Les Anges rebelles

Dans ce nouveau chapitre, nous allons aborder un des épisodes les plus sombres de l’histoire de la Création, mais il fut néanmoins nécessaire car il engendrera la biodiversité sur la Terre, et marquera le départ de l’évolution des espèces…

Il existe dans la Genèse (6, 1-5), un passage qui évoque une invasion de la Terre par des êtres venus d’un royaume céleste et leurs rapports sexuels avec les femmes de la Terre :

« Alors que les Hommes avaient commencé à se multiplier sur la surface du sol et que des filles leur étaient nées, les fils de Dieu virent que les filles d’Homme étaient belles et ils en prirent pour femmes celles de leur choix…

En ces jours, les géants étaient sur la Terre et ils y étaient encore lorsque les fils de Dieu vinrent trouver des filles d’Homme et eurent d’elles des enfants. Ce sont les héros d’autrefois, ces hommes de renom. »

De toute évidence, ce passage semble indiquer que les héros d’autrefois pourraient être les dieux de l’Antiquité, mais reste encore assez flou sur le sujet.

Le seul livre qui donne une explication de ces vers de la Genèse est celui d’Énoch, mais il n’a jamais pu faire partie des Écritures chrétiennes compilées au IVe siècle, car il disparut mystérieusement entre 300-400 après J.-C.

En 1773, l’explorateur écossais James Bruce finit par en retrouver des lambeaux de copies dans les monastères éthiopiens et la franc-maçonnerie diffusa son contenu.

La valeur sacrée de ce livre fut alors reconnue par les auteurs du Nouveau Testament car il contenait des notions établies par Jésus-Christ lui-même, comme celle d’un royaume à venir et du Jugement Dernier.

De plus, la phrase prononcée lors de la Transfiguration :

« Celui-ci est mon fils, mon élu, écoutez-le », montre que Jésus-Christ est l’Élu annoncé par le livre d’Énoch.

Voici ce que dit le livre d’Énoch (7, 1-2 et 7, 9-11), à propos des êtres célestes qui aimaient les femmes :

« Quand les enfants des hommes se furent multipliés dans ces jours, il arriva que des filles leur naquirent, élégantes et belles. Et lorsque les anges, les enfants des cieux, les eurent vues, ils en devinrent amoureux ; et ils se dirent les uns aux autres : choisissons-nous des femmes de la race des hommes, et ayons des enfants avec elles. […]

Et ils se choisirent chacun une femme, et ils s’en approchèrent, et ils cohabitèrent avec elles ; et ils leur enseignèrent la sorcellerie, les enchantements […]. Et ces femmes conçurent et elles enfantèrent […]. »

L’histoire de ces anges rebelles, répudiés des cieux par Dieu est à nouveau mentionnée, Énoch (15, 1-4) :

« Pourquoi avez-vous abandonné les saintes hauteurs du ciel, votre demeure éternelle, pour aller vous souiller avec des femmes ?

Pourquoi vous êtes-vous épris des filles des Hommes ; en avez-vous fait vos épouses ; avez-vous pratiqué avec elles les œuvres des enfants de la Terre, et donné naissance à une race impie ?

Vous qui étiez des esprits célestes en possession de la sainteté, de la vie éternelle, vous vous êtes souillés avec des femmes ; vous avez travaillé aux œuvres de la chair, vous avez engendré dans le sang, vous avez agi comme ceux qui ne sont que de sang et de chair. Eux, ils ont été créés pour mourir… »

Énoch (16, 2-5), Dieu renvoie Énoch dire aux anges rebelles :

« Vous avez eu le ciel pour demeure ; mais les secrets d’en haut ne vous ont pas été révélés ; cependant vous avez connu un secret d’iniquité, et vous l’avez dévoilé aux femmes dans les mouvements de votre cœur, et par là vous avez multiplié le mal sur la surface de la Terre… Jamais vous n’obtiendrez grâce, ni jamais vous ne recevrez la paix ! »

Le livre d’Énoch fournit enfin un dernier indice pouvant permettre d’identifier ces anges en indiquant qu’ils sont sept…

Dans toutes les traditions, le chiffre sept est celui des grands dieux du système solaire, les mêmes dieux que ceux de la mythologie grecque et romaine.

