Durant plusieurs années, des rumeurs prétendaient que des militaires américains travaillaient à la création d’une plate-forme militaire à structure triangulaire défiant la gravité et dérivée de la Technologie Alien.
Aujourd’hui, ce véhicule aérospatial, non conventionnel, existe et est répertorié sous la désignation ASTRA TR-3B.
Le TR-3B fut construit avec de la technologie disponible dans les années 1980.
Cet aérospace de forme triangulaire, équipé d’un moteur nucléaire, fut développé en parallèle avec le programme Aurora.
Le programme Aurora était un programme « ultra secret » axé sur le développement de véhicules avancés, comme le SR-75, un avion hypersonique de reconnaissance qui a remplacé le SR-71, ou le SR-74 Scramp qui porte sur son dos le SR-75.
Le premier vol du TR-3B eut lieu au début des années 1990.
Il utilise un système de « réverseurs », développé à partir de la technologie extraterrestre et des programmes SR-74 et SR-75.
Le revêtement extérieur du TR-3B réagit à la stimulation électrique, peut changer de couleur, de réflexion et absorber les ondes radar, rendant l’écho de l’engin semblable à celui d’un petit avion.
Cependant, il peut aussi tromper un radar en laissant apparaitre simultanément plusieurs signatures électroniques de l’écho, à différents endroits.
La technologie des réverseurs MFD a été développée par Sandia aux laboratoires Lawrence du Livermore…
Le MFD génère, autour d’un objet, un vortex du champ magnétique disruptif ou qui neutralise les effets de la gravité sur environ 89% de sa masse.
Ensuite, l’antigravité fournit une force répulsive qui peut être utilisée pour la propulsion.
Le MFD crée une disruption du champ magnétique terrestre sur la masse dans un accélérateur de plasma circulaire, appelé « disrupteur de champ magnétique ».
La masse de l’accélérateur et celle comprise dans l’anneau de l’accélérateur, telle que la capsule de l’équipage et le réacteur nucléaire, sont ainsi réduites de 90%.
Ceci rend l’aérospace très léger et lui confère des performances et des possibilités de manœuvres exceptionnelles, proches de celles des véritables OVNI extraterrestres.
En outre, le TR-3B est une plate-forme triangulaire avec un temps de vol illimité.
Il utilise un réacteur nucléaire comme source de puissance et sa propulsion est fournie par trois propulseurs multimodes positionnés sur chacun de ses angles.
L’aérospace ne dépasse pas Mach 9 en vitesse de vol terrestre, mais sa vitesse réelle au-delà d’une altitude de 33 kms n’a jamais été communiquée.
Nous supposons qu’elle va bien au-delà de Mach 10.
Beaucoup d’observations d’OVNI triangulaires, signalées dans le monde ces 20 dernières années, sont dues au TR-3B.
La NSA, le NRO, la CIA et l’USAF ont souvent semé la confusion dans la nomenclature aérienne, en créant et en modifiant des appellations…
Ainsi, ils utilisent les désignations TR3, TR-3A, TR3B, TR-3B, Teir 2, 3, 4, avec des suffixes plus ou moins ajoutés pour dissimuler le fait que chacune de ces appellations correspond à un aérospace différent et non au même engin.
Ainsi, TR-3B est aussi différent d’un Teir 3B qu’une banane d’une grappe de raisin…
Intéressons-nous maintenant aux secrets du TR-3B Astra…
Les systèmes internes de l’Astra peuvent se découper en trois catégories bien distinctes :
- Sa source d’énergie qui est fournie par des réacteurs nucléaires.
- Son système de propulsion antigravitationnel qui annule la masse et l’inertie de l’appareil et assure sa propulsion verticale.
- Son système de propulsion électromagnétohydrodynamique (EMHD) qui assure sa propulsion horizontale ainsi que la génération de ses faisceaux plasma de combat.
Le TR-3B Astra a besoin pour fonctionner d’environ 600 mégawatts d’énergie électrique.
Chaque réacteur nucléaire ne pouvant produire que 220 mégawatts au maximum, l’Astra est équipé de trois réacteurs nucléaires placés l’un à la suite de l’autre, dans une enceinte en forme d’anneau torique.
Ainsi, la vapeur de sodium, issue d’un premier réacteur, pénètre dans le deuxième réacteur où elle est à nouveau chauffée et accélérée.
Ensuite, en restituant son énergie sous forme d’électricité dans le tunnel MHD du deuxième réacteur, la vapeur de sodium se refroidit et ralentit avant de pénétrer dans le troisième réacteur.
