Comme nous l’avions vu dans Ouroboros 26, l’intention des Bolcheviques de dominer sur l’Europe de l’Est et l’Asie avait été annoncée par Lénine dès les années 20 et actée officiellement en 1943, lors de la conférence des Alliés au Québec.
Le général George C. Marshall fit alors pression pour que soit signé un accord intitulé « Position Russe » qui stipulait que la position des soviétiques dans l’Europe de l’Est serait dominante après la Seconde Guerre Mondiale…
Cela allait permettre à ceux qui manipulèrent les pions lors des deux premières guerres mondiales d’appliquer une nouvelle fois un vieux principe romain redoutable :
Divide et empera (ou Diviser pour mieux régner).
Général George C. Marshall (1880 - 1959)
Le régime nazi étant tombé, ils devaient ensuite impérativement maintenir la pression sur le monde et le diviser une nouvelle fois, en deux camps diamétralement opposés, pour en garder le contrôle !
Une nouvelle bête noire, créée pour l’occasion lors de la Révolution Russe de 1917 et conformément au plan des illuminés, imaginée par Albert Pike, allait devoir maintenant assumer pleinement le sale rôle !
Nous rappelons les termes originels de ce plan destiné à conquérir le Monde et à ériger un Nouvel Ordre Mondial par trois Guerres Mondiales :
1 – La PREMIÈRE GUERRE MONDIALE devait être mise en scène pour que les Illuminés de Bavière aient un contrôle direct sur la Russie des tsars. À la suite de quoi la Russie pourrait être utilisée comme la bête noire qui servirait les desseins des Illuminés à l’échelle mondiale.
2 – La DEUXIÈME GUERRE MONDIALE serait créée de toutes pièces en manipulant les divergences d’opinions régnant entre les nationalistes allemands et les sionistes politiquement engagés. Cela amènerait la Russie à étendre sa zone d’influence et entraînerait la création d’un État d’Israël en Palestine.
3 – La TROISIÈME GUERRE MONDIALE serait ensuite basée sur les divergences d’opinions que les Illuminés créeraient entre les Sionistes et les Arabes. On programmerait alors une extension du conflit à l’échelle mondiale.
Albert Pike (1809-1891)
Aussi, en présentant dans la seconde moitié du XXe siècle la Russie comme la nouvelle menace du monde, ils forcèrent la main aux nations de l’Ouest pour approuver des alliances supranationales qu’elles n’auraient jamais conclues d’elles-mêmes (comme l’OTAN ou l’ONU).
De plus, grâce à l’empire soviétique, la deuxième plus grande puissance mondiale, le commerce international des armes allait pouvoir s’étendre dans le monde entier et rapporter de gigantesques bénéfices à l’industrie de l’armement, financée entièrement par les banquiers internationaux !
L’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN ou en anglais North Atlantic Treaty Organization, NATO) est une organisation politico-militaire qui rassemble aujourd’hui de nombreux pays occidentaux dont le but premier est d’assurer leur défense commune contre les menaces extérieures afin de parvenir à la stabilité des continents européen et Nord-Américain.
L’OTAN fut créée le 4 avril 1949 à la suite de négociations lancées par les cinq pays européens signataires du traité de Bruxelles (Belgique, France, Luxembourg, Pays-Bas et Royaume-Uni) avec le Canada et les États-Unis et cinq autres pays d’Europe invités à participer (Danemark, Italie, Islande, Norvège et Portugal).
OTAN
D’autres pays occidentaux l’ont rejoint par la suite mais cinq nations européennes (l’Autriche, la Finlande, l’Irlande, la Suède et la Suisse) en font partie parce qu’elles sont militairement neutres. Toutefois, leurs armées sont aux normes établies par les membres de l’OTAN.
Le siège de l’OTAN, initialement situé à Londres puis à Paris, se trouve depuis 1966 à Bruxelles et son commandement militaire (SHAPE) à Mons en Belgique.
L’OTAN avait pour vocation initiale d’assurer la sécurité du continent européen après la Seconde Guerre Mondiale en prévenant d’éventuels soubresauts d’impérialisme allemand et en s’opposant à toute tentative expansionniste de l’Union soviétique.
