la longueur d’onde du faisceau de radiation émis par la galaxie OAA TAS.
Un EMOO équivaut à 1,873658 mètres. (lettre D-37)
La logique « tétravalente » Ummite
AIOOYAA = VÉRITÉ
AIOOYEEDOO = FAUX
AIOOYA AMMIE = peut se traduire par VRAI HORS DU WAAM
AIOOYAU = intraduisible en langage terrestre.
Les Ummites ne reconnaissent pas le principe terrestre de contradiction ou du tiers exclu (exclusion du moyen terme énoncé par Aristote) selon lequel les propositions ne peuvent être que VRAIES ou FAUSSES.
Ce qui est AIOOYAA, est AIOOYAU, et aussi AIOOYA AMMIE.
Mais ce qui n’est pas AIOOYAA, ni AIOOYEEDOO peut être plus ou moins l’un ou l’autre.
La chimie Ummite
Un de leurs scientifiques AOYOO 221 est célèbre pour avoir découvert la présence de nombreux atomes de krypton (DIIU YAA) aux extrémités de la chaîne hélicoïde de l’acide désoxyribonucléique (ADN).
Ils forment 86 paires biatomiques qui tournent sur des orbites communes sensiblement parallèles et un axe commun qui décrit en même temps un mouvement vibratoire harmonique dont la fréquence et l’amplitude varient en fonction de la température (0,2 Mégacycles pour une température de 35°C terrestres).
Le Krypton est un gaz formé d’atomes inertes. Dans leurs orbites, on compte 36 électrons dont 6 qui se trouvent dans une couche extérieure et 2 dans la suivante.
Il est capable d’entrer en résonance (OWEEU OMWAA L) avec le carbone et l’hélium suivant une fréquence correspondant respectivement à la 3ème harmonique de la fondamentale du Carbone et à la 6ème harmonique de la fréquence fondamentale de l’hélium. (lettre D-41)
Le vaisseau spatial Ummite
Leur vaisseau spatial (UEWA) a la forme d’une grande alvéole cylindrique surmontée d’une coupole et n’a pas de poste de pilotage.
Il est remplacé par un centre de contrôle du système d’inversion des IBOZOO-UU, une centrale d’énergie et des calculateurs, qui se chargent automatiquement du pilotage.
Ce système de calculateurs a une structure annulaire, similaire à l’anneau « IBM IV » de la fusée « Saturn V ».
L’habitacle est une cabine flottante (AYIYAA UU) qui se remplit d’un composé de faible degré de gélification en suspension « hydrosol » contenue au départ dans une cavité magnétique (YAAXAIUU).
Sa coagulation dans certains cas et son retour à l’état de solution colloïde s’effectue grâce à un dissolvant spécial.
À 24,611° C, il se convertit en électrolyte à forte conductivité. Ses propriétés thixotropes sont nulles pour éviter qu’un quelconque effet dynamique ne le transforme en solution colloïde.
L’UEWA a une propulsion gravitationnelle mais se déplace dans l’espace en utilisant les courbures de l’espace-temps et en transitant par un univers « gémellaire » pour réduire les distances.
Dans l’atmosphère, l’UEWA peut dépasser Mach 12 en contrôlant la distance de la « couche de choc » de la coque et les molécules d’air de la « couche limite » ayant un gradient de vitesse élevé et passant de l’état statique à une vitesse de l’ordre de celle de l’UEWA.
Ce double contrôle a pour but de vaincre le « mur de la chaleur », un phénomène d’aérodynamique connu.
Sa vitesse standard en vol dans une atmosphère de type UMMO est de Mach 12 et sa vitesse maximum conseillée de 118 000 km/s.
À Mach 12, la compression de l’onde de choc est telle que la température dépasse 3 500°C. Les molécules de gaz en se dissociant deviennent alors très fortement ionisées.
Dans l’atmosphère et à vitesse subsonique, ou supersonique modérée, le milieu qui entoure l’UEWA n’est pas ionisé.
L’ionisation à grande vitesse a principalement pour but de dévier les particules de poussières cosmiques afin d’éviter qu’elles ne criblent sa coque.
Elle agit comme un bouclier magnétohydrodynamique de protection.
Les UEWA disposent d’un équipement spécial (YUXIDOO) dont les bases scientifiques nous sont encore inconnues.
Cependant, il semblerait que leur générateur d’énergie utilise un plasma de lithium circulant dans un champ magnétique variant à haute fréquence.
Les UEWA peuvent virer quasiment à angle droit, en effectuant dans un même temps, une large boucle et une autre de sens opposé dans un autre sub-espace.
Le système informatique Ummite
Le codage et le décodage de chaque atome d’un cristal de titane pur permet grâce à 3 pinceaux d’ondes de fréquences élevées, placés selon 3 axes fondamentaux, de produire, par un phénomène de battement, une fréquence plus basse qui correspond à l’une des 10 fréquences d’excitation de l’atome visé.
Cela permet de lire ou d’écrire un chiffre de 1 à 10 dans un seul atome.
La fréquence utilisée est de 8.35*10^21 Hz. Elle correspond à une longueur d’onde de 3.59*10^-14 m et à une énergie de 3.47*10^7 électrons-volt pour chaque photon.
L’UEWA possède une centrale (XANMOO) dont la mémoire contient 12^26 nombres, représentant l’ensemble des paramètres d’identification des objets spatiaux qui pourraient être à analyser.
Par rapport à nos connaissances actuelles, la science Ummite présente de nombreuses incohérences…
Vous pouvez consulter leurs lettres, documents, analyses scientifiques et articles spécialisés sur : http://www.ummo-sciences.org
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