Ainsi, ces anges, « les héros d’autrefois » mentionnés dans la Genèse (6, 1-5), ne sont autres que les célèbres dieux de l’Olympe.

Dans nos deux précédents chapitres, nous avons découvert que la Bible dissimulait dans son récit de la Création, le rôle majeur joué par Saturne, la Terre, le Soleil, Vénus et la Lune, pour la transition de la phase minérale en végétale et enfin animale.

Le quatrième acte de la Création, fut donc marqué par l’arrivée des dieux du système solaire, avec JUPITER (Zeus pour les Grecs) à leur tête.

La mythologie raconte que la Terre Mère cacha le bébé Jupiter sur l’île de Crête, dans une grotte souterraine car Saturne, le père de l’enfant, le menaçait. Isolé des autres dieux, le petit se nourrit du lait de la nymphe chèvre et du miel des abeilles sacrées.

La Terre Mère le cachait car elle craignait que Saturne (Satan) et les Titans, ses fils et filles aînées, ne le détruisent.

Dans ce nouvel acte de la Création, la naissance de Jupiter sonnait le glas du règne de Saturne et la transition douloureuse d’un Âge à un autre.

Les Titans étaient des mangeurs de conscience, mais malgré les terribles batailles qu’ils lui livrèrent, ils n’arrivèrent pas à le tuer et furent vaincus par Jupiter qui les enferma sous Terre.

Ces grandes forces matérialistes s’unirent alors à la structure même de la Terre de sorte que, quand les volcans se réveillaient et menaçaient d’entrer en éruption, les anciens entendaient leur mécontentement.

Jupiter régna alors sur le mont Olympe, sans que son pouvoir ne fût remis en question, il était le roi des dieux et le dieu annonciateur d’un Nouvel Âge pour l’Humanité.

Dans « Les Noces de Cadmos et Harmonie », le grand savant et écrivain italien Roberto Calasso, résuma ainsi ce qui se passa à cette époque :

« L’Olympe est une révolte de la légèreté contre la précision de la loi, qui s’appelait alors pondus et mensum, « poids et mesure ».

Ce qui revenait aussi à dire, comme l’enseignait l’ancienne tradition secrète, que les dieux de l’Olympe (Jupiter, Apollon, Mars, Mercure, Diane, Athéna et les autres) se sont révoltés face aux limitations imposées par Saturne.

Dans cet Âge trouble à la moralité plus qu’ambiguë, la foudre de Jupiter frappait la Terre dans une forte odeur de testostérone, dans la puanteur sauvage de la passion animale et le feu impitoyable de la férocité.

La mythologie raconte que Jupiter viola Callisto, qui devint un ours. Il viola Io et la transforma en vache. Il punit Lycaon de son cannibalisme en le condamnant à devenir un loup. La passion d’Apollon pour Hyacinthe transforma la jeune fille en fleur et le viol de Daphné la fit se muer en buisson de laurier.

Jupiter/Zeus n’est pas moral au sens où Moïse l’aurait entendu, mais lui et les autres dieux de l’Olympe étaient nécessaires pour mener à bien l’œuvre de la fécondité galvanisante et créatrice du monde biologique.

Leurs mythes parlent allégoriquement de la prolifération de la vie naturelle, de l’occupation de chaque mètre carré de notre planète par une variété infinie de plantes et d’animaux et donc de la naissance de la biodiversité sur la Terre.

Nous pouvons maintenant nous poser une nouvelle question fondamentale :

Est-il possible que ces mythes anciens aient anticipé l’une des hypothèses de la science moderne qui dit que la vie animale, qui a un jour évolué vers l’Humanité, était au début aquatique ?

