À partir de 2001, après l’échec du sommet de Taba et le déclenchement de la Seconde Intifada en Palestine, il n’était plus envisagé de poursuivre les accords de paix d’Oslo ni d’étendre le conflit entre juifs et arabes à un niveau mondial…
On préféra plutôt transformer le Proche et le Moyen Orient en un laboratoire d’expérimentations, plus ou moins heureuses selon les circonstances, mais très riches d’enseignement pour la suite du projet des illuminés…
En 1979, la révolution iranienne chassa le Shah que tous haïssaient et qui avait accédé au pouvoir en 1953 grâce à la CIA.
Comme c’était alors la règle, la plupart des employés des ambassades américaines étaient des membres de la CIA. Aussi, le 4 novembre 1979, des rebelles iraniens se vengèrent des États-Unis en prenant en otage les membres de l’ambassade américaine à Téhéran.
La crise de 444 jours qui s’ensuivit marqua alors le début de la République islamique d’Iran et ses relations conflictuelles avec l’Amérique…
Mohammad Reza Pahlavi (1919 - 1980), Shah d’Iran
Aussitôt après la prise d’otages, la CIA se vengea en faisant comprendre au dirigeant de l’Irak, Saddam Hussein, que c’était une période propice pour envahir l’Iran, potentiellement affaiblie durant cette période de crise.
L’invasion dirigée par Saddam Hussein fut couronnée de succès et par la suite, les preneurs d’otages iraniens firent savoir au président américain Jimmy Carter qu’ils libèreraient les otages en échange d’armes.
La majorité des armes que les iraniens possédaient pendant le régime du Shah venait des États-Unis. Aussi les iraniens étaient obligés de recevoir les munitions et les pièces de rechange des mains mêmes de l’Oncle Sam !
James Earl Carter dit Jimmy Carter, 39e Président des États-Unis de 1977 à 1981
Saddam Hussein (1937-2006), 5e Président de l’Irak de 1979 à 2003
Cependant et contrairement à leurs souhaits, Carter refusa l’échange et ordonna à la CIA d’élaborer une mission secrète pour libérer les otages : l’opération Desert One.
Malheureusement, la CIA n’aimait pas particulièrement Carter qui avait réduit rigoureusement son budget et avait déjà opté pour sa chute lors des prochaines élections présidentielles face à Ronald Reagan.
La CIA sabota alors délibérément l’opération Desert One afin de faire perdre la face à Jimmy Carter vis-à-vis de l’opinion publique américaine !
Au même moment, William Casey, ex-directeur de la CIA entre 1981 et 1987 et président du comité électoral de Reagan, avait pris contact avec le chef révolutionnaire d’Iran, l’Ayatollah Khomeyni.
Il lui dit que Reagan allait gagner les prochaines élections présidentielles américaines et qu’ils avaient tout intérêt à collaborer ensemble.
William Casey avait une très bonne réputation : il avait permis à l’URSS de bâtir la plus grande entreprise mondiale de fabrication de camions (Kama-Fluss) et était directeur de la banque Export-Import, aussi Khomeyni décida de lui faire confiance !
William J. Casey (1913 - 1987)
Ruhollah Khomeyni (1902 - 1989)
Ainsi, durant la 3e semaine d’octobre 1980, George H. W. Bush (père), futur vice-président américain sous Reagan et membre de Skull & Bones, ainsi que Richard Allen (représentant de Casey), rencontrèrent des extrémistes iraniens du Hezbollah à Paris à l’hôtel Raphaël.
Le deal était le suivant : les États-Unis fourniraient des armes à l’Iran via Israël et les iraniens relâcheraient les otages lorsque Reagan serait élu président.
Le sabotage programmé de l’opération Desert One fut donc un immense succès pour la CIA et Reagan devint le 40e Président des États-Unis de 1981 à 1989.
Ronald Reagan (1911 - 2004)
Comme convenu, la première livraison d’armes à l’Iran eut lieu via Israël…
Du 24 au 27 juillet 1981, le grand trafiquant d’armes israélien Yaacov Nimrodi signa alors un contrat de 135 millions de dollars avec l’Iran, garantissant la livraison de 50 missiles « Land », 50 missiles mobiles et 68 missiles Hawk anti-aérien.
En parallèle, la CIA organisa un second trafic d’armes avec l’Iran. Le Suisse Andras Jenny et l’Écossais Stuart Alan McCafferty envoyèrent 360 tonnes de pièces de char M-48 en Iran par fret aérien. Le CI-44, qu’ils avaient loué pour l’opération, appartenait à une compagnie de transport aérien argentine : Transportes Aereos Rioplatense.
Yaacov Nimrodi, ex-officier de renseignement du Mossad et ex-propriétaire du journal Maariv
L’opération coûta 27 millions de dollars et les deux premiers vols à destination de l’Iran en décollant d’Israël furent une réussite.
Cependant, au retour du troisième vol le 28 juillet 1983, le CI-44 fut abattu au-dessus de l’Arménie soviétique par un MIG-25 russe et cela mit fin au projet !
Jouant sur tous les tableaux en même temps, la CIA fit alors parvenir aux services secrets irakiens, au début des années 80, des renseignements erronés qui suggéraient une victoire rapide contre l’Iran, dans l’éventualité d’une guerre avec ce pays.
Saddam Hussein ne vit rien venir et la longue guerre contre l’Iran allait affaiblir un peu plus l’économie irakienne : 65 millions de dollars de dettes rien qu’en 1989.
Ceux qui contrôlaient la CIA n’avaient alors qu’un but : permettre aux grands trafiquants d’armes internationaux de faire d’énormes bénéfices !
Il est à noter que la France prit part activement à ces marchés et fut même l’un des principaux fournisseurs d’armes dans le monde après l’URSS !
Le temps était venu de faire les premiers essais de la dernière phase du plan d’Albert Pike pour amener le monde à faire la 3e Guerre Mondiale.
Mais pour cela, il fallait susciter un véritable foyer de crise au Moyen-Orient !
C’était astucieusement pensé car d’après l’Apocalypse de saint Jean, la dernière bataille devait débuter au Proche-Orient.
Ainsi, les croyants mal informés de la géopolitique et ceux qui étaient toujours fidèles à la Bible dans le monde auraient eu toutes les raisons de penser que le jour du Jugement dernier était proche !
Il fut alors tendu un nouveau piège à Saddam Hussein !