L’enceinte contenant les trois réacteurs étant en circuit fermé, ce processus se répète indéfiniment…
Le cœur du réacteur nucléaire comprend des barres fissiles creuses qui chauffent la vapeur de sodium qui les traverse.
Ces barres ne sont pas de simples tubes mais des enroulements complexes de feuilles métalliques recouvertes de billes d’uranium.
Ces enroulements augmentent la surface de contact entre la vapeur de sodium et l’uranium, ce qui optimise les transferts thermiques.
En introduisant ou en retirant un certain nombre de barres, il est possible de contrôler avec précision la température du réacteur.
Le Lawrence Livermore Laboratory, qui a conçu ces réacteurs, a dû résoudre d’énormes problèmes avant que ceux-ci ne fonctionnent…
La propulsion verticale de l’Astra est assurée par quatre propulseurs MFD à interrupteur de champ magnétique, consommant environ 600 mégawatts chacun.
Chaque propulseur MFD est fait de bobinages supraconducteurs à haute température en yttrium-baryum-oxyde de cuivre (YBCO).
En fonctionnement, ces propulseurs antigravitationnels génèrent des phénomènes complexes d’ionisation de l’air et d’ondes stationnaires.
Ces phénomènes expliquent les lumières étranges, de couleurs pouvant varier du rouge au blanc, ainsi que les effets occasionnels de « lumières tronquées » provoqués par le « piégeage » d’air ionisé dans des faisceaux d’ondes stationnaires.
Le champ antigravitationnel généré par l’interrupteur de champ magnétique ne s’étend que sur quelques mètres autour du système.
Les zones du fuselage de l’Astra les plus éloignées des propulseurs antigravitationnels conservent donc 11% de leur masse et de leur inertie.
L’équipage, placé à la verticale du propulseur central, est quant à lui toujours en apesanteur et voit donc sa masse et son inertie totalement annulées.
Les trois propulseurs EMHD de l’Astra, formant les côtés du fuselage triangulaire, se composent de deux éléments bien distincts :
- Le premier est une cavité résonnante de forme approximativement cylindrique.
- Le deuxième est un laser de puissance ultraviolet.
Dans cette cavité, l’air est ionisé positivement (charge électrique positive) par un faisceau de micro-ondes stationnaires et à polarisation circulaire.
Ces ondes sont émises à une extrémité du « cylindre » de la cavité et se réfléchissent sur un miroir à l’autre extrémité.
Une succession de réflecteurs formant la paroi externe de la cavité et entrecoupés de « fenêtres », amplifie les régimes d’oscillation de ce système d’ondes stationnaires.
Cette cavité crée donc une ligne de charge électrique positive à très haute énergie.
À mi-longueur de la cavité, un laser de puissance (sans doute à l’azote ou à électrons libres ?) émet un faisceau de lumière ultraviolette perpendiculaire à la cavité.
Ce faisceau laser est focalisé par une optique adaptative de 80 cm de diamètre à une distance quelconque de la cavité résonnante.
Le rayonnement ultraviolet du laser crée littéralement un tunnel conique et conducteur d’électricité dans l’air. Il forme ainsi un guide d’ondes et une électrode virtuelle de charge électrique négative.
En envoyant un courant électrique à très haute tension et à haute fréquence dans ce tunnel, il est possible de concentrer une énorme charge électrique au « point focal » du faisceau laser.
Il se forme alors à ce point une boule de plasma de charge électrique négative.
L’énorme différence de potentiel existant entre la « ligne » de charge électrique positive de la cavité résonnante et le « point » de charge électrique négative de la boule de plasma, crée une accélération électrocinétique de l’air entre le fuselage et la boule de plasma.
L’air, ionisé et accéléré, s’écoule suivant un cône aplati et convergent sur la boule de plasma.
En déplaçant le faisceau laser, donc la boule de plasma formée à son point de focalisation, on oriente la direction de la propulsion électrocinétique.
Lorsque la cavité résonnante n’est pas activée (par exemple en vol stationnaire), le laser ultraviolet peut être utilisé seul et focaliser son faisceau sur une cible.
Le laser étant focalisé sur sa cible, il suffit d’envoyer toute l’énergie électrique disponible dans le tunnel conducteur créé dans l’air pour matérialiser un plasma à très haute énergie sur la surface de la cible.
C’est là le secret de l’arme plasma de l’Astra. Cette arme à faisceaux plasma est efficace jusqu’à 12 kms de distance, au-delà, l’atmosphère risque de disperser le faisceau.
