La Doctrine Neo-Tech / Zonpower

Afin qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur le véritable objectif des Illuminati, nous avons rendu publics les Protocoles de Toronto (voir nos deux chapitres à ce sujet). Ainsi, nous pouvons maintenant aborder en toute objectivité la doctrine luciférienne Neo-Tech/Zonpower.

Nous l’étudierons entièrement avec les yeux d’un innocent et en ne portant aucun jugement de valeur…

Avec l’arrivée du New Age ou Nouvel Âge (courant spirituel apparu en Occident dans la seconde moitié du XXe siècle), de plus en plus de personnes ont délaissé la religion.

De nouvelles doctrines ont alors vu le jour, incitant l’homme à une approche plus individuelle et éclectique de la spiritualité, à se transformer par l’éveil de sa conscience et à changer ainsi l’humanité.

La création du New Age a été en réalité longuement préméditée et n’avait qu’un seul but :

« Amener les êtres humains vers la future doctrine luciférienne Neo-Tech/Zonpower établie par les Illuminati ».

Il fallait faire croire à l’homme qu’il est devenu « moderne » et que, par ses propres capacités personnelles et le développement de sa conscience, il avait la possibilité de pouvoir jouir pleinement de tout ce qui l’entourait.

Mais pour cela, il devait avant tout se libérer du mysticisme et de la théologie des vieilles religions (Judaïsme, Christianisme, Islam, Bouddhisme, Indouisme, …). Ce fut l’objectif réel du mouvement du New Age…

La doctrine luciférienne Neo-Tech/Zonpower est apparue officiellement en 1976 avec la publication de l’encyclopédie de référence Neo-Tech.

Le 27 juin 1992, une réunion s’est tenue près de Las Vegas, au Nevada, où le Dr Frank R. Wallace (philosophe américain) a révélé publiquement l’existence de la doctrine Zonpower aux membres correspondants et en charge des publications Neo-Tech.

Frank R. Wallace est né en 1936 et mourut le 26 janvier 2006. En 1957, il a obtenu un doctorat en chimie inorganique et analytique à l’Université d’État de l’Iowa.

Il a ensuite travaillé pendant neuf ans comme chercheur en chimie pour DuPont (une des 13 familles Illuminati) puis s’est ensuite tourné vers la philosophie.

Il est ensuite entré chez Publishing I&O, en 1968, comme éditeur puis y deviendra rédacteur en chef et enfin président. À noter qu’entre 1968 et 1983, il a écrit plusieurs livres sur la façon de gagner au poker.

Neo-Tech/Zonpower a été traduit en douze langues et est aujourd’hui diffusé dans plus de 156 pays.

Dr Frank R. Wallace

L’objectif de Neo-Tech / Zonpower

Neo-Tech / Zonpower est une nouvelle façon de penser, une nouvelle manière de percevoir chaque chose, un nouveau mode d’action qui oriente vers des horizons sans limites, vers une puissance bénéfique dominant toute existence.

Cette doctrine délivre de l’attitude de perdant dans laquelle l’humanité a été enchainée depuis 3000 ans.

Zonpower utilise la physique et la philosophie comme métaphores pour expliquer la toute-puissance de paradigmes, appelés Neothink, qui représentent une vaste réflexion intégrant la pensée et l’honnêteté.

Toute la partie de Neothink traitant de l’honnêteté est appelée Neo-Tech.

Tous les concepts fondamentaux de Neo-Tech peuvent être démontrés mathématiquement et expérimentalement ou modifiés avec le temps, et ne contredisent, en aucune façon, les lois de la physique.

 

De la Physique Neo-Tech à la Prospérité Illimitée

Intéressons-nous pour commencer à l’infiniment grand :

En mathématiques, le gogol est le nombre dont la représentation décimale s’écrit avec le chiffre 1 suivi de 100 zéros.

Le gogol n’est pas utilisé scientifiquement, il sert surtout à l’enseignement et à la vulgarisation des mathématiques.

Il a été créé par le mathématicien américain Edward Kasner afin de représenter la différence entre un nombre grand et l’infini.

D’après nos connaissances actuelles, l’univers connu contient au moins une centaine de milliards de galaxies contenant chacune une moyenne une centaine de milliards d’étoiles contenant chacune un nombre incalculable d’électrons, de protons, de neutrons, etc.

Bien qu’un gogol soit un nombre gigantesque, bien supérieur au nombre de particules dans l’Univers connu (environ 10 puissance 80), il est facile de l’écrire en notation conventionnelle, comme suit : 1 gogol = 10 puissance 100.

Le gogol est approximativement égal à la factorielle de 70, ses facteurs premiers sont seulement 2 et 5 et il faut au minimum 333 bits pour représenter ce nombre.