Il devait devenir aux yeux du monde la bête noire qui fournirait à l’Angleterre et aux États-Unis le prétexte d’une intervention militaire au Koweït pour sécuriser et assurer l’approvisionnement du monde en pétrole !
Saddam Hussein (1937 - 2006)
En juin 1989, une délégation composée d’Alan Stoga (Kissinger Associates), de membres des comités de direction de Bankers Trust, Mobil ou Occidental Petroleum, se rendit à Bagdad sur l’invitation de Saddam Hussein.
Mais cette délégation rejeta le projet du barrage Badush qui aurait rendu l’Irak indépendant de l’importation de denrées alimentaires en moins de cinq ans et insista pour qu’Hussein règle d’abord les dettes de son État et privatise au moins en partie son industrie pétrolière.
Bien évidemment, Saddam Hussein refusa !
Fin 1989, les 2,3 milliards de dollars que le vice-président américain George H. W. Bush (père) avait déjà consentis à l’Irak furent bloqués à la banque BNL (Banca Nationale del Lavoro).
Au début de l’année 1990, il ne fut donc plus possible à l’Irak d’obtenir un quelconque crédit auprès des banques occidentales !
C’est alors qu’entra en jeu le Cheikh al-Sabah, émir du Koweït et ami de la famille royale britannique…
Celui-ci avait fait passer de l’argent en Irak sur l’ordre de Londres et Washington pour encourager l’Irak à poursuivre sa longue guerre avec l’Iran. Elle enrichissait les trafiquants d’armes internationaux et apportait par la même occasion des avantages politiques à Israël !
Cheikh Jaber III Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah à l’ONU (1926 - 2006)
Début 1990, le Koweït reçut l’ordre d’inonder le marché avec du pétrole à bas prix et cela à l’encontre de tous les accords signés avec l’OPEP.
Les autres pays de l’OPEP dont l’Irak déployèrent alors des efforts diplomatiques pour que le Koweït renonce à sa politique destructrice.
Mais ce fut en vain et en juillet 1990, les disputes entre le Koweït et l’Irak atteignaient leur paroxysme !
Auparavant, lors de la rencontre des Bilderberger qui s’était déroulée du 6 au 9 juin 1990, il fut décidé qu’April Glaspie, l’ambassadrice américaine à Bagdad prendrait contact avec Saddam Hussein le 27 juillet suivant pour l’informer que les États-Unis ne prendraient pas position dans la querelle entre l’Irak et le Koweït.
Hussein, entièrement manipulé, prit alors cela comme un feu vert et le 2 août 1990, les troupes irakiennes entrèrent au Koweït. Il venait de tomber dans le piège !
Le 11 septembre 1990, George H. W. Bush annonça officiellement la mise en place du Nouvel Ordre Mondial puis le 15 janvier 1991, les troupes américaines furent envoyées au Koweït pour protéger les puits de pétrole contre l’armée irakienne.
Ce fut le début de la seconde Guerre du Golfe !
La guerre du Golfe se place dans une série de conflits ayant touché la région du golfe Persique à partir des années 1980 : la première guerre du Golfe désigne généralement la guerre Iran-Irak de 1980-1988 et la troisième guerre se réfère à la guerre d’Irak menée à partir de 2003 par les États-Unis, le Royaume-Uni et d’autres pays coalisés contre l’Irak.
Lors de la guerre du Golfe de 1990-1991, la coalition internationale utilisa sa suprématie aérienne pour détruire le complexe militaro-industriel de l’Irak.
Ensuite, une attaque terrestre limitée lancée à partir de l’Arabie Saoudite pulvérisa les forces armées irakiennes.
La guerre du Golfe août 1990 - février 1991
Le dirigeant irakien devait passer aux yeux du monde pour un fou dangereux, complètement instable et qui détenait des armes de destruction massive !
Par cette énorme manipulation, les pays occidentaux furent persuadés qu’ils venaient d’échapper à une grande menace énergétique en Asie !
Cependant, l’embrasement du Moyen Orient qui était censé déclencher la 3e Guerre Mondiale n’eut pas véritablement lieu et le plan des illuminés échoua…
Après l’invasion de l’Irak, Saddam Hussein fut capturé, jugé et pendu à Bagdad le 30 décembre 2006.
La première tentative de déclencher la 3e Guerre Mondiale ayant échoué, 11 ans jour pour jour après la proclamation officielle du Nouvel Ordre Mondial (le 11 septembre 1990), le monde et les new-yorkais assistèrent, impuissants, aux tragiques attentats du 11 septembre 2001…
Afin de jauger la réaction mondiale face à une éventuelle menace terroriste de grande ampleur, une nouvelle bête noire, ex-agent de la CIA, devait alors servir de vecteur pour propager la peur de l’islamisme radical dans le monde et inciter les pays de l’ONU à lui déclarer la guerre !
Mais pour cela, il fallait des évènements catalyseurs suffisamment catastrophiques et à très fort impact comme la destruction de symboles américains pour tenter d’entrainer le monde dans la guerre !
World Trade Center, 11 septembre 2001
Pentagone
George W. Bush et Donald Rumsfeld
Aussi, après les attentats du 11 septembre 2001, une coalition militaire mondiale créée et dirigée par les États-Unis, sous la présidence de George W. Bush (fils), 43e Président des États-Unis de 2001 à 2009, lutta contre les intégristes islamiques et traqua le guide déclaré d’Al-Qaïda, Oussama Ben Laden, pendant dix longues années…
Oussama Ben Laden (1957 - 2011)
Oussama Ben Laden revendiqua officiellement la responsabilité et l’idée des attentats du 11 septembre 2001 commis aux États-Unis.
Le FBI l’avait placé à partir de juin 1999 sur sa liste des dix criminels les plus recherchés à la suite des attentats des ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie et offrait 25 millions de dollars américains pour tout renseignement permettant sa capture, somme portée par le Sénat à 50 millions en 2007.
L’ONU avait aussi établi une liste, diffusée par Interpol dès 2006, recensant les organisations et les personnes proches d’Al-Qaïda, d’Oussama Ben Laden et des Talibans…
En 2011, Ben Laden sera finalement localisé à Abbottābād au Pakistan et officiellement liquidé le 2 mai de la même année lors d’un raid éclair ordonné par Barack Obama, 44e Président des États-Unis de 2009 à 2017.
Curieusement, la dépouille mortelle d’Oussama Ben Laden, ne sera jamais montrée publiquement et seul un photomontage, entièrement truqué, sera présenté dans les médias !