Entre 1955 et 1991, l’adversaire désigné de l’OTAN prit la forme du Pacte de Varsovie, une organisation de sécurité collective sous obédience soviétique créée à la suite de l’intégration militaire de la RFA au bloc de l’Ouest et se présentant comme politiquement et militairement symétrique à l’alliance atlantique.
Depuis 2009, le secrétaire général de l’OTAN était l’ancien Premier Ministre danois, Anders Fogh Rasmussen. Il a été remplacé le 1er octobre 2014 par le norvégien Jens Stoltenberg.
Anders Fogh Rasmussen
Jens Stoltenberg
Selon les ambitions affichées par son tout premier secrétaire général, de 1952 à 1957, le britannique Hastings Lionel Ismay, le rôle de l’OTAN consistait au cours des années de Guerre Froide :
« À garder les Russes à l’extérieur, les Américains à l’intérieur et les Allemands sous tutelle ! »
Cependant, la menace d’un conflit entre les forces de l’OTAN et le Bloc Soviétique allaient aussi permettre de justifier, dans les deux camps, l’existence et le développement démesuré des services de sécurité nationale comme entre autres :
Le KGB (Komitet Gossoudarstvennoï Bezopasnosti ou Comité pour la Sécurité de l’État), la CIA (Central Intelligence Agency), la NSA (National Security Agency) ou encore le NSC (National Security Council).
KGB
CIA
Comme nous l’avions mentionné à la fin d’Ouroboros 26 :
La guerre du Viêt Nam opposa, de 1955 à 1975, d’une part la République démocratique du Viêt Nam (ou Nord Viêt Nam) avec son armée populaire, soutenue matériellement par le bloc de l’Est, la Chine et le Front national de libération du Sud Viêt Nam (péjorativement Viêt-Cong), et d’autre part, la République du Viêt Nam (ou Sud Viêt Nam), militairement soutenue par l’armée des États-Unis et appuyée par plusieurs alliés (Australie, Corée du Sud, Thaïlande, Philippines).
Cependant, cette guerre, de plus en plus impopulaire dans l’opinion publique américaine, finira dans une impasse et incitera les troupes militaires américaines à se retirer à la suite des accords de paix de Paris de 1973.
En 1975, le Nord Viêt Nam réalisa une dernière offensive contre le Sud Viêt Nam et remporta la victoire : le pays, réunifié l’année suivante, deviendra alors officiellement la République socialiste du Viêt Nam, un régime communiste, tout comme le Laos et le Cambodge (dirigé alors par les Khmers rouges de 1975 à 1979).
Bien que cette guerre se soit finie par une débâcle américaine, elle permit en réalité d’éviter une confrontation directe entre les États-Unis et les Russes, puis d’étendre comme annoncé dans les années 1920 par Lénine, l’influence des soviétiques et le modèle « communiste » en Asie.
Mais cette guerre permit aussi à la CIA d’accomplir, dans le plus grand secret et sous couvert militaire, tout un ensemble d’opérations clandestines et plus ou moins illicites !
Du côté de la CIA, l’issue de cette guerre importait donc peu, il fallait juste qu’elle dure suffisamment longtemps pour couvrir ces opérations. Et puis, d’un autre côté, tout le monde était gagnant, les soviétiques étendaient leur influence sur l’Asie, l’industrie mondiale de l’armement continuait à se développer et les banquiers internationaux encaissaient des bénéfices record !
De 1955 à 1975, les États-Unis larguèrent au-dessus du Viêt Nam 7,08 millions de tonnes de bombes, alors que par comparaison, 3,4 millions de tonnes avaient été larguées par l’ensemble des alliés sur tous les fronts de la Seconde Guerre Mondiale !
Guerre du Viêt Nam
En 1995, le Viêt Nam annonça officiellement qu’un million de combattants et deux millions de civils (y compris le Sud) avaient été tués durant cette guerre.