L’Astra dispose de trois canons plasma, un par côté de son fuselage triangulaire.
Quoique la lumière du laser ultraviolet ne soit pas visible, dans certaines conditions l’air ionisé entourant le faisceau laser émet de la lumière rouge et infrarouge.
C’est pourquoi certains témoins ont vu ce faisceau laser émettant une lumière transversale rouge.
Quelles sont les caractéristiques et performances du TR-3B Astra ?
Les trois côtés du fuselage triangulaire de l’Astra ont une longueur de 34 m et l’épaisseur maximale de son fuselage est de 6 mètres (train d’atterrissage rentré).
Un poste de pilotage cylindrique de 8 mètres de diamètre dépasse légèrement du sommet du fuselage.
Nous estimons le poids de l’Astra à environ 150 tonnes.
La structure et le fuselage de l’Astra sont constitués principalement de titane, mais quelques éléments sont aussi en composite de carbure de silicium.
La vitesse maximale de l’Astra varie selon le mode de propulsion et selon qu’il vole dans l’atmosphère ou dans le vide spatial.
En propulsion horizontale EMHD dans la basse atmosphère, l’Astra ne peut dépasser 9 000 km/h (Mach 7,5).
Toutefois, sa vitesse horizontale augmente avec l’altitude et dans ce cas peut raisonnablement être estimée à 18 000 km/h.
En propulsion verticale, c’est-à-dire en n’utilisant que ses propulseurs antigravitationnels, l’Astra peut atteindre des vitesses de 20 000 km/h dans la basse atmosphère et de 100 000 km/h dans le vide…
Pour accélérer horizontalement à de telles vitesses, l’Astra varie la poussée des moteurs MFD placées aux trois extrémités de son fuselage, ce qui lui permet de s’incliner comme le ferait un hélicoptère.
Il peut même, moyennant un petit complément de poussée EMHD, rester immobile à une inclinaison quelconque en vol stationnaire.
Le seul véritable point faible de l’Astra est qu’il ne peut s’éloigner à plus de quelques dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, ce qui lui interdit tout voyage interplanétaire.
Cette limite vient du fait que ses moteurs antigravitationnels fonctionnent par répulsion d’une masse locale, en l’occurrence la Terre, ce qui fait que sa poussée antigravitationnelle diminue rapidement en s’éloignant de celle-ci.
Il ne peut pas non plus mettre en orbite des satellites, car la puissance de ses générateurs nucléaires suffit tout juste à le faire fonctionner et ne permettrait pas d’embarquer un poids supplémentaire important.
Toutefois, l’Astra peut aisément se mettre en orbite ou voyager dans le proche espace autour de la Terre.
Pour ses missions militaires, le TR-3B comprend un équipage minimum de quatre hommes, qui se compose d’un pilote, d’un ingénieur chargé des systèmes de combat et des contre-mesures, d’un ingénieur chargé des propulseurs et d’un ingénieur chargé des réacteurs nucléaires.
Nous ignorons encore combien de passagers peuvent prendre place dans le poste de pilotage, mais vu le diamètre de celui-ci on peut supposer qu’il peut accueillir pas mal de monde…
Le pilote de l’Astra n’a aucune visibilité extérieure, c’est pourquoi les pilotes sont équipés d’un casque virtuel affichant une image à 360° du paysage extérieur.
Cette image panoramique est captée par un ensemble de caméras capables de voir l’ensemble du spectre lumineux depuis l’infrarouge jusqu’à l’ultraviolet.
C’était aussi le cas dans le dernier chapitre concernant l’OVNI TR3-A Sportster.
De plus, l’étrange nez biseauté et asymétrique de l’Astra contient un radar multimode à balayage latéral, capable de restituer une image de qualité photographique de l’environnement.
Ce radar sert aussi de système de reconnaissance stratégique.
L’OVNI TR-3B Astra est à la fois un véhicule de reconnaissance stratégique et un véhicule de combat militaire.
L’Astra est l’un des plus fantastiques aérospaces jamais construit par l’homme depuis ces 20 dernières années…
Espérons qu’un jour, nous puissions tous accéder à une partie de son énergie, développée dans le plus grand secret et qui pourrait remplacer rapidement les énergies fossiles.
Mais que deviendra-t-il alors du lobbying de l’énergie et des gains colossaux qu’il rapporte ? Pensez-y…
Le monde vit à 2 vitesses…
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