Barack Obama
Photomontage de Ben Laden
Malgré tous les efforts mis en œuvre, la peur du terrorisme islamiste et ses conséquences dans le monde, le nombre important de victimes lors des attentats du 11 septembre, les dommages collatéraux et les nombreuses pertes humaines, civiles et militaires sur tous les fronts de combat en Asie Centrale, la seconde tentative d’entrainer le monde dans une 3e guerre mondiale venait encore d’échouer !
Pire encore, au fil des 10 premières années d’occupation de l’Afghanistan, la plupart des pays engagés aux côtés des américains se retirèrent progressivement ou n’assuraient plus qu’une présence symbolique !
Pour les illuminés, il devenait impératif de changer de stratégie !
Pour garder la mainmise sur le monde et à défaut d’avoir pu déclencher la 3e Guerre Mondiale, il fallait sur endetter si fortement les pays de l’ONU qu’ils seraient à tout jamais redevables et entièrement soumis aux marchés de la finance et dans un second temps faire imploser le monde arabe de l’intérieur !
Commençons par la seconde phase de ce nouveau plan, revu et corrigé :
Dès décembre 2010, le monde arabe se vit confronté à tout un ensemble de contestations populaires de grande ampleur qui prit le nom de Printemps Arabe, en référence au Printemps des Peuples de 1848.
Ces évènements commencèrent par la Révolution tunisienne du 17 décembre 2010, dans la ville de Sidi Bouzid qui conduisit Zine el-Abidine Ben Ali (1936 – 2019) à quitter le pouvoir et à s’enfuir en Arabie Saoudite.
Zine el-Abidine Ben Ali, Président de la Tunisie de 1987 à 2011
La révolution égyptienne éclata ensuite le 25 janvier 2011 et aboutit à la démission du président Hosni Moubarak, alors au pouvoir depuis le 14 octobre 1981…
Hosni Moubarak (1928 - 2020)
Place Tahrir en 2011, Le Caire
En août 2011, la prise de Tripoli par des rebelles libyens après de nombreux mois de lutte, provoqua la fuite de Mouammar Kadhafi.
Il sera finalement capturé, lynché et tué le 20 octobre de la même année dans les environs de Syrte.
De plus, sa mort arrangeait pas mal de monde et notamment en Europe…
Mouammar Kadhafi (1942 - 2011)
La révolution yéménite débuta le 29 décembre 2011 et aboutit, début 2012, au départ du président Ali Abdallah Saleh, alors au pouvoir depuis plus de trente ans.
Ali Abdallah Saleh (1942 - 2017)
Les mouvements de contestation en Syrie commencèrent le 4 février 2011 et entrainèrent tout le pays dans une guerre civile, la Russie et la Chine s’opposant systématiquement à toute action internationale contre le régime de Bachar el Assad !
Bachar el Assad
Par contagion, les mouvements de contestation se manifestèrent en Algérie, en Jordanie, au Maroc, en Palestine, en Irak et provoquèrent le soulèvement bahreïni.
En Mauritanie, la répression de manifestations contre le manque d’eau et la hausse des prix à Vassala fit plusieurs blessés.
Dans le sultanat d’Oman, suite aux manifestations et aux bavures de la police, le responsable de la sécurité intérieure, Ali ben Majid al-Maamari, partisan d’un rapprochement avec l’Iran, fut démis de ses fonctions !
En Arabie saoudite, des intellectuels lancèrent un appel sur Internet en faveur d’une monarchie constitutionnelle.
Au Liban, une manifestation de quelques centaines de militants eut lieu le 27 février 2011.
Au Koweït, la contestation, d’abord achetée par l’émir grâce aux excédents pétroliers, enfla progressivement et déboucha sur une crise parlementaire, gouvernementale et électorale qui atteint son paroxysme fin 2012.
Enfin, au Qatar et aux Émirats, la contestation fut plus intellectuelle et se manifesta surtout par une répression judiciaire !
Le monde arabe venait de voir souffler un vent de révolution qui fit officiellement tomber plusieurs dictatures au profit d’une liberté illusoire !
Cependant, en ayant joué aux apprenti-sorciers depuis la fin des années 40 au Moyen-Orient et dans le Monde Arabe, ceux qui furent à l’origine de la création d’Israël avaient aussi engendré un monstre à mille pattes qui, au fil des décennies, apparut sous la forme d’une multitude de réseaux et de cellules terroristes, plus ou moins organisées et indépendantes !
Une erreur de calcul et des effets secondaires à long terme, qui n’avaient pas été véritablement prévus lors de la création d’Israël mais qui, nous pouvons l’affirmer, n’entachera en rien la détermination de ceux qui prônent la 3e Guerre Mondiale à poursuivre leurs objectifs !
Mais dans quel but ?
S’enrichir encore davantage alors qu’ils ont déjà des moyens financiers illimités ?
Ou s’agit-il de quelque chose d’autre, de beaucoup plus global ?!
Contrôler et réguler le taux de croissance de la population mondiale est une idée qui a toujours suscité un très grand intérêt chez les illuminés, mais cette idée n’est pas nouvelle puisqu’elle fut abordée à la Maison Blanche en 1972 sous la présidence de Richard Nixon.
Le plan initial mis en œuvre à cette époque prévoyait de réduire la population mondiale à 1 milliard jusqu’en l’an 2000.
Bien sûr, cet objectif ne fut jamais atteint !
Richard Nixon (1913 - 1994)
La population mondiale désigne le nombre d’êtres humains vivant sur Terre à un instant donné.
En 2014, elle est estimée par les Nations Unies à 7,2 milliards alors qu’elle en comptait 7 milliards au 31 octobre 2011.
Elle était estimée à :
6,1 milliards en 2000,
4,4 milliards en 1980,
3,7 milliards en 1970,
1,55 à 1,76 milliards en 1900,
600 à 679 millions en 1700,
420 à 550 millions en 1500.
Bien que la population mondiale eut un important taux d’accroissement au cours du dernier siècle (entre 1900 et l’an 2000), force est de constater aujourd’hui qu’elle tend à ralentir avec une baisse mondiale plus ou moins importante du taux de fécondité.
Des estimations récentes de l’ONU montrent même qu’elle semble déjà diminuer en Europe !
Croissance population mondiale
Comme nous l’avions vu plus haut, la population mondiale était estimée à 4,4 milliards en 1980, or curieusement la même année, de mystérieux objectifs gravés dans la Pierre furent exposés aux yeux du monde !
En effet, le 22 mars 1980, un monument emblématique en granite appelé Georgia Guidestones fut érigé en Georgie (USA) près d’Elberton sur l’Autoroute 77.