Les pertes du Sud Viêt Nam furent estimées à 255 000 militaires et 430 000 civils, dont 80 000 en 1974, soit plus que toute autre année de guerre, alors que les forces américaines avaient déjà été évacuées.
Le bilan pour les forces armées américaines fut estimé à 58 177 soldats tués et 153 303 blessés pour un total de 8 744 000 militaires ayant participé à un moment ou à un autre à ce conflit.
Étrangement, seulement 16 militaires soviétiques furent déclarés officiellement morts durant ce conflit et 5 au Laos !
Dans les années 1980, des estimations américaines annonçaient que plus d’un demi-million de victimes furent causées par la répression et l’exode qui s’ensuivit après 1975 :
65 000 à 100 000 exécutions par le régime communiste, 150 000 à 175 000 prisonniers disparus, les autres sur des boat-people !
Boat-people vietnamien
Par la suite, la peur suscitée par la menace « Rouge » en Occident et en Amérique allait permettre à l’industrie militaire nucléaire de se développer à très grande échelle et en dépit de tous les risques potentiellement encourus !
Au début des années 1990, les États-Unis et l’URSS détenaient au total approximativement 50 000 ogives nucléaires !
La France, la Grande-Bretagne et la Chine avaient de plus petits arsenaux, mais cependant très significatifs, alors qu’Israël possédait environ une centaine d’armes nucléaires !
Arsenal nucléaire des États-Unis
En outre, sous couvert des agences de sécurité nationale, ceux qui encouragèrent le développement et la nécessité de posséder ce nouveau type d’armement allaient aussi créer dans deux camps, un consortium échappant à tout contrôle et dont les gouvernements respectifs ignoreraient même jusqu’à l’existence !
Par son intermédiaire, américains et soviétiques purent élaborer des projets non conventionnels en commun, prendre une ascendance technologique considérable sur le reste du monde et assurer définitivement la puissance de frappe des illuminés…
Afin qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur nos derniers propos, nous allons prendre un exemple très significatif :
Les motifs de l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy (ou JFK), le 35e Président des États-Unis de 1961 à 1963, ont toujours fait l’objet de nombreuses spéculations…
Cependant, le jeune président se préparait à choisir sa propre orientation sur des questions hautement stratégiques, mais qui l’opposait diamétralement aux puissants intérêts politiques et financiers de l’Establishment.
John Fitzgerald Kennedy (1917 - 1963)
Une des causes de son assassinat fut qu’il renvoya, peu après sa prise de fonction présidentielle, le tout puissant chef de la CIA, Allen Dulles, qui venait de subir un cuisant échec dans l’opération de la Baie des Cochons : une tentative d’invasion militaire de Cuba par des exilés cubains, soutenus par les États-Unis en avril 1961.
De plus, en octobre 1963, Kennedy avait aussi ordonné à quelques conseillers américains de se retirer du Viêt Nam, diminuant ainsi les activités clandestines de la CIA en Asie du Sud Est.
La CIA haïssait donc profondément Kennedy qu’elle considérait responsable de la mauvaise tournure que prenaient leurs petites affaires secrètes au Viêt Nam et à Cuba !
Allen Dulles (1893 - 1969), Directeur de la CIA de 1953 à 1961 et JFK
En outre, JFK annonça au Congrès, le 18 juillet 1963, qu’il avait l’intention de mettre en application toute une série de dispositions pour endiguer le déficit des États-Unis.
Il voulait, entre autre, relancer l’exportation de marchandises industrielles et prélever des impôts sur les avoirs des citoyens américains à l’étranger.
Par ces dispositions, les impôts de certains membres de l’Establishment, auraient pu augmenter de 15% par an, ce qui n’était pas du goût de tout le monde !
Cependant, les principales causes de l’assassinat de JFK furent liées au plus grand secret rattaché à la sûreté des États-Unis…
Comme en Russie ou en Chine aujourd’hui, ce secret concernait l’étude d’une technologie « non humaine » et la construction d’armes et d’engins volants « non conventionnels » développés à partir d’Ovnis crashés et récupérés à la fin des années 40 (Affaire Roswell).