Comme son prédécesseur Hérodote, Bérose, un prêtre de Babylone au temps d’Alexandre le Grand (IIIe siècle av. J.-C.), avait étudié les listes de rois inscrites sur les murs des temples et les archives secrètes des prêtres.

Bérose écrivit que la Terre avait été habitée par une espèce de vie très primitive jusqu’à ce qu’un monstre apparaisse, un animal appelé « Oannès » qui sortit de l’eau.

Il avait le corps d’un poisson, une tête humaine, une voix d’homme et des pieds semblables à ceux d’humains au niveau de sa queue de poisson.

D’après ce qu’il écrit, ce monstre passa de nombreux jours parmi les hommes, mais il ne mangeait pas. Il enseigna aux hommes l’écriture, les sciences et toutes les sortes d’art.

Il leur apprit comment fonder des villes, construire des temples, introduire les lois et mesurer la Terre, mais aussi à semer et cueillir les fruits, et d’une manière générale tout ce qui faisait la vie civilisée.

Il est intéressant de noter qu’on trouve d’autres histoires de dieux poissons, apparus brusquement pour venir instruire les hommes dans les histoires indiennes qui parlent de Matsya, le premier avatar de Vishnu.

Mais il en est de même dans les histoires des anciens Phéniciens, qui vénéraient « Dragon », ou encore dans la tribu Dogon en Afrique occidentale.

Ces dieux anciens, dieux poissons, apprirent à l’Humanité l’art de l’irrigation.

Par Plutarque, nous savons même que les premières représentations de Zeus étaient celles d’un homme à la queue de poisson, image qui survécut dans la mythologie grecque en se déplaçant sur la représentation de son frère Poséidon.

La découverte de Charles Darwin sur l’évolution des espèces est l’une des plus importantes de l’histoire. Elle est aussi importante que les découvertes de Galilée, de Newton et d’Einstein.

Est-il possible que les prêtres des écoles du Mystère aient eu connaissance du principe de l’évolution des espèces, bien avant Charles Darwin ?

Et si c’est le cas, en existe-t-il des preuves tangibles ?

Comme nous l’avons vu, les histoires les plus anciennes doivent être comprises comme la narration de la création du système solaire.

L’un après l’autre, Saturne, le Soleil, Vénus, la Lune et Jupiter ont travaillé ensemble pour créer les conditions qui rendraient l’évolution de la vie sur Terre possible.

Cet enchainement d’événements nous a conduits jusqu’à l’aube de la vie et de la conscience animales, ainsi qu’au début de la prolifération des différentes espèces sur la Terre.

Aussi étrange que cela peut paraitre, les anciens se tournaient aussi vers l’astronomie et les constellations du zodiaque pour comprendre le développement des espèces animales.

Pour eux, les forces de la nature dormaient pendant l’hiver et s’éveillaient au printemps pour exercer à nouveau leur influence. La constellation dans laquelle le Soleil naissait en cette saison était donc fondamentale pour eux.

Le Soleil vivifiait cette constellation, lui donnait de l’énergie et augmentait son pouvoir, en sculptant le monde façonnant l’histoire.

À cause d’un phénomène d’oscillation de l’axe de la Terre, le Soleil semble descendre lentement dans le firmament.

Pendant une période de 2160 ans, le Soleil se lève dans la même constellation puis il passe à la suivante.

D’après l’anthroposophe Rudolf Steiner, nous sommes dans l’Ère des Poissons (de 1413 à 3573 après J.-C.).

Pour nous, les constellations du zodiaque se succèdent selon les mois de l’année : le Bélier est suivi par le Taureau, qui est suivi par les Gémeaux, et ainsi de suite…

Mais, dans le cycle plus large, mesuré par la position de ces constellations à l’équinoxe de printemps, ces dernières se déplacent à l’envers :

Le Taureau succède aux Gémeaux, le Bélier succède au Taureau, et ainsi de suite…

Dans notre langage moderne, on appelle ce phénomène « la précession ».