Il fut construit par Elberton Granite Finishing Company sur commande d’un mystérieux anonyme qui disait représenter un consortium d’hommes d’affaires désireux de transmettre à l’humanité un message et une nouvelle direction…
Georgia Guidestones
Ce monument est composé de 6 blocs de granit d’environ 6 mètres de haut et pesant approximativement 110 tonnes et affiche un message en huit langues : anglais, russe, hébreu, arabe, hindi, chinois (mandarin), espagnol (castillan) et swahili.
Ce message est le suivant :
1 – Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 individus, en perpétuel équilibre avec la nature.
(Soit revenir symboliquement à ½ milliard d’individus, une population mondiale équivalente à celle du XVIIe siècle où les Rose-Croix déclenchèrent une guerre civile entre catholiques et protestants qui pesa très lourdement sur la démographie européenne !)
2 – Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
3 – Unir l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.
4 – Traiter de la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses avec modération.
5 – Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
6 – Laisser toutes les nations gérer leurs problèmes internes et régler les problèmes extranationaux devant un tribunal mondial.
7 – Éviter les lois et les fonctionnaires inutiles.
8 – Équilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux.
9 – Faire primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.
10 – Ne pas être un cancer sur la Terre, laisser une place à la nature.
Ce message semble donc s’orienter dans 4 directions :
- Réduire la population mondiale,
- Établir un nouveau Gouvernement Mondial,
- Établir un nouveau Code de l’éthique,
- Établir une nouvelle Spiritualité.
Les deux continents les plus peuplés aujourd’hui sont l’Asie et l’Afrique, là même où se déroulèrent les conflits les plus meurtriers depuis la seconde moitié du XXe siècle !!!
Est-ce une coïncidence ?
Officiellement, le Club de Rome est un groupe de réflexion réunissant des scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux et internationaux ainsi que des industriels de 53 pays, préoccupés par les problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu’en cours de développement.
Club de Rome
Le Club de Rome se fit connaître mondialement en 1972 par son premier rapport, The Limits to Growth (ou Les limites à la croissance).
Son interpellation intervint à l’apogée de la période dite des Trente Glorieuses, une période de croissance sans précédent dans les pays qui se qualifiaient eux-mêmes de développés et qui laissaient penser que cette croissance était sans limite imaginable !
Il est intéressant de noter que le concept de croissance zéro que ce rapport ne préconisait pas d’ailleurs, deviendra néanmoins une des idées fondatrices de l’écologie politique, faisant officiellement du Club de Rome, un précurseur sur les notions de développement durable et d’empreinte écologique…
Cependant, si au XXIe siècle, une part de la population terrienne s’accorde à prendre en compte les problématiques environnementales, d’autres n’acceptent pas ces analyses et les remettent souvent en question.
Pour eux, le Club de Rome semble promouvoir ce qu’ils pensent être seulement du catastrophisme !
Alors tentons d’y voir un peu plus clair…
Officiellement, le Club de Rome doit son nom au lieu de sa première réunion à Rome, à l’Académie des Lyncéens le 8 avril 1968.
Historiquement, il fut piloté à sa création par Aurelio Peccei, un italien membre du conseil d’administration de Fiat et Alexander King, un scientifique et fonctionnaire écossais, ancien directeur scientifique de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Cependant, en dehors de ce que l’on peut lire aujourd’hui sur Wikipédia, il faut savoir que le Club de Rome fut créé à l’origine par le clan Rockefeller dans leur propriété privée italienne, à Bellago.
Ce clan a toujours la charge, aujourd’hui, d’en assurer entièrement le financement.
L’objectif du Club de Rome est d’asseoir la crédibilité du nouveau gouvernement mondial en s’appuyant principalement sur les études de l’establishment international. Mais en réalité, le Club de Rome n’a rien d’altruiste, ce serait même plutôt l’inverse !
En effet, depuis sa création, il n’a jamais eu véritablement d’autres objectifs que d’élaborer, dans le plus grand secret, une religion mondiale unique, de faire croire dans les médias et sous couvert de l’ONU, à une crise de l’énergie, au réchauffement et au surpeuplement de la planète !
Pire encore, d’après certaines notes internes du CFR, il aurait participé directement au développement du virus du SIDA (VIH) et serait à l’origine de sa large diffusion dans le cadre du lancement d’un grand programme d’assainissement des races !
Le SIDA aurait été initialement propagé en 1972 par le biais d’inoculations contaminées, lors d’une grande campagne de vaccination contre la variole réalisée en Afrique noire par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et à son insu !
Cette campagne mondiale débuta dès 1958 et en 1967, l’OMS estimait encore entre 10 et 15 millions le nombre d’infections à la surface du globe dues à la variole.
Enfin, en 1979, l’OMS déclara officiellement que la variole était éradiquée dans le monde entier !
Aux États-Unis, la loi exige des laboratoires de type P-4, du plus haut degré de sûreté et de sécurité. Officiellement, le premier laboratoire de ce type aux USA fut érigé en octobre 1977, à Fort Detrick dans l’immeuble 550, le même immeuble dans lequel on mettait en quarantaine les premiers astronautes qui revenaient de l’espace !
Fort Detrick était à l’origine une base du programme de missiles biologiques américains. Cependant, de nos jours, c’est devenu un centre de recherche biomédicale militaire.
Étrangement au printemps 1979, 18 mois après que l’immeuble 550 fut transformé en centre de recherche génétique, les premiers cas de SIDA furent découverts à New York…
Sachant que la période d’incubation du SIDA en cas d’infection par voie sexuelle est d’environ deux ans voire plus, et qu’en cas d’infection par transfusion sanguine, la période d’incubation s’abaisse jusqu’à un an, le délai écoulé entre l’ouverture du laboratoire à Fort Detrick et l’apparition des premiers malades du SIDA à New York aurait pu correspondre à un protocole qui aurait mal tourné :
6 mois de travaux préparatoires en laboratoire + 1 an d’incubation dans la population civile à la suite d’un quelconque incident !
Cependant, d’après nos sources, il n’y a pas eu d’incident dans ce laboratoire à cette époque…
Alors que s’est-il réellement passé ?
Un document officiel des archives de la Librairie du Sénat des États-Unis, attestait que le virus du SIDA fut bel et bien créé artificiellement par le Département de la Défense des États-Unis !
(Voir le document suivant)
Traduction du passage entre parenthèses :
Le programme Feasibility a été développé en 1974-1975 et le virus entre 1974 et 1979.