Mais commençons par le début :
Les opérations clandestines de la CIA prirent réellement de l’ampleur lorsqu’une partie des fonds alloués au programme spatial, lancé par JFK pour envoyer un homme sur la Lune avant la fin des années 60, fut détourné vers des projets illégaux visant à contrôler au niveau mondial le marché noir des stupéfiants et de la drogue !
Sous couvert des agences de sécurité nationale et grâce en partie aux caisses noires générées par le marché des stupéfiants, le consortium mentionné plus haut put financer en toute discrétion et de façon entièrement autonome la construction d’immenses complexes militaires souterrains…
La plupart de ces complexes échappaient alors à tous contrôles financiers ou gouvernementaux et les états en ignoraient même le plus souvent jusqu’à l’existence !
Zone 51
Edwards Air Force Base en Californie
À l’intérieur et en dehors de ces complexes furent réalisées de nombreuses études et expériences, puis développées des technologies non conventionnelles et très en avance sur la science actuelle…
L’homme y collabora avec êtres « non humains », terriens ou non, et y élabora pour la première fois de son histoire des programmes de colonisation vers d’autres mondes…
Ces collaborations firent l’objet de plusieurs traités et notamment en vue d’échanges technologiques : TAU 9 en 1960, Omicron Phi 9 (ou OF-9), Omicron Phi 9-8 en 2009 ou encore et plus récemment TAU 9-7 en 2012…
Base de Montauk
Extraterrestre de Roswell
Le 22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que son environnement était propice à la vie, elle fut alors suivie d’une expédition mixte russe et américaine !
Bien avant que l’homme ait pu faire « officiellement » son premier pas sur la Lune par l’intermédiaire de la mission Apollo 11 le 29 juillet 1969, l’implantation des premières colonies humaines sur la Lune et sur Mars avait déjà commencé dans le plus grand secret !
Cependant, le premier pas sur la Lune fut en réalité le plus grand canular de toute l’histoire de l’humanité, souvent remis en cause depuis car la réalité était toute autre !
Premiers pas sur la Lune
Le premier pas de l'homme sur la Lune
Contrairement aux images diffusées officiellement par la Nasa, il existe certaines régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Il s’y trouve aussi de l’eau et des lacs !
La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup plus faible que sur la Terre, les colons ont dû s’y adapter selon une technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs. Mais cette pression était néanmoins suffisante pour qu’il ne leur fût pas nécessaire de revêtir une combinaison spatiale !
En 1969, une confrontation eut lieu sur la base lunaire et s’est traduite par une prise d’otage et 66 morts. Les soviétiques ont alors suspendu leur participation pendant 2 ans, avant de se réconcilier et de poursuivre le programme de colonisation !
Puis, ce fut ensuite au tour de la planète Vénus. Cependant, sur cette dernière, les colons ne partaient pas en terre inconnue !
En effet, en 1957, trois émissaires de cette planète prirent contact avec Dwight David Eisenhower, 34e président des États-Unis de 1953 à 1961 et Richard Nixon (vice-président).
À noter que Nixon deviendra plus tard, le 37e président des États-Unis de 1969 à 1974.
Les vénusiens venaient mettre en garde contre la mauvaise direction que prenait l’humanité. Cependant, leur point de vue fut rejeté, au grand dam d’Eisenhower qui, pour sa part, aurait été assez favorable à leurs propositions !
Dwight D. Eisenhower (1917 - 1963)
Richard Nixon (1913 - 1994)
Valiant Thor
À titre informatif, sachez qu’il existait aux États-Unis 38 catégories au-dessus du niveau « Ultra Secret » et le niveau d’accréditation des présidents américains s’arrêtait le plus souvent à ce qu’on nomme encore parfois « la Frontière Suprême ».
Ce qui signifie, pour être très clair, qu’il existe des organisations privées et internationales comme l’ACIO (Alien Contact Intelligence Organization) dont le principe est très simple :
Vous payez votre écot, vous vous soumettez aux règles et votre gouvernement a le droit de bénéficier et jusqu’à un certain point d’informations technologiques SENSIBLES.