10 gogol (le chiffre 1 suivi d’un gogol de zéros) est nommé « Gogolplex » ; il serait impossible d’écrire ce nombre sur du papier car il contient plus de chiffres qu’il y a d’atomes dans l’univers.

Un « Super Gogolplex » est un gogolplex qui s’élève à la puissance 100, mais il n’existe pas d’échelle qui permettrait à notre esprit de concevoir un tel nombre.

Intéressons-nous maintenant à l’infiniment petit :

Il est autant impossible à notre esprit de concevoir des nombres infiniment grands que des nombres infiniment petits.

Aussi, pour concevoir la taille d’un atome et celle de son noyau, prenons un exemple imagé :

Si vous agrandissez une balle de base-ball à la taille de la Terre, vous pourriez voir que les atomes contenus de cette balle de base-ball ont la taille d’une cerise.

Si maintenant vous agrandissez un atome à la taille d’un homme, le noyau de l’atome deviendrait alors visible et aurait la taille d’un grain de sable.

Selon le physicien allemand Max Planck, la plus petite unité de temps représente environ (10 puissance -42) secondes, soit le temps nécessaire pour que la lumière traverse à 300 000 km/seconde la plus petite particule qui existe dans l’univers connu et qui mesure (10 puissance -33) cm de diamètre.

Si maintenant on rapporte le concept d’infiniment grand et d’infiniment petit à celui de l’Éternité et qu’on compare un événement extrêmement rapide qui se produit une fois toutes les (10 puissance -42) secondes et un événement extrêmement lent qui se produit une fois chaque année gogolplex, on observe que leurs occurrences sont égales car chacun d’eux se produit un nombre infini de fois dans l’éternité.

Ceci tend à démontrer que la plus petite et la plus grande unité de l’existence sont égales en événements, temps ou distances, et donc que l’existence est éternelle et qu’elle n’a pas d’origine.

Toutes les entités de l’existence, de la plus petite unité de matière (comme les quarks) ou même de la plus petite unité de gravité (EUGE) à la plus grande expansion de l’univers (comme les galaxies) font partie de cette existence éternelle car elles existent pour toujours.

Ceci tend donc à démontrer que l’homme considéré comme entité de l’existence est lui aussi éternel et qu’il existe à jamais dans tous les univers.

Toutes les entités de l’existence communiquent de façon extrêmement rapide à travers les univers grâce aux Super-Expansions naturelles des unités de Gravité appelées Sigus.

La réalité ne peut donc jamais être contredite, ce qui signifie que les lois de la nature et de la physique ne peuvent à jamais être violées et que rien ne peut dépasser la vitesse de la lumière.

Les Sigus peuvent produire (en un bref instant) une pulsation de gravité communicante non seulement à travers un univers entier mais aussi à travers les autres univers.

Le Big-bang (ou la naissance de l’espace-temps de notre univers) est issu d’une unité de gravité.

À (10 puissance -42) secondes après sa naissance, soit la plus petite unité de temps définie par Planck, l’univers entier serait (10 puissance 35) fois plus petit qu’un proton.

En supposant qu’il double à chaque (10 puissance -42) secondes ou double de (10 puissance 36) fois à (10 puissance -32) secondes de sa naissance, l’univers aurait une largeur de 12 centimètres, soit environ la dimension d’un pamplemousse…

En supposant qu’il double maintenant de (10 puissance 50) fois à (10 puissance -32) secondes de sa naissance, l’univers aurait la taille de notre système solaire.

En d’autres termes, l’univers vient de s’étendre un billion de fois plus rapidement que la vitesse de la lumière.

Comment cela est-il possible alors que comme nous l’avons vu plus haut, rien ne peut en théorie dépasser la vitesse de la lumière ?

En fait, l’expansion ultra-rapide de l’univers peut être expliquée par la Théorie de l’Inflation Cosmique du cosmologiste américain Alan Guth de l’institut technologique du Massachusetts (MIT), établie en 1979.

En terme Newtonien, cette théorie pourrait s’exprimer ainsi :

« Considérez deux entités partant du même point et se déplaçant séparément à la vitesse de la lumière. Au bout d’une année, ces entités seront séparées d’environ deux années-lumière, donc elles auront parcouru deux fois la distance couverte par la vitesse de la lumière (300 000 km/seconde) sans jamais la dépasser. »

Maintenant supposons que la naissance de l’espace-temps est provoquée par des cassures géométriques ou symétriques d’un univers contenant des Unités de Gravité et qu’elle débute au moment précis de la conversion de la plus petite unité d’existence (l’univers contenant l’Unité de Gravité) en la plus grande unité d’existence (l’univers entier en expansion).

Cela reviendrait alors à dire, en d’autres termes, que la naissance de l’espace-temps (provoquée par l’explosion des Unités de Gravité) contient autant de masse/énergie qu’un univers entier de quinze milliards d’années.