L’AIDS-laced smallpox vaccine (vaccin contre la variole contaminé par le SIDA) a commencé à être injecté chez plus de 100 millions d’africains en 1977.
Il a été injecté à plus de 2000 homosexuels de race blanche (Operation Trojan Horse) avec un vaccin contre l’hépatite A « modifié » en 1978, au Centre de Contrôle des Maladies Infectieuses et au centre de collecte de sang à New York.
Le développement du virus avait apparemment deux objectifs :
1 – Arme politique/ethnique à utiliser contre les gens de couleur
2 – Programme de réduction de la population
Le 29 juillet 1969, quelques jours après que le Département de la Défense ait demandé au Congrès 10 millions de dollars de financement pour la recherche « d’un agent pathogène biologique synthétique, une substance qui n’existe pas dans la nature et contre laquelle il n’est pas possible de développer une immunité naturelle », le Président de la Task Force républicaine sur Earth Resources and Population (Population et Ressources Terrestres), autrement dit George H.W. Bush (Père), souligna le besoin urgent d’actions destinées au contrôle de la population pour faire face à la crise croissante dans le Tiers-Monde !
Aussi en 1972, sous les auspices de l’Organisation Mondiale de la Santé, un programme de vaccination de masse des populations africaines contre la variole fut porté en avant !
En 1977, ce vaccin fut infecté avec le virus du SIDA puis administré à des millions de Noirs africains dont le nombre croissait rapidement, un problème qui, comme nous venons de le voir précédemment, préoccupait déjà George H.W. Bush ainsi que les autres membres de l’Establishment, le clan Rockefeller, le Club de Rome et les membres du groupe Bilderberg depuis 1969 !
Enfin, en 1978, le virus du SIDA fut intentionnellement ajouté à un vaccin modifié contre l’hépatite-A et l’hépatite-B au Centre de Contrôle des Maladies Infectieuses et au centre de collecte de sang de New York !
C’est la raison pour laquelle le SIDA se déclara en premier aux États-Unis en 1979, dans la communauté homosexuelle New-Yorkaise et fut ironiquement appelée ensuite dans le monde entier, la maladie des gais !
Aujourd’hui, le document présenté plus haut, ainsi que l’étude sur le vaccin de l’hépatite-A modifié sont sous clé et gardés par le Département de la Justice à Washington qui en interdit l’accès…
En 1997, la population mondiale comptait près de 31 millions de personnes séropositives ou atteintes du sida, dont près de 6 millions infectés au cours de cette même année.
En l’an 2000, on estimait les porteurs du VIH à plus de 40 millions.
Entre 2005 et 2012, la mortalité des adolescents causée par le VIH a augmenté de 50% (71 000 décès en 2005 à 110 000 décès en 2012).
En 2013, le nombre d’adolescents porteurs du VIH dans le monde fut estimé par l’OMS à 2,1 millions de jeunes âgés de 10 à 19 ans, soit une augmentation de 33% entre 2001 et 2013 !
Aujourd’hui, on estime que 20 à 30% des nourrissons nés de mères porteuses en Europe, sont infectés par le VIH.
Enfin, selon d’autres estimations, beaucoup moins « officielles », plus de 70% des nouveau-nés africains seraient porteurs aujourd’hui de ce virus et plus de 50% en Inde.
Comme nous l’avions vu plus haut, après leur dernière tentative ratée d’entrainer le monde dans la troisième guerre mondiale à la suite des attentats du 11 septembre 2001, les illuminés élaborèrent une nouvelle stratégie.
La seconde partie de cette stratégie consistait à faire imploser le monde arabe de l’intérieur. Nous avions laissé en suspens la première partie de ce plan, il est temps maintenant de l’aborder…
Comme au cours des deux premières guerres mondiales, la première partie de cette stratégie consistait à endetter si fortement les pays de l’ONU qu’ils seraient alors à jamais redevables et entièrement soumis aux griffes de la finance internationale !
Par la même occasion, ces états renonceraient au plus haut niveau, comme l’Amérique, à leur propre politique au détriment de celle imposée par les marchés de la finance !
Aussi en 2007, la crise des subprimes touchant le secteur des prêts hypothécaires à risque aux États-Unis, déclencha à l’automne 2008 un krach boursier de très grande ampleur, la faillite de nombreux états dont la Grèce et une récession galopante qui toucha l’ensemble de la planète !
Le Fonds Monétaire International joua alors pleinement son rôle…
Le FMI, créé en 1944, devait à l’origine garantir la stabilité du système monétaire international dont l’écroulement après le krach de 1929 avait eu des effets catastrophiques sur l’économie mondiale.
FMI
Officiellement, le FMI est une institution internationale regroupant 188 pays, dont le rôle est de promouvoir la coopération monétaire internationale, de garantir la stabilité du système monétaire international (SMI), de faciliter les échanges internationaux, de contribuer à un niveau élevé d’emploi, à la stabilité économique et de faire reculer la pauvreté.
Après 1976 et la disparition d’un système de change fixe, le FMI hérita d’un nouveau rôle face aux problèmes d’endettement des pays en développement et à certaines crises financières.
Pour cela, il devait fournir des crédits aux pays qui connaissent des difficultés financières mettant en péril l’organisation gouvernementale du pays, la stabilité de son système financier (banques, marchés financiers) ou les flux d’échanges de commerce international avec les autres pays.
Mais officieusement, le FMI, dirigé dernièrement par Dominique Strauss-Kahn puis par Christine Lagarde, ex ministre française de l’économie de 2007 à 2011, et depuis octobre 2019 par Kristalina Georgieva, bulgare, joua principalement un rôle de police mondiale pour les négociations et le recouvrement des dettes.
Dominique Strauss-Kahn, Directeur du FMI de 2007 à 2011
Christine Lagarde, Directrice du FMI de 2011 à 2019
Son principe est le suivant :
Les capitaux du Fonds Monétaire International représentent pour les pays une sorte d’appât. Une fois les difficultés d’un pays cernées, les experts du FMI lui montrent ce qu’il faut absolument changer…
Ils déclarent ensuite au pays endetté que s’il veut obtenir un nouveau crédit auprès d’une banque étrangère, il doit réduire ses importations au strict minimum.
Il doit aussi faire baisser de façon draconienne les dépenses de l’État et surtout arrêter toutes les subventions pour la nourriture de base et autres allocations pour les personnes défavorisées.