Sans trop entrer dans les détails, le 38ème niveau correspondait à la plus haute de toutes les autorisations d’accès et Eisenhower possédait celle nécessaire pour accéder aux niveaux supérieurs de MJ-12.
De plus, le 38e niveau ouvrait directement l’accès aux travaux sur les OVNIS et permettait d’entrer directement en contact avec des Alienigènes.
Ronald Reagan et surtout George Herbert Walker Bush, vice-président des États-Unis de 1981 à 1989 et ex-directeur de la CIA de 1976 à 1977, furent après Eisenhower les plus informés sur ces travaux.
George H. W. Bush (1924 - 2018)
Bill Clinton possédait plusieurs laissez-passer comme Above Top Secret et Need to Know, mais il ne détenait pas Umbra Ultra Top Secret Clearance donnant accès aux niveaux supérieurs de MJ-12.
Il avait par conséquent connaissance de certaines activités non conventionnelles, réalisées dans la Zone 51 ou sous la base Edwards, mais ignorait tout du complexe S4 et des autres !
Bill Clinton, 42e Président des États-Unis de 1993 à 2001
Aujourd’hui, la CIA, la NSA et le CFR contrôlent des monopoles financiers qui dépassent tout ce que vous pouvez imaginer !
Ils ont érigé leur empire à même les cartels de la drogue et profitent ainsi, sous la protection de la loi américaine, de leurs placements dans d’immenses réseaux de sociétés de gestion et d’institutions bancaires internationales !
Dans une certaine mesure, JFK avait découvert une partie de ces projets…
C’est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à MJ-12 (Majestic-12), leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants et de révéler publiquement l’existence de certains projets !
Pour ceux qui œuvraient sous couvert de la CIA et au sein même de MJ-12, c’en était trop !
Le dernier qui avait envisagé de faire une telle révélation, après l’affaire Roswell, James Vincent Forrestal, le secrétaire à la Marine des États-Unis de 1944 à 1947, premier secrétaire de la Défense des États-Unis et membre de MJ-12, fut jeté par la fenêtre de l’hôpital militaire Walter Reed à Bethesda où il était interné à la suite d’une grave dépression…
James V. Forrestal (1892 - 1949)
On retrouva son corps défenestré avec un drap de lit autour du cou le 22 mai 1949 !
Il est évident que si JFK persistait dans cette direction, il se condamnait lui-même. Et cela arriva…
Il fut assassiné à Dallas le 22 novembre 1963 !
Le premier coup de fusil vint du toit de l’entrepôt où se trouvait Lee Harvey Oswald, l’assassin officiellement reconnu par le rapport de la Commission Warren, mais en réalité, le coup n’était pas mortel !
En revanche, le coup de grâce fut porté par le conducteur de sa propre voiture, l’agent de la CIA William Greer, qui par-dessus son épaule droite, visa la tête de Kennedy avec un pistolet automatique de calibre 45 (recouvert de nickel) et un projectile spécialement conçu pour l’occasion par la CIA !
Assassinat de JFK
Lee Harvey Oswald (1939 - 1963)
Dans les films officiels projetés après l’attentat, le chauffeur n’apparaissait plus mais dans trois films originaux, diffusés à cette époque à la télévision japonaise, on pouvait encore voir très nettement le chauffeur tirer sur Kennedy, au point qu’il fut même possible d’identifier l’arme utilisée !
En réalité, l’attentat de Kennedy fut préparé par E. Howard Hunt, Frank Sturgis, Jack Leon Rubenstein (alias Jack Ruby) et Orlando Bosch, un Cubain anticastriste qui sera accusé plus tard d’être impliqué dans l’attentat contre le Vol Cubana 455 en 1976.
Lee Harvey Oswald, un ex-membre de la CIA travaillait au moment de l’attentat pour Jack Ruby.
Lee Harvey Oswald
Après l’assassinat de JFK, la liquidation de Lee Harvey Oswald était inéluctable et Jack Ruby le tua avant qu’il ne pût prouver son innocence.
Pour l’opinion publique, le coupable était donc tout trouvé et le mort ne pouvait plus prouver le contraire !