Comme nous l’avons vu, les anciens considéraient que l’ère de la vie aquatique primitive a été marquée par la domination de la planète Jupiter, et qu’en termes de précession des constellations, la suivante fut marquée par celle des Poissons.

En Égypte, le grand événement de la création de la vie animale fut représenté par la naissance d’Horus et son image la plus ancienne comme pour Zeus/Jupiter, était celle d’un être hybride mi-homme, mi-poisson.

Puis vint la première Ère du Verseau, l’ère de l’évolution des amphibiens, des créatures flottantes géantes ressemblant aux dauphins d’aujourd’hui, mais avec des membres palmés et des têtes en forme de lanterne.

Pour les anciens, cette « lanterne » était la glande pinéale, protubérance encore présente chez certains reptiles d’aujourd’hui comme le tuatara ou le sphénodon, une sorte de lézard de Nouvelle-Zélande.

Elle était le principal organe de perception des créatures protohumaines.

Leur glande pinéale était sensible à la chaleur et au froid émanant des autres êtres, de près comme de loin.

Elle leur permettrait de ressentir leur nature profonde comme celle des plantes, dont ils pouvaient juger de la comestibilité ou de la valeur curative, comme savent encore le faire certains animaux de nos jours.

Plus tard, les êtres de la tête de lanterne seront idéalisés sous l’aspect enchanté de la LICORNE, que la déesse Terre guidait toujours avec clairvoyance.

Cette vérité fut magnifiquement représentée sur une tapisserie conservée au musée de Cluny à Paris, où l’on voit une licorne poser sa tête sur les genoux d’une vierge.

Dans notre mémoire collective, la licorne est devenue une créature sacrée et persécutée, pour signifier que le monde était devenu dangereux, qu’il était désormais soumis aux désirs débridés de l’Humanité.

Ce sont ces mêmes désirs débridés qui symbolisèrent les dragons de la mythologie, qui terrorisaient le monde.

La surface marécageuse de la Terre commença à se solidifier, à sécher, et l’étape suivante du développement humain débuta.

C’était le début de l’Ère du Capricorne, quand les êtres développèrent des membres leur permettant de ramper sur la Terre et de s’adonner à leurs désirs bourgeonnants.

D’après la Sagesse ancienne, c’est l’arrivée de « MARS » qui entraina l’évolution vers le développement des animaux à sang chaud. Mars fit son apparition à la période de transition entre les amphibiens de la famille des lézards de l’Ère du Capricorne et les animaux terrestres à quatre pattes de l’Ère du Sagittaire.

Le fer de Mars produisit du sang rouge, créa les conditions favorables à l’apparition de l’égoïsme et contribua à faire naître l’instinct de survie.

Mais c’est aussi à cause de lui que la nature humaine devint cruelle et prit plaisir à faire souffrir. Mars apporta à l’Homme l’euphorie de la domination qui lui permit d’exercer sa volonté sans retenue.

Les protohumains devinrent ainsi des créatures terrestres totales et il leur fallut créer une nouvelle manière de communiquer.

Le thorax évolua sous l’influence de MERCURE. Ce dernier façonna également des membres plus minces et plus forts pour que les humains puissent marcher les uns vers les autres, et travailler ensemble.

Il était également le messager et le Scribe des dieux, connu sous le nom d’HERMÈS en Grèce, et de THOT chez les Égyptiens.

L’Homme moderne a toujours considéré la mythologie comme une succession de superstitions, mais en réalité, comme nous venons de le voir, pour les anciens, l’histoire du monde était écrite dans les étoiles.

Leur compréhension de l’évolution ordonnée des espèces prit son origine, en réalité, des milliers d’années avant que Charles Darwin n’embarque sur le HMS Beagle.

L’histoire du monde a toujours été inscrite dans le Zodiaque, elle fut expliquée par des initiés tels que Jakob Böhme et Robert Fludd et préservée jusqu’à nos jours par des sociétés secrètes.