La condition sine qua non est toujours de dévaluer la monnaie…
Ceci, soi-disant pour que les exportations soient meilleur marché et deviennent compétitives sur le marché mondial. Mais, en réalité, le prix des importations s’élèvent et les dettes s’accroissent continuellement.
Ensuite, la 2ème étape consiste à obtenir du pays qu’il consente à un vaste programme de conversion des dettes. Ainsi les banques créditrices conseillées par le FMI s’assurèrent la mainmise sur le pays endetté qui est redevable en plus de paiements d’intérêts et d’amortissements.
Afin d’être plus clair, prenons un exemple « très simplifié » :
De 1980 à 1986, les dettes cumulées de 109 pays s’élevaient à 430 milliards de dollars et un prêt de 332 milliards de dollars leur fut accordé par le FMI.
Sur le prêt de 332 milliards, les 109 pays devaient payer des intérêts s’élevant à 326 milliards, ce qui les rendaient redevables au FMI de 658 milliards de dollars (prêt + intérêts).
Une fois leur dette initiale de 430 milliards, en partie remboursée grâce au prêt de 332 milliards du FMI, ces pays avaient encore une dette initiale s’élevant à 98 milliards, plus les 332 milliards du prêt à rembourser au FMI, plus les intérêts du prêt s’élevant à 326 milliards de dollars (reversés dans des banques de crédit privées affiliées au FMI).
Ce qui au final, pour une dette originelle de 430 milliards de dollars, et après la visite du FMI, rendait les 109 pays redevables d’au moins 756 milliards de dollars !!!
Pour sauver leur économie, ces pays s’endettèrent encore plus et mirent définitivement le pied dans un cycle infernal dont ils ne sortirent jamais !!!
Après la Seconde Guerre Mondiale, la dette de l’État fédéral américain s’élevait à 200 millions de dollars. En septembre 2008, elle atteignait 10 025 milliards (soit environ 72% du PIB). En 2011, cette dette dépassa les 100% du PIB, et enfin le 16 octobre 2013, le plafond de la dette fut porté à 16 700 milliards de dollars !
À titre comparatif, la dette de la France représentait 663,5 milliards d’euros fin 1995 (soit 55,5% du PIB), puis 1 211,6 milliards d’euros fin 2007 (soit 64,2% du PIB).
À la fin du quatrième trimestre 2013, elle était estimée par l’Insee à 1 925,3 milliards d’euros (soit 93,5% du PIB).
La dette de la France devait atteindre fin 2014 1 950 milliards d’euros (soit 95.1% du PIB), ce qui correspond approximativement à une ardoise de 30 000 euros par habitant !
Il est donc facile de comprendre pourquoi la dette d’un pays ne fait que grimper malgré tous les plans de redressement mis en œuvre, l’obligeant à vivre à crédit, en empruntant sans cesse sur les marchés financiers !
Que se passera-t-il à votre avis si un jour, par le plus grand des hasards, les États se voyaient refuser leurs demandes de crédits ?
Le monde entier tomberait probablement dans un état de récession sans fin, jusqu’à ce que la situation devienne tellement ingérable qu’il pourrait alors bien sombrer dans un profond chaos !
Après la crise des subprimes, les européens découvraient étonnés, l’existence des agences de notation.
Une agence de notation financière est un organisme chargé d’évaluer le risque de non-remboursement de la dette d’un État, d’une entreprise ou d’une collectivité locale. Les premières virent le jour dans les années 1920.
Cependant, ces agences insistent sur le fait que leur notation est seulement une opinion !
Outre que ceci leur assure une certaine protection légale du fait du premier amendement de la Constitution américaine (liberté de parole), les agences ne garantissent pourtant rien à personne et s’estiment même être exonérées des conséquences de décisions prises d’après leur opinion !
Par conséquent, elles évaluent les risques dans une optique uniquement financière, et non des risques plus globaux notamment en rapport avec des critères de développement durable.
Toutefois, ces agences sont étudiées très attentivement par les marchés financiers, qui leur formulent même parfois des reproches comme lors de la crise financière de 2007-2010, ou de la crise grecque en 2010.
Cependant, ces reproches restent lettres mortes, car la règlementation américaine impose aux intervenants financiers de prendre en compte la notation de ces agences !
La notation qu’elles attribuent (AAA, AA+, …) détermine directement le niveau du taux d’emprunt des États sur les marchés financiers. Ainsi, un AAA permet d’emprunter à un taux beaucoup plus réduit qu’un AA+.
En 2010, 150 agences de notation financière étaient répertoriées dans le monde. En octobre 2011, elles n’étaient plus que 9 et en 2014, seulement 3 se partagent la quasi-totalité de l’activité : Moody’s, Standard & Poor’s et Fitch Ratings.
Cependant, la confiance dans ces agences n’a fait que chuter depuis la crise grecque et d’autres modèles de marchés alternatifs sont désormais envisagés : retour au système Investisseur-Payeur, instauration d’une agence de notation publique, interposition d’un tiers indépendant, etc.
Aujourd’hui, comme vous l’avez compris, pour sauver leurs économies et éviter la banqueroute, les États doivent obligatoirement se soumettre au dictat de la finance internationale…
De plus, ils doivent respecter en Europe les décisions prises par le Conseil Européen à Bruxelles, qui fixe le cap des grands axes de la politique étrangère de l’UE.
Ces États ne sont donc plus au final que de simples pions savamment manipulés sur le grand échiquier de la conquête du monde, et annoncent d’ores et déjà de tristes lendemains :
Récession, inflation, augmentation du chômage et de la pauvreté, diminution et perte des droits dans tous les domaines !
Cependant, il faut bien comprendre que le système financier international n’est que la partie visible du Nouvel Ordre Mondial, l’arbre qui cache la forêt…
Devant les sénateurs américains, Paul Warburg, membre fondateur de la Federal Reserve (FED), déclara le 17 février 1950 :
« Nous aurons un gouvernement mondial, que cela plaise ou non. La seule question est de savoir s’il sera créé par conquête ou par consentement. »
Paul Warburg (1868 - 1932)
Bien avant lui, Theodore Roosevelt, le 26ème Président des États-Unis de 1901 à 1909, avait déclaré :
« Derrière le gouvernement visible siège un gouvernement invisible qui ne doit pas fidélité au peuple et ne se reconnait aucune responsabilité. »
Ce gouvernement invisible dispose aujourd’hui de moyens financiers illimités, aussi ce n’est plus pour s’enrichir qu’il agit, mais uniquement pour asseoir définitivement son Pouvoir et sa Domination sur la planète !