Jack Ruby était un patron de bar proche de la Mafia. Il mourut en prison le 3 janvier 1967 sans avoir jamais parlé !
Tous les témoins de la conspiration furent tués et moururent d’un accident ou d’un cancer foudroyant dans les deux années qui suivirent l’attentat. Le chauffeur lui-même décéda trois semaines après la mort de JFK !
Jack Leon Rubenstein, alias Jack Ruby (1911 - 1967)
La conspiration de la CIA, du CFR et du Comité des 300 fut alors passée sous silence et les agences de presse muselées au plus haut niveau !
Après la mort de JFK, nombre de ces faits furent mentionnés devant le « House Select Committee on Assassinations » mais selon la loi de sûreté de l’État américain, les archives devaient n’être initialement rouvertes qu’en 2029 !
Cependant, à la suite de la nouvelle émotion soulevée par le film JFK, le Congrès américain fit voter une nouvelle loi en 1992.
Ce dernier avait conclu que le secret avait conduit le public américain à croire que le gouvernement cachait la vérité, il chargea alors l’ARRB de rassembler toutes les informations disponibles, d’en collecter de nouvelles et de mettre ces informations à la disposition du public au plus tard en 2017 !
Selon divers sondages réalisés au début des années 2000, alors que la majorité des citoyens américains pensaient qu’Oswald avait participé à l’assassinat, seulement 20 à 30% croyaient encore qu’il était le seul assassin.
Selon le dernier sondage de l’Associated Press-GfK, réalisé en avril 2013, 59% des américains croyaient encore à une conspiration, 24% à la seule culpabilité d’Oswald et 16% restaient sans avis !
Le 5 juin 1968, juste avant les élections présidentielles, le frère de JFK, Robert F. Kennedy fut lui aussi assassiné !
Son tueur, Sirhan Sirhan, un jeune homme d’origine transjordanienne, agissait sous l’effet d’une drogue élaborée spécialement par la CIA.
En effet, des spécialistes de la CIA eurent parfois recouru à un procédé appelé ORION, selon lequel ils administraient des stupéfiants à un sujet affecté de troubles mentaux, puis lui suggéraient, sous hypnose, l’obsession de tirer des coups de feu, comme par exemple dans un domaine universitaire, bondé d’étudiants !
Robert Francis Kennedy (1925 - 1968)
Lors de son procès, Sirhan déclara qu’il avait tué Robert F. Kennedy parce qu’il avait apporté son soutien à Israël durant la guerre des Six Jours en juin 1967.
Officiellement, Sirhan avait tiré sur RFK de face et à une distance estimée de 1 à 1,5 mètre, alors que le médecin légiste estimait lui que la balle mortelle avait été tirée dans la nuque de RFK, de derrière et à quelques centimètres.
Comme le diagnostic du médecin légiste mettait en évidence la présence d’un second tireur, la CIA devait impérativement faire désigner Sirhan comme le seul et unique assassin.
C’est la raison pour laquelle Grant B. Cooper (1903 – 1990), l’avocat de Sirhan, ne chercha jamais à défendre son client !
Sirhan Sirhan
Sirhan a été reconnu coupable le 17 avril 1969 et condamné à mort six jours plus tard. La peine a ensuite été atténuée et il a finalement été condamné à la prison à perpétuité en 1972.
Il est actuellement emprisonné à Pleasant Valley State Prison.
En réalité, pour être sûr que Sirhan ne faillirait pas au moment de tirer, un des gardes du corps de RFK lui avait aussi tiré dans la nuque avec une balle du même type que celle retrouvée dans la tête de JFK…
Selon les dires du juge d’instruction qui s’appuyaient sur des preuves balistiques, le bout du canon de l’arme avait dû être éloigné de 5 à 8 cms de la tête de Robert F. Kennedy.
Ces informations sont conservées dans les publications internes du CFR et de l’ordre Skull & Bones.
