Le TR3-A Sportster est un disque volant dont l’aspect évoque celui d’une soucoupe volante.
Sa forme générale et ses proportions ont été conçues pour piéger et guider des ondes scalaires qui sont à la base de son système antigravitationnel.
C’est un modèle à double coque, les 2 coques étant séparées par un vide. Ce vide est cependant indispensable pour guider et focaliser des ondes scalaires stationnaires.
Le design général de cette soucoupe à double coque est également important car il permet d’utiliser le concept de « cavité résonnante » permettant aux ondes de se focaliser correctement.
Le TR3-A Sportster est en fait inspiré d’un OVNI extraterrestre, qui a été retrouvé intact, le 20 mai 1953, à Kingman dans l’Arizona.
Cet engin appartenait à des êtres mesurant environ 1m20 qui étaient revêtus d’une combinaison très moulante de la même couleur grise que leur épiderme.
La technologie qui équipait cet OVNI a été minutieusement étudiée mais n’a jamais pu être reproduite à l’identique. Seule une forme simplifiée de cette technologie put être élaborée à la fin des années 1980.
Ce disque volant se déplaçant à des vitesses superluminiques fut nommé officiellement TR3-A Sportster (« modèle sport »).
La dénomination « TR3-A » désigne aussi un missile hypersonique à propulsion EMHD, ayant une vitesse et un rayon d’action non conventionnels (très supérieurs à ceux des missiles classiques).
Bien que nous possédions ce « Sportster » depuis 1953, il fallut attendre le début de l’année 1971, pour réussir à le piloter.
Cela prit environ 20 ans aux ingénieurs pour concevoir deux sièges à taille humaine et réussir à les installer en dessous du poste de pilotage d’origine.
En outre, le Sportster ne disposait pas de hublots ou de verrières permettant de voir à l’extérieur.
Le poste de pilotage a donc dû être entièrement reconfiguré pour pouvoir y adapter des caméras, des capteurs et permettre aux pilotes d’avoir une vue extérieure de leur environnement.
Au final, le disque se pilotait avec le même procédé manuel que celui de l’ARV Flux Liner.
Il utilise une interface électronique de type « Track Ball », une sorte de sphère munie de capteurs dont le pilote contrôle les mouvements avec la paume de la main.
L’appareil obéit ensuite aux mouvements transmis par la main du pilote.
À l’origine, le système de pilotage du Sportster était indissociable du pilote extraterrestre, puisque c’étaient ses ondes cérébrales qui manœuvraient l’engin.
Ce fut d’ailleurs au début, la raison pour laquelle les ingénieurs ne parvenaient pas à le faire fonctionner. Il en était aussi, de même, pour certains autres ovnis récupérés intacts.
Le TR3-A Sportster utilise un générateur d’énergie et un système antigravitationnel complexe, non-conventionnels.
C’est la forme de la coque, ses structures internes et les différents alliages de métaux qui la composent qui lui confèrent ses propriétés antigravitationnelles.
À l’intérieur de l’engin, il y a un générateur de protons qui bombarde une cible triangulaire de quelques millimètres, pesant 223 grammes.
Cette cible est composée de l’élément 115, un cristal apériodique « ultra lourd » et son bombardement provoque une fusion froide.
Le deuxième élément essentiel du Sportster est un ensemble de trois guides d’ondes orientables situés dans le compartiment inférieur du disque.
Chaque guide d’ondes comprend un empilement de six lentilles de focalisation électromagnétiques permettant de faire converger un front d’ondes à une distance quelconque du guide d’ondes.
Les ondes électromagnétiques générées par le guide d’ondes ne sont pas des ondes électromagnétiques classiques (EM), mais des ondes « scalaires ».
(Voir notre chapitre : L’Électromagnétisme scalaire).
Chaque guide d’ondes et chaque empilement de lentilles est orientable indépendamment ou en association, ce qui permet d’orienter le vaisseau à volonté.
La combinaison de ces deux facteurs (Élément 115 et guides d’ondes) permet à l’engin de produire son énergie et de se déplacer dans l’espace.
Pour résumer, le générateur du Sportster crée tout d’abord entre ses deux coques une « pellicule » uniforme d’ondes stationnaires qui annulent la masse et l’inertie de l’engin.
Les trois guides d’ondes créent ensuite un ou plusieurs axes de poussée, assurant la propulsion et l’orientation de l’engin.
Cependant, le système de propulsion du Sportster présente des inconvénients lorsqu’il est en mode « répulsif » et non en champ de torsion, à basse altitude.
Il ne peut alors fonctionner qu’à proximité de la Terre, reste relativement instable à basse vitesse et demeure extrêmement sensible aux conditions météorologiques.
C’est d’ailleurs pour contrer cette instabilité que le Sportster tourne sur lui-même à environs 3 tr/s, lorsqu’il vole à très basse vitesse.
Pour voler à vitesse superluminique, il fait converger ses trois guides d’ondes vers un point distant afin d’effectuer un bond instantané vers ce point, en créant un champ de torsion.
Il ne peut alors se déplacer que par petits bonds successifs afin de ne pas entrer en collision avec son environnement.
Au moment où il fait converger ses trois guides d’ondes en un seul point (comme trois spots de lumière convergeant vers un seul point) et passe en vitesse superluminique, il devient transparent et presque invisible à l’œil.
Le disque volant TR3-A Sportster a été utilisé en 1991, pendant la Guerre du Golfe « Desert Storm », dans le cadre d’une opération de destruction de chars irakiens…
Dans notre prochain chapitre, nous analyserons en détail l’OVNI le plus fantastique de l’armée américaine, la plateforme triangulaire ASTRA TR-3B.
C’est sans doute l’OVNI le plus mentionné dans les témoignages depuis la fin des années 1980.
À bientôt, pour découvrir cette véritable petite merveille technologique.
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