Theodore Roosevelt (1858-1919)
Le Nouvel Ordre Mondial n’est donc en définitif qu’un système socialiste fasciste et totalitaire, où les citoyens (les esclaves) sont constamment surveillés (internet, téléphone portable, cartes de crédits, puces RFID) et enchainés à un système économique de plus en plus virtuel, qui verra bientôt disparaitre l’argent liquide et les cartes de crédit au profit d’un seul et unique code barre tatoué sur le corps !
L’un des premiers objectifs du Nouvel Ordre Mondial fut d’établir les bases d’une société sans monnaie avec pour argument que le paiement sans argent était plus sûr, plus facile et plus pratique pour tous.
La stratégie consista alors à émettre en masse des cartes à lecture électronique ou cartes à puce, utilisées comme moyens d’identification personnelle (carte d’identité, badge d’accès aux bâtiments, carte d’assurance maladie, carte SIM), moyen de paiement (carte bancaire, porte-monnaie électronique) ou preuve d’abonnement à des services prépayés (carte de téléphone, titre de transport, etc.).
Historiquement, le principe d’une mémoire portative fut décrit pour la première fois dès 1947.
Un ingénieur britannique avait imaginé un substrat en bakélite sur lequel étaient imprimées de très fines pistes de cuivre qui, sous l’effet d’un courant important, pourraient se volatiliser irréversiblement en créant un effet mémoire.
Bien que le premier brevet concernant un dispositif de type carte à puce (à mémoire sécurisée) ne fut seulement déposé que le 25 mars 1974 par Roland Moreno, la production industrielle et la première diffusion massive de la carte à puce auprès du grand public ne débuta réellement qu’en 1983 avec la mise en place de la Télécarte, une carte à puce destinée à être utilisée dans les cabines téléphoniques françaises.
En 1988, Marc Lassus créa la société Gemplus en France.
Cette dernière fut jusqu’à sa fusion avec Axalto (ex Schlumberger) en juin 2006, le numéro 1 mondial de la carte à puce et mis en circulation de 1980 à 2006, plus de 6,8 milliards de cartes.
Aujourd’hui, le leader mondial de la carte à puce est Gemalto, une entreprise internationale spécialisée dans le secteur de la sécurité numérique.
Au vu de la profusion et de la diversité des cartes à puce, la prochaine étape sera d’imposer une carte de débiteur unique (ou carte universelle de crédit), remplaçant toutes les autres.
Celle-ci est déjà introduite entre autre en Nouvelle-Zélande, en Australie, au Canada et aux États-Unis.
Cependant, il est déjà envisagé de la remplacer rapidement après par un tatouage au laser, un code-barres invisible à l’œil qui sera tatoué sur la main droite ou sur l’os du front.
Le tatouage au laser a été testé pendant plus de 15 ans à Disneyland. Les visiteurs qui voulaient y passer plusieurs jours purent alors choisir entre une carte d’abonné ou un tatouage au laser sur la main gauche. C’était en réalité une façon ingénieuse de tester les premières réactions du public face à ce nouveau procédé !
Ce procédé fut ensuite expérimenté en Hollande, où depuis l’an 2000, l’os frontal des sans-abri est tatoué au laser, sous prétexte de freiner la criminalité, plus particulièrement à Amsterdam !
De plus, le tatouage au laser sur la main droite est déjà proposé aujourd’hui aux hommes d’affaires dans plusieurs aéroports internationaux, sous prétexte qu’il est plus rapide qu’un contrôle classique.
Le nombre de personnes qui font appel à ce service dans le monde est donc en constante augmentation, car c’est bien connu dans le monde des affaires : le temps, c’est de l’argent !
Dans l’avenir, on ne vous obligera pas à accepter ce tatouage, mais en réalité, vous n’aurez plus véritablement le choix !
C’est ce que décrit très brièvement le Livre de l’Apocalypse 13 : 16-18 :
« (…) Et elle (la bête) fait qu’à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, on leur donne une marque sur leur main droite ou sur le front et que personne ne peut acheter ou vendre, sinon celui qui a la marque, le nom de la bête, ou le nombre de son nom. Ici est la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bête, car c’est un nombre d’homme et son nombre est 666. »
À ce propos, il est intéressant de noter que les indiens Hopis dans le nord de l’Arizona parlent également d’une prophétie de ce type, disant ceci :
« Personne ne pourra acheter ou vendre s’il n’a pas la marque de l’Ours. Quand cette marque sera visible, elle sera le signe annonciateur de la Troisième Grande Guerre. »
Imprimés aujourd’hui sur tous produits du commerce, les codes-barres (assimilés par le peuple hopi aux griffes de l’ours) sont formés de différents traits qui, selon leur épaisseur et leur écartement, représente un certain chiffre. Ils permettent donc de tout identifier suivant un système arithmétique binaire.
Il est intéressant de noter que lors de l’instauration du code-barres dont le brevet initial fut déposé le 7 octobre 1952, il ne comportait que cinq traits.
Étrangement, quand il commença à se généraliser dans le commerce, il fut rajouté trois paires de traits plus longs, une à l’extrémité gauche, une à l’extrémité droite et une au milieu. Ces trois paires de traits longs sont les mêmes sur tous les codes-barres du monde et seuls les traits courts varient.
Chacune de ces paires représente le chiffre 6, mais curieusement et contrairement aux traits courts, ce chiffre n’est jamais imprimé en dessous.
En scannant les traits longs d’un code-barres, l’ordinateur lit donc toujours 666, en plus du chiffre représenté par les traits courts.
Est-ce seulement une coïncidence ?
Le marquage et le contrôle permanent des êtres humains a toujours été un but prioritaire chez les illuminés. Aussi, à cet effet, plusieurs scientifiques dans le monde se virent attribuer des sujets de recherche très particuliers et l’accès à des technologies ultra secrètes émanant directement du secteur militaire…
Dans « Nature Materials », une équipe de l’Université de Californie à San Diego préconisa l’utilisation de micro-puces siliconées à pulvériser dans l’air ou à intégrer dans de la peinture utilisée pour l’intérieur des habitations, ces dernières pouvant être lues par un laser portatif.
Aujourd’hui, des poussières intelligentes (smart dusts) développées suivant ce principe existent et sont parfois intégrées aux peintures. Elles sont capables de récolter et de transmettre des informations à partir d’un grain de quelques millimètres cubes et ont une autonomie illimitée.