Fin de la parenthèse JFK, fin de la parenthèse OVNI…
Comme nous l’avions vu dans Ouroboros 25, l’Organisation sioniste mondiale fut créée le 3 septembre 1897 lors du premier congrès sioniste qui s’est tenu à Bâle en Suisse.
Théodore Herzl, qui organisa le premier congrès, écrivit plus tard :
« À Bâle, j’ai donné naissance au futur État juif. Il peut venir dans cinq ans, ou dans cinquante ans, tout le monde le verra. »
Cependant, ce n’est qu’en 1960 que le mouvement prit le nom d’Organisation Sioniste Mondiale.
Théodore Herzl (1860 - 1904)
Comme les plaies de la Seconde Guerre Mondiale se cicatrisaient lentement en Europe, l’attention du monde se tourna alors vite vers le Proche-Orient où les sionistes étaient en train d’établir l’État d’Israël en Palestine.
Mais la création d’Israël ne se fit pas sans heurts !
En effet, deux années auparavant, lors du congrès sioniste de 1946 à Genève, il fut décidé de recourir au terrorisme pour accélérer l’édification de l’État d’Israël au Proche-Orient.
C’est ainsi que naquirent plusieurs organisations terroristes sionistes en Palestine dont les deux plus importantes furent l’Irgun Zvai Leumi (IZL) de Menahem Begin et le Groupe Stern d’Yitzhak Shamir.
Menahem Begin (1913 - 1992), Premier Ministre de l’État d’Israël de 1977 à 1983
Yitzhak Shamir (1915 - 2012), Premier Ministre de l’État d’Israël de 1983 à 1984 et de 1986 à 1992
Quand les Arabes rendirent les coups en s’attaquant aux derniers anglais de Palestine, on fit appel à l’ONU qui partagea, le 29 novembre 1947, la Palestine alors mandataire et encore sous contrôle britannique, en deux états indépendants : l’un Arabe et l’autre Juif.
Ensuite, l’indépendance de l’État d’Israël fut proclamée officiellement par l’ONU le 14 mai 1948 et marqua la fin du mandat britannique en Palestine.
Mais en réalité, ceux qui forcèrent l’implantation d’Israël en Palestine comptaient aussi remettre en pratique le même principe romain qui opposait les américains aux soviétiques : Divide et empera.
Il était le garant à l’avenir d’une discorde perpétuelle entre les Arabes et les Israéliens !
Cependant, la séparation de la Palestine suscita des troubles tellement sanglants qu’elle incita l’ONU à se retirer de cette partie du monde, ou du moins en apparence !
Les sionistes en profitèrent alors pour se repartager arbitrairement la Palestine. Le groupe Stern et l’irgun Zvai Leumi assaillirent le village Deir Yasin et égorgèrent tous les habitants en signe d’avertissement… Un terrible coup porté aux résistants arabes !
Après ces massacres, les arabes s’enfuirent dans les pays voisins, sauf quelques-uns qui se rassemblèrent alors sous la direction de Yasser Arafat, le fondateur en mai 1964 de l’Organisation de libération de la Palestine (l’OLP).
Yasser Arafat (1929 - 2004)
Yasser Arafat représenta ensuite les Palestiniens dans les différentes négociations de paix avec Israël et signa les accords d’Oslo en 1993.
Les Accords d’Oslo sont le résultat d’un ensemble de discussions menées en secret, en parallèle de celles publiques consécutives à la Conférence de Madrid de 1991, entre des négociateurs israéliens et palestiniens à Oslo en Norvège, pour poser les premiers jalons d’une résolution du conflit israélo-palestinien.
La déclaration de principes, signée à Washington le 13 septembre 1993 en présence d’Yitzhak Rabin, de Yasser Arafat et de Bill Clinton, instaurait un mode de négociations pour régler le problème et posait une base pour une autonomie palestinienne temporaire de 5 ans pour progresser vers la paix…
Yasser Arafat devint le 1er président de la nouvelle autorité palestinienne et reçut le prix Nobel de la Paix en 1994, en compagnie de :
Shimon Peres, président d’Israël de 2007 à 2014, et d’Yitzhak Rabin, Général et Premier Ministre d’Israël de 1974 à 1977, puis à nouveau de 1992 à 1995 (année de son assassinat à Tel-Aviv).