Au XIXe siècle, les premières traductions des textes sacrés hindouistes apparurent en Occident et une grande partie des enseignements ésotériques, qui avaient été jalousement gardés et contrôlés jusque-là, commencèrent à devenir publics.

L’origine des espèces de Charles Darwin fut publiée en 1859…

Plusieurs grands intellectuels de cette époque voulurent alors essayer d’appliquer la méthodologie scientifique aux phénomènes spirituels et spiritualistes.

En 1874, Charles Darwin s’y adonna lui-même en assistant à des séances de spiritisme avec le romancier George Eliot, mais ces expériences ne lui apportèrent pas véritablement plus de réponses…

Ce que Darwin ignorait, c’est que l’ancienne doctrine secrète n’a jamais reconnu la progression régulière de l’Histoire de l’évolution que lui attribue habituellement la science moderne.

Pour elle, les animaux évoluèrent dans les formes qui nous sont familières, influencés par les étoiles et les planètes, comme les lions par la constellation du Lion ou encore les taureaux par la constellation du Taureau.

Pour les anciens, les serpents, les araignées, les cafards et autres parasites furent formés sous l’influence maligne de la face cachée de la Lune.

L’ancienne tradition secrète enseignait à travers le plan cosmique que les protohumains allaient graduellement être absorbés par la forme humaine qui devait être l’apogée de la Création…

À mesure que les humains s’approchaient de leur anatomie telle que nous la connaissons aujourd’hui, ils prirent des formes à moitié humaines et à moitié animales.

Ce sont ces formes hybrides que représentèrent les Sumériens, les Perses, les Égyptiens et les Babyloniens, jusqu’à ce que l’Homme acquiert sa forme parfaite et définitive, représentée par les civilisations grecques et romaines.

Ce fut le cas par exemple d’Hathor, la déesse de la planète Vénus à la tête de vache, ou encore de la planète Mercure, qui s’incarna dans Anubis à la tête de chien, visible sur les murs des temples égyptiens.

D’après la tradition secrète, ce sont ces mêmes dieux, ces mêmes êtres vivants, qui furent représentés dans la Grèce classique sous une forme plus évoluée.

Les textes de l’Antiquité décrivant cette ère mettent également l’accent sur l’existence de géants.

L’auteur du Livre d’Énoch (dans la tradition hébraïque) et Platon (dans la tradition grecque), s’accordent à dire qu’à cette époque antédiluvienne, les géants existaient réellement.

Il est intéressant de noter qu’on parle aussi de ces géants antédiluviens dans les traditions du monde entier : aussi bien en Inde, avec les danavas et les daityas, qu’en Chine avec les miaotse.

Dans un dialogue entre Midas le Phrygien et Silène, dont certains fragments ont survécu depuis Alexandre le Grand, Silène dit que :

« Les hommes grandissaient le double de la taille du plus grand homme de notre temps et vivaient deux fois plus longtemps ».

Les statues géantes de Bamiyan, en Afghanistan, détruites en 2001, n’étaient pas trois bouddhas, mais trois statues de taille réelle de géants mesurant respectivement 53, 36 et 9 mètres.

L’ancienne tradition secrète n’enseigne pas que l’Homme descend du singe, mais que le singe représente la dernière dégénérescence de l’Humanité, avant que l’Homme n’acquière sa forme définitive.

Les singes apparurent uniquement parce que l’esprit humain avait voulu s’incarner trop vite alors qu’il n’avait pas encore atteint le dernier stade de développement de son anatomie.

Nous n’avons jamais retrouvé de traces fossiles de ces créatures fantastiques, de ces êtres hybrides, alors pourquoi les grands initiés des écoles des Mystères y crurent-ils ?

C’est ce que nous verrons dans le prochain chapitre, en partant en Égypte pour faire la connaissance d’Isis et Osiris.

 

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