Ces poussières (micro-puces siliconées) forment, par leur nombre, un réseau communiquant et peuvent aussi être pulvérisées dans l’air !
Développées à l’origine par l’Agence des projets de recherche avancée de défense de l’armée américaine, ou DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), ces poussières furent initialement conçues pour être larguées d’un avion à haute altitude et enregistrer les déplacements des véhicules ennemis.
Cependant, ces poussières furent aussi utilisées dans la société civile pour surveiller l’environnement. Elles permettent entre autre de détecter toute activité suspecte à l’intérieure d’une habitation privée !
Information Awareness Office
Mais à partir de l’an 2000, d’autres puces de contrôle à l’aspect plus conventionnel allaient aussi se généraliser dans tous les magasins : les puces RFID (Radio Frequency Identification).
Il en existe de différents types, certaines comme les radio-étiquettes autoadhésives peuvent être collées ou incorporées dans des objets ou produits, d’autres sous forme d’implants peuvent être introduites dans des organismes vivants (animaux, corps humain).
Les puces RFID sont devenues tellement courantes aujourd’hui que plus personne n’y fait attention et pourtant !
Puce RFID
Les radio-étiquettes comprennent une antenne associée à une puce électronique qui leur permet de recevoir et de répondre aux requêtes radio émises depuis un émetteur-récepteur.
À l’intérieur de ces étiquettes, les puces électroniques sont de la taille d’un grain de sable (de l’ordre de 100 microns de côté) et n’intègrent pas de batteries car elles puisent directement l’énergie nécessaire à leur propre fonctionnement dans le signal radio.
La portée d’émission de chaque puce est faible, en général de 3 à 5 mètres. Mais le fait d’acheter des produits susceptibles d’émettre des informations à son insu soulève beaucoup d’interrogations !
La majorité des produits que vous consommez aujourd’hui, qu’il s’agisse de rasoirs, de denrées alimentaires, de médicaments ou de vêtements, sont déjà des espions potentiels !
Implant puce RFID
Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces puces (ou transpondeurs) se présentent aussi sous la forme d’implants sous-cutanés de la taille d’un grain de riz.
Elles sont implantées sur des êtres humains depuis 1993 !
Aujourd’hui, les implants RFID sont devenus tellement courants que de nombreux pays obligent les propriétaires d’animaux domestiques (chats, chiens, furets) à y recourir pour les identifier.
Cependant, vous devez savoir qu’il existe aussi des implants cérébraux (transmetteurs cérébraux) développés dans le plus grand secret depuis plus de 30 ans !
Ils offrent de nombreux avantages comme la possibilité d’intervenir directement sur les fonctions cérébrales ou le comportement d’une personne à son insu !
Enfin, il est aussi possible aujourd’hui de faire des injections de cristaux liquides par voie intraveineuse (comme un vaccin), qui vont se loger directement dans les zones de la mémoire du cerveau humain.
Ces cristaux (ou Sky Eyes), invisibles à l’œil nu et aux rayons X, ont des propriétés électromagnétiques particulières qui leur permettent d’être détectés ou contrôlés par des satellites, la marge d’erreur étant d’environ 150 mètres.
Cependant, bien que ces cristaux de conception humaine soient relativement performants, ils sont encore très loin de rivaliser avec des implants d’origine extraterrestre comme le SBMCD.
Le SBMCD est un implant sphérique de contrôle et de surveillance biologique, mesurant approximativement 3 mm. C’est un processeur techno-organique synaptique alimenté par un flux de micro-positrons qui contrôle et imite grâce à des micro-relais, les fonctions du système nerveux et du cerveau humain.
Il reste actif sur une période variant de 2 à 5 ans et ne peut être retiré par une opération chirurgicale classique sans tuer l’implanté !
Cependant, il est tout à fait possible de le neutraliser avec une séquence de longueurs d’ondes spécifiques (un code en quelque sorte).
Le SBMCD est le plus souvent implanté dans la cavité nasale des êtres humains lors d’enlèvements et le plus proche possible du cerveau.
Cela va sans dire que ces opérations se font avec l’autorisation d’autorités « compétentes » et suivant des accords signés que nous avons mentionnés dans Ouroboros 27.
Dans ce cas précis, l’implantation humaine, au même titre que les mutilations bovines, déclarées un peu partout dans le monde depuis 1967, s’inséraient dans un projet beaucoup plus vaste et qui concernait entre autre la reproduction, l’hybridation et le clonage d’êtres humains, développé initialement à l’Université d’Utah à Salt Lake City en 1977.
Les mutilations bovines entrèrent aussi dans un projet beaucoup plus discutable et qui visait à capturer des composants génétiques de maladies extraterrestres afin de les introduire dans des vecteurs microbiens humains.
Cependant, la génétique bovine étant similaire à celle des êtres humains, le prélèvement de tissus animaux s’est aussi vite avéré très utile pour produire des organelles (éléments constitutifs d’une cellule vivante).
Ces dernières pouvant alors permettre de modifier les hormones corporelles, filtrer certains polluants (de l’air, de l’eau, des aliments) et rendre certains précurseurs cérébraux non toxiques…
De plus, l’adrénaline extraite de bovins vivants, présente certains effets intéressants sur la longévité humaine.
En la synthétisant on peut créer des dérivés comme la cordrazine, le cortropinex, la formazine et l’hyronalix. Quelques-unes de ces substances agissent sur le développement psychique, d’autres sur la restauration du corps physique…
Enfin, la production d’organelles fut aussi liée à un autre projet ultrasecret, appelé Lotus, qui visait à créer des particules Ganesh pour régénérer les tissus cellulaires humains.
En fin de compte, à part les cobayes sacrifiés ou qui furent seulement contraints de participer à ces expériences, tout le monde y trouvait son compte !
Et du côté alienigène, des factions purent élaborer en toute tranquillité, avec l’accord et plus tard la participation d’autorités « compétentes », des programmes d’hybridation ou de recherches plus spécifiques, visant à rechercher dans l’ADN de l’homme des codes génétiques primitifs d’origine non terrestre.
Certains alienigènes ayant une génétique proche de l’homme (un lointain héritage des végans et des lyriens), pensent pouvoir stopper, voire même inverser la dégénérescence cellulaire qui a considérablement affaibli leur organisme au cours des derniers millénaires…
Ils ne peuvent plus aujourd’hui se reproduire que par clonage et sont convaincus que l’homme possède encore dans ses cellules, la solution à leur problème.
Une solution qu’ils pensent être leur seul futur, mais ceci est une autre histoire !
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