Yitzhak Rabin (1922 - 1995)
Shimon Peres (1923 - 2016)
Le processus d’Oslo sera complété le 4 mai 1994 de l’Accord de Jéricho-Gaza qui investit la nouvelle Autorité nationale palestinienne de pouvoirs limités.
Enfin, l’accord intérimaire sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza ou « Accord de Taba », qui fut signé à Washington le 28 septembre 1995, prévoyait les premières élections du Conseil Législatif Palestinien en zones où les contrôles israélien et palestinien s’appliqueraient de façon différente.
Dans l’attente de l’aboutissement des négociations, toujours en cours…
Cette tentative de processus de paix, largement soutenue par la communauté internationale, sera mise en difficulté entre 1996 et 1999 suite au durcissement des positions de part et d’autre, lorsque seront abordés les thèmes cruciaux du statut de Jérusalem, du problème des réfugiés palestiniens et de la lutte contre le terrorisme.
Les positions les plus extrêmes s’exprimèrent dans les années qui suivirent, lors de l’assassinat de Yitzhak Rabin en 1995 par un étudiant israélien d’extrême-droite, et dans la multiplication des attentats menés par les mouvements palestiniens du Hamas et du Jihad islamique.
Le processus d’Oslo ne pourra plus être relancé après 2000, au déclenchement de la seconde Intifada…
À partir de 2001, après l’échec du sommet de Taba et le déclenchement de la Seconde Intifada, Yasser Arafat perdit progressivement son crédit auprès d’une partie des palestiniens et se retrouva isolé sur la scène internationale.
Cette même année 2001, Ariel Sharon fut élu au poste de Premier ministre de l’État d’Israël, amenant un durcissement de la position israélienne vis-à-vis du dirigeant palestinien, qui fut alors contraint à ne plus quitter Ramallah !
Ariel Sharon (1928 - 2014), 11e Premier ministre de l’État d’Israël de 2001 à 2006
L’isolement de Yasser Arafat ne fut rompu qu’à la veille de sa mort, quand il fut emmené d’urgence en France à Clamart, en région parisienne, où il décéda en 2004.
Nous ne nous étendrons pas sur les circonstances de sa mort mais confirmons seulement qu’elle n’était pas naturelle…
Depuis la déclaration d’indépendance d’Israël en 1948, le Proche-Orient était devenu comme prévu un foyer perpétuel de combats, de haines, d’assassinats et de meurtres !
Mais cela correspondait très précisément aux buts recherchés et à la mise en application de la 3ème phase du plan initial qu’Albert Pike avait imaginé dans une lettre à Mazzini (successeur d’Adam Weishaupt), le 15 août 1871 :
« La Troisième Guerre Mondiale sera basée sur les divergences d’opinion que les Illuminés créeront entre les Sionistes et les Arabes.
On programmera alors une extension du conflit à l’échelle mondiale qui verra se confronter nihilistes, athées et croyants, pour provoquer un renversement social qui verra le jour après des affrontements d’une brutalité et d’une bestialité jamais vus auparavant… »
Cependant, à la fin du XXe siècle, il n’était plus envisagé d’étendre entièrement ce conflit à un niveau mondial, sans avoir fait auparavant quelques essais grandeur nature !
Et encore moins, comme vous l’avez compris aujourd’hui, d’aboutir réellement à des accords de paix au Moyen Orient !
On préféra plutôt transformer le Proche et le Moyen Orient en un véritable laboratoire d’expérimentations, plus ou moins heureuses selon les circonstances, mais très riches d’enseignement, pour la suite du projet des illuminés…
Dans Ouroboros 28, nous présenterons la dernière partie de ce voyage au centre des arcanes secrets du Pouvoir Mondial et analyserons les autres conflits au Proche et Moyen Orient, ainsi que ceux du Monde Arabe, jusqu’en 2014…
Enfin, nous vous révèlerons les objectifs réels du FMI, l’origine occulte de la Crise des subprimes et leurs enjeux économiques.
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