Mais aussi, du fait que des entités peuvent se séparer à plusieurs fois la vitesse de la lumière, que l’expansion totale de l’univers peut se produire à des billions de fois la vitesse de la lumière sans pour autant violer les lois de la Physique.

Ce qui revient en définitive à dire que si des êtres humains arrivent à contrôler l’espace-temps en cassant la géométrie ou la symétrie des Unités de gravité, ils détiennent alors en théorie, tout comme Dieu, le pouvoir de créer des univers.

La méthode la plus simple pour créer un espace-temps en cassant les Unités de gravité est d’utiliser un laser.

Vous devez enfin savoir que la création d’espace-temps suivant certaines directions très spécifiques (vagues d’énergie ou pulsations de gravité) peut produire des géométries multidimensionnelles et non plus obligatoirement tridimensionnelles comme l’enseigne habituellement notre science.

Ce qui veut aussi dire que des espace-temps peuvent communiquer à travers l’hyperespace jusqu’à d’autres univers.

Par analogie, on peut ainsi dire que l’acte de créer ou de produire fait partie intégrante de l’existence naturelle de l’homme.

La Connaissance engendre le Savoir, mais comme elle est illimitée, l’homme a aussi accès à un Savoir Illimité et donc à un Pouvoir de création illimité.

Selon les lois universelles, la création dans l’univers progresse éternellement et il en va de même pour l’homme.

La création humaine (ou production de valeurs) peut s’accroitre continuellement, bien au-delà de ce que nous pouvons imaginer.

Un jour, la descendance de l’humanité deviendra éternelle, comme le sont aujourd’hui les civilisations les plus avancées de l’univers.

Essayons de démonter le concept d’immortalité ou d’éternité de la conscience humaine :

Examinons d’abord la nature de l’existence : L’existence est axiomatique, elle est éternelle, elle existe simplement, sans cause antérieure, puisque si l’univers existe, l’existence ne peut pas ne pas exister.

Il en est de même pour la conscience. Elle fait partie intégrante de l’existence et donc, comme l’existence est éternelle, la conscience l’est aussi.

D’innombrables civilisations conscientes existent dans l’univers, avec des niveaux de connaissance plus ou moins élevés. Certaines civilisations ont même plusieurs millions ou milliards d’années d’avance sur la nôtre.

Si la communication entre les êtres humains et d’autres civilisations plus avancées de l’univers nous apportait de nouveaux avantages rationnels (nouvelles connaissances, nouvelles technologies, etc.), cela nous permettrait d’accroitre de façon exponentielle notre pouvoir de création.

Mais à l’opposé, nous ne gagnerons certainement aucun avantage en communiquant avec des civilisations moins avancées que la nôtre.

En réalité, il en est malheureusement de même avec les civilisations plus avancées de l’univers, puisque les êtres humains ne pourraient profiter de leurs connaissances avancées qu’en faisant des sauts d’évolution considérables, au-delà même de ce que permet notre propre évolution à un instant X.

Cependant, cela deviendra probablement possible dans l’avenir, à X+1 ou X+1000…

C’est là qu’intervient la doctrine Neo-Tech/Zonpower, car elle enseigne qu’en réalité, le niveau de connaissance importe peu et qu’une civilisation à tout stade d’évolution peut accéder à la source primordiale du bonheur et produire un accroissement infini de sa prospérité.

Vous avez compris que les êtres humains ne peuvent pas profiter d’un bond de l’évolution pour acquérir une connaissance en avance de plusieurs millions d’années, ou voire plus, sans passer par toutes les étapes pour acquérir cette connaissance.

En effet, pour pouvoir profiter de connaissances avancées, il faut déjà qu’une civilisation commence par prospérer et à évoluer jusqu’au moment où elle sera en mesure d’accéder à cette connaissance.

Hors, c’est justement l’objectif de Neo-Tech : rendre possible l’accroissement infini de la prospérité en permettant à l’homme de produire librement et honnêtement des valeurs qui bénéficieront à toute la société.

En pratiquant la nouvelle Religion ou doctrine Neo-Tech/Zonpower, chaque être humain deviendra « Zon », il ne sera plus alors prisonnier du mysticisme des religions, de la malhonnêteté et de l’irrationalité dans lesquels le monde a été enfermé depuis 3000 ans.

En intégrant complètement la doctrine Neo-Tech/Zonpower, un petit nombre d’êtres humains pourra même aller au-delà de l’enseignement de Neo-Tech et entrer directement en communication avec d’autres civilisations de l’univers.

Laissant alors loin derrière eux le niveau d’évolution de l’humanité, ils pourront expérimenter directement le véritable pouvoir de l’univers, celui de « ZON